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donne de la Religion, tome 1, 446. Il lui
attribue un efprit républicain, fangui-
naire, ibid, & 447. Il eft faux qu'elle fe
foit établie par l'autorité des Princes,
tome I, 197. Dangers des nouveautés,
& changement dans la Religion ,295.
Exemple de soliman II. La Religion
Catholique n'est point une Religion
d'efclavage, 420.

RELIGION RE FORME'E. Etabliffement de la
Religion réformée en Suiffe, tome 1,
244 A Geneve, 251. Hardieffe incon-
cevable des menfonges qu'avance & que
multiplie Voltaire à ce fujet, aux mêmes

endroits.

ROMAIN. Saint Romain. Hiftoire de ce Mar-
tyr, falfifiée par Voltaire tome I, 28.
Démonstration de la falfification, 29.
ROUSSEAU (Jean Baptifte). Fureurs de
Voltaire contre les cendres de ce Poëte,
tome, 429. Comparaison ridicule entre
Rouffeau & la Motte, ibid.

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SUEDE. Révolution de la Religion en

Suede, tome I, 376. L'ambition de
Charles, Duc de Sudermanie, en eft la
premiere caufe. Il fe révolte contre le
Roi Jean fon frere, qui étoit Catholique,
382. Voltaire approuve la révolte &
l'ufurpation, 383. Calomnies contre le
Roi Jean, 378.

SPINOSA. Principes horribles de Spinofa,
tome 2, 49 Courte expofition & réfuta-
tion du Spinosisme, 33.

SUPERSTITION.

SUPERSITION. Mot favori de Voltaire &
des Philofophes, pour avilir tout ce qui
appartient à la Religion, tome 2, 24, 13.
fuiv. Ils voient par-tout la fuperfti-
tion, tome 1, 429.

T

THE ODOSE. Il envoie des troupes à Thel-

falonique. Sa faute, fa pénitence, tome 1,
139. Menfonges & calomnies de Vol-
taire, 142. Juftification entiere de cer
Empereur, 143, & fuiv.

THE OLOGIE. Idée de la vraie Théologie,
tome 2, 312. Ce qu'on doit penfer de la
Théologie Scholattique, 3134

TRAJAN. I ordonne qu'on faffe mourir
les Chrétiens dénoncés, tome 1, 9. Malgré
fes grandes qualités, il est sujet à plu-
fieurs fortes d'intempérances, tome 2,
289.
TURENNE. Portrait de M. de Turenne >
tome 1, 416. Efforts de Voltaire pour
rabaiffer ce grand homme, 417. Sa dé-
fense, ibid.

V

VOLTAIRE. Ses talents, Préf. j. Sa ma-

niere d'écrire, fon ftyle, iv. Jugement
de fes Mélanges de Philofophie, ix. De
fon Hiftoire générale, xiv. De fa maniere
de penfer fur les Souverains, xxj. Sur
les François, xxvij. Ses contradictions,
xxiv. Danger de la lecture de fes ouvra-
ges, xxix. Maniere dont il s'y prend
Tome IL

V

pour combattre la Religion, tome 2
Avant-propos. Caracteres abrégé de fes
ouvrages, tome 2, 320. L'impreffion fu-
nefte qu'ils font néceffairement fur les
efprits, 324. Ses emportements dans sa
réponse au Livre des Erreurs. Il l'appelle
libelle, 329. Définition du libelle, 332.
Adieux honnêtes qu'il fait à son adver、
faire, 431.

W

WITIKIND. Ce Chef des Saxons résiste

long-temps à Charlemagne, tome 1, 78.
Il renonce à l'idolâtrie, & fe fait Chré-
tien, 80. Voltaire traite ce changement
de foibleffe.

U

URANIE. Épître à Uranie. Caractere de

cette piece, tome 2, 318.

Fin de la Table des Matieres,

BREF

DE N. S. P. LE PAPE
A M. L'ABBÉ NONNOTTE

A l'occafion de l'Ouvrage intitulé
les Erreurs de Voltaire.

Anotre cher Fils, falut & bénédiction apoftolique.

CLEMENS PP. XIII. CLEMENT PAPE XIII.

D

Ilecte Fili,

N nous a remis

Jalutem & ON

votre Livre en apoftolicam bene- deux volumes, où dictionem. Reddi- vous avez mis au tus eft nobis Liber jour les erreurs d'un tuus in duo volu- Ecrivain, moins famina diftributus, meux par fon efprit quo Scriptoris, que par fon impiété. non tam ingenio Votre deffein à été quàm impietate d'éloigner de la lecnobilis detegen- ture de fes Ouvrados errores fufce- ges tous ceux qui ne pifti, ut ab ejus les ont point encore legendis fcriptis, lus, cornme auffi de

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460 convaincre ceux qui qui adhuc non leles ont lus qu'ils ont gerint, abftereanété féduits, ou par tur, & qui legeles agréments & la rint ejus five beauté du ftyle de fcribendi lepore l'Auteur, ou par les venuftate, five trompeufes fubtili- fallacibus argutés dont il affaifon- tiis fe deceptos ne les productions effe demum agnofde fa plume. cant. Profectò qui Certainement il in ejus Libris vereft très à craindre fentur,vehementer pour toutes les per- extimefcendum eft fonnes qui le lifent, ne hauftis venefi qu'en avalant le ca impietatis fenpoifon de l'impiété fibus, boni civis qu'il a eu foin d'y demum officia derépandre, elles n'a- ferant & omnem bandonnent les de- religionem amitvoirs du bon citoyen tant. Quamobrem & n'arrachent mê- multum deberé time de leur coeur bi, dilecte Fili jufques au dernier arbitramur, tum germe de la Reli- Religionem, tum gion auffi penfons- chriftianam remnous, mon cher Fils, publicam; utrique que tant la Religion enim Scriptorem que tous les Etats illum apparet effe

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