Comptez qu'on fut consterné, et qu'on ne vous aurait pas plus regretté dans vos Etats. Vous auriez joui de toute votre renommée, vous auriez vu l'effet que produit un mérite unique sur un peuple... Correspondance avec M. de Voltaire - Page 191de Frederick II (King of Prussia) - 1789Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Voltaire - 1784 - 452 pages
...fut reçue. Comptez qu'on fut confterné , et qu'on ne vous aurait pas plus regretté dans vos Etats. Vous auriez joui de toute votre renommée , vous auriez...auriez fenti toute la douceur d'être chéri d'une 1 747- nation qui , avec tous fes défauts , efl peut-être dans l'univers la feule difpenfatrice de... | |
| Voltaire - 1785 - 420 pages
...pas plus regretté dans vos Etats. Vous auriez joui de toute votre renommée, vous auriez vu l'eflet que produit un mérite unique fur un peuple fenfible...de la gloire. Les Anglais ne louent que les Anglais ; lés Italiens ne font rien ; les Efpagnols n'ont plus guère de héros , et n'ont pas un écrivain;... | |
| Frederick II (King of Prussia) - 1805 - 548 pages
...aurais; fait grand plaifir , fi vous aviez vu comme elle fut reçue. Comptez qu'on fut concerné , & qu'on ne vous aurait pas plus regretté dans vos...vous auriez fenti toute la douceur d'être chéri d'urie nation qui , avec tous fes défauts , eft peutêtre dans l'univers la feule difpenfatrice de... | |
| marquise Gabrielle Emilie Le Tonnelier de Breteuil Du Châtelet, Voltaire - 1818 - 310 pages
...fut reçue. Comptez qu'on fut consterné, et qu'on ne vous aurait pas plus regretté dans vos Etats. Vous auriez joui de toute votre renommée ; vous auriez vu l'effet que produit un mérite unique sur un peuple sensible ; vous auriez senti toute la douceur d'être chéri d'une nation qui, avec tous... | |
| Frederick II (King of Prussia) - 1853 - 780 pages
...fut reçue. Comptez qu'on fut consterné, et qu'on ne vous aurait pas plus regretté dans vos Etats. Vous auriez joui de toute votre renommée, vous auriez vu l'effet que produit un mérite unique sur un peuple sensible; vous auriez senti toute la douceur d'être chéri d'une nation qui, avec tous... | |
| |