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Elle se leva de son lit (VI, 52, Méd. m. l. I, Iv).

[IV, vi).

Il prend un morceau d'un des plats qu'on apporte (V, 184, D. Juan, On me veut arracher de la beauté que j'aime (III, Éc. d. f. 1625; cf. VI, Amph. 617).

Je m'étois par hasard égaré d'un frère et de tous ceux de notre suite; et comme je cherchois à les rejoindre... (V, 149, D. Juan, III, ш). Puisque vous vous êtes soustrait de l'obéissance que l'on doit à son médecin... (IX, 409, Mal. im. III, v).

C'est un homme qui... ne démordroit pas d'un « iota » des règles des anciens (VII, 262, Pourc. I, v).

... Si de vos mains je rattrape mon cœur... (V, Mis. 515).

Elles (les destinées) m'ont fait naître assez heureux pour attirer quelque pitié du cœur d'une grande princesse (VII, 452, Am. magn. IV, Iv). Guéri par la raison des foiblesses vulgaires,

Il se met (le sage) au-dessus de ces sortes d'affaires (IX, F. sav. 1545). Voy. DÉFENDRE quelqu'un de...; SE SAUVER de........

Vous me voyez bien changée de ce que j'étois (V, 180, D. Juan, IV, vı Je ne suis plus le même d'hier au soir (V, 189, D. Juan, V, 1).

Emploi de de... à....., particulièrement dans une comparaison; emploi de de... en... ou de de... dans... :

Je m'étonne... que de tous ces grands noms... vous ayez pu redescendre à un Monsieur Tibaudier... et à un Monsieur Harpin.... La chute est grande, je l'avoue (VIII, 572, Escarb. 11).

Du matin jusqu'au soir [il] ne fait que jouer... (VI, 38, Méd. m. l. I, 1). Il y a grande différence de vous à nous (VI, 517, G. D. I, iv). Voy. à l'article de la préposition A, 1o, p. 3, et au mot Différence.

Traiter quelqu'un de Turc à More. Voy. TURC.

J'ai d'Ithaque en ces lieux fait voile en diligence (IV, Pr. d'É. 90).

Il y en a d'autres... qui... courent sans scrupule de mari en mari, pour s'approprier leurs dépouilles (IX, 372, Mal, im. II, vi).

Passe encor de le voir, de ce sublime étage

Dans celui des hommes venir... (VI, Amph. 93).

Je rentre ici d'un trouble en un autre aussi grand (I, Dép. a. 892).

DE, devant les mots côté et part, marquant exceptionnellement : 1o le lieu où l'on est; 2o le lieu vers lequel on se dirige :

Ici de tous côtés on découvre aisément (I, Dép. a. 346).

Peut-être Ici autour, de partout on découvre; mais plutôt : Ici autour, partout on découvre.

Si quelque intention le pressoit pour Lucile...

Il falloit l'attaquer du côté du devoir (I, Dép. a. 995).

Mais je veux de ma part seconder son projet (I, Ét. 1202).

Votre dessein est-il d'aller du côté de la ville? (V, 150, D. Juan, III, III.) Puis-je au moins espérer que vous daigniez tourner le visage de ce côté? (V, 94, D. Juan, I, 111.)

De quelque part qu'on tourne, on ne voit que des fous (III, Fách. 346). 2o De marquant l'origine, la source; équivalant souvent à ensuite de; de la part de, venant ou provenant de, du fait de; tiré de, du fonds de.... DE SOI (de sa nature, en soi).

Ce sont charmes pour moi que ce qui part de vous (IX, F. sav. 714). Est-ce que nous sommes... de la côte de saint Louis? (VIII, 144, Bourg.g. Tu te dis de cette maison? (VI, Amph. 346.) [III, xII.) (Pour une jeune déesse,) Vous êtes bien du bon temps! (VI, Amph. 125.) SGAN. De quoi donc connoissez-vous Monsieur? Lis. De l'avoir vu l'autre jour... (V, 320, Am, méd. II, 11). Cf. le Lexique du La Bruyère, p. 84, 1. 2.

Je l'étois peu pourtant [connu de lui]; mais on en voit paroître, De ces gens qui de rien veulent fort vous connoître (III, Fách. 44: note). A la suite de rien. Dans l'exemple suivant, de rien paraît avoir le sens de par rien, par rapport à rien, en rien, et équivaloir simplement à nullement : Un homme qui ne nous touche de rien (V, 313, Am. méd. I, v). ... Ce fatal amour né de vos traîtres yeux (D. Garc. 1399 et Mis. 1384). Voy. Prendre son ORIGINE de...; tenir la NAISSANCE de....

De cette première vue, de ce premier moment, il emporte chez lui tout ce qu'un amour de plusieurs années peut avoir de plus violent (IX, 362, Mal. im. II, v).

A la suite de..., par le seul effet de cette première vue, de ce premier moment. Venise du butin fait parmi les combats

Me garde pour tous deux de quoi pouvoir y vivre (I, Ét. 1735).
Vous me fites d'abord ce présent d'importance,

Que du butin conquis vous m'aviez destiné (VI, Amph. 1002).

Quand même vous ne les sauriez pas tout à fait (vos roles), pouvez-vous pas y suppléer de votre esprit? (III, 392, Impr. 1.)

Doucement, ce discours est de mon industrie (Í, Ét. 1039).

Un papier griffonné....

C'est de votre procès, je n'en fais aucun doute (V, Mis. 1453).

Je voudrois bien savoir de vous leur aventure (I, Ét. 1436).

Même régime après savoir: I, Dép. a. 387; III, Éc. d. f. 1562; IV, 19, Mar.

f. 1; V, Mis. 1067; VI, 235, Sic. 1; VI, Amph. 315; VII, 401, Am. magn. I, 11. Ainsi que je l'apprends d'un paquet apporté... (I, Ét. 758).

Semblable emploi de de, et un nom de personne, après apprendre : II, 114, Préc. xvi; III, Éc. d. f. 1561; V, 91, 132, D. Juan, I, i et II, v.

(Je veux)... m'informer de lui... (S'il sait point...) (I, Dép. a. 651). Vous pourrez de lui, ou de quelque autre, être instruit du détail (VIII, 440, Scap. II, 1).

Tout ce que de vous je viens d'ouïr contre elle... (II, Sgan. 313). Cf. ÉCOUTER (Amph. 838, 917).

Je n'avois qu'à parler pour avoir tout ce que je souhaitois de mon père (V, 311, Am. méd. Î, 1v). Pour obtenir de mon père tout....

Souhaitez-vous quelque chose de moi? (VI, 266, Sic. x11.) Voy. SouHAITER, DESIRER, VOULOIR, IMplorer.

Ceux de qui je l'ai rachetée (VIII, 513, Scap. III, x1).

(Un cheval)... que ces jours passés j'achetai de Gaveau (III, Fach. 522). O Ciel! vit-on jamais une telle insolence?

La peut-on concevoir d'un serviteur, d'un gueux? (VI, Amph, 1521.)
De la part de..., venant de....

C'est... une douceur extrême

Que d'entendre ces mots d'une bouche qu'on aime (IV, Tart. 1438). (Louis) A versé de sa bouche à ses grâces brillantes

De deux précieux mots les douceurs chatouillantes (IX, Val-de-Gr. 299). Tout le langage gascon est supposé de celui qu'il contrefait, et le reste de lui (VIII, 494, Scap. III, 11).

De l'objet qui fait votre destin

J'ai, par un ordre exprès, quelque chose à vous dire (III, Fách. 350).

Et j'attendois de votre cœur

D'autres transports de joie et de tendresse (VI, Amph. 879; cf. IX, F.

sav. 178). Voy. Prétendre.

J'aime de lui un aveu de la sorte (VII, 147, Av. III, VII).

D'un objet odieux je sais que tout déplait (IV, Pr. d'É. 279).

Meme tour avec plaire : II, D. Garc. 211; VIII, 575, Escarb. 1; IX, 281, Mal. im. I, 1.

Je sais qu'un tel discours de moi paroît étrange (IV, Tart. 969).

C'est une étrange chose de vous autres Messieurs les poètes, que vous condamniez toujours les pièces où tout le monde court (III, 356, Crit. VI).

Mon maître m'a défendu, Madame, de rien prendre de vous (VIII, 575, Escab. III; voy. V, Mis. 371; IX, F. sav. 680).

[Colbert] Qui du choix souverain tient, par son haut mérite,

Du commerce et des arts la suprême conduite... (IX, Val-de-Gr. 307). Il veut de pure source obtenir vos ardeurs,

Et ne veut rien tenir des nœuds de l'hyménée (VI, Amph. 597 et 598). Il y a eu une Mathurine de Sotenville qui refusa vingt mille écus d'un favori du Roi, qui ne lui demandoit seulement que la faveur de lui parler (VI, 522, G. D. I, IV).

Tout le regret que j'aurai, si je meurs, mamie, c'est de n'avoir point un enfant de vous (IX, 317, Mal. im. I, vii).

[Les]...faveurs qu'il a de cette belle (I, Dép. a. 253).

C'est la dernière ici des importunités

Que vous aurez jamais de mes vœux rebutés (I, Dép. a. 1316).

Mais nous avons du Ciel ou du tempérament

Que nous jugeons de tout chacun diversement (II, D. Garc. 1182; cf. I, Ét. 320; VI, 50, Méd. m. l. I, Iv; VI, 245, Sic. v).

Ne trouves-tu pas, comme moi, quelque chose du Ciel, quelque effet du destin, dans l'aventure inopinée de notre connoissance? (IX, 291, J'ai donc feint une lettre... [Mal. im. I, Iv.) Comme d'un grand seigneur écrite à Trufaldin (I, Ét. 857). Va, va, petit mari, ne crains rien de ma foi (I, Dép. a. 1791). Quoi? Faut-il que de lui vous ayez quelque crainte? (VI, Mélic. 423.) (Ne) craignez-vous rien... de la mort de ce commandeur que vous tuâtes il y a six mois? (V, 92, D. Juan, I, 11.)

(Le sage)... n'a garde de prendre aucune ombre d'ennui

De tout ce qui n'est pas pour dépendre de lui (IX, F. sav. 1548).
Certain chagrin d'une affaire qui m'arriva (VIII, 413, Scap. I, 11).

Comparez plus loin, à 16o e, 6o exemple, p. 282.

Tout sied aux belles, on souffre tout des belles (VIII, 132, Bourg. g. III, Ix; cf. II, D. Garc. 770). Voy. ENDURER.

Ciel! faut-il que le rang, dont on veut tout couvrir,

De cent sots tous les jours nous oblige à souffrir? (III, Fách. 210.) Prenez la peine de mieux voir celui dont vous vous offensez (VII, 193, Av. V, Iv note).

Celui de qui, par qui vous vous tenez pour offensé.

Ils ont contracté du barreau certaine habitude de déclamation (VII, 316, Pourc. II, x).

Jusqu'à mes chaussettes, je ne puis rien souffrir qui ne soit de la bonne ouvrière (II, 97, Préc. Ix).

D. GARC. Ce billet démenti pour n'avoir point de seing...

[567.)

D. ELVI. Pourquoi le démentir, puisqu'il est de ma main? (II, D. Garc. PHILAM. Je vois, je vois de vous, non pas pour votre gloire,

que jusques ici j'ai refusé de croire.

[1719 et 1721).

Ce
TRISS. Vous pouvez voir de moi tout ce que vous voudrez (IX, F. sav.
Et du bon de mon cœur à cela je m'engage (V, Mis. 846 : note).
Ah! j'y consens de tout mon cœur (VI, 41, Méd. m. l. I, II).

Voyez à COEUR, p. 194, et comparez, plus loin, à 11o, p. 275 vers la fin. C'est du meilleur de mon âme que je vous parle (VI, 76, Méd. m. l. II, II; cf. V, Mis. 1214).

C'est de son mouvement; je ne l'y force en rien (VI, Mélic. 494).
La dame est un peu embarrassante de son naturel (III, 317, Crit. 11).

La voici qui vient d'elle-même : elle a deviné votre pensée (IX, 288, Mal. im. I, 11).

Je vous apprendrai bien à faire vos réponses de vous-même (III, 316, Crit. 11).

Le premier ouvrage que je mets de moi-même au jour (II, 354, Éc. d. Le sujet ne fournit que trop de lui-même (VI, 261, Sic. x1). [m. Ép.). Des manières de vers libres, tels que la passion et la nécessité peuvent faire trouver à deux personnes qui disent les choses d'eux-mêmes et parlent sur-le-champ (IX, 360, Mal. im. II, v).

Les tirant d'eux-mêmes, comme elles leur viennent.

Allez, indigne époux, le fait parle de soi,

Et l'imposture est effroyable (VI, Amph. 1038). Le fait parle tout seul. Le choix du fils d'Oronte est glorieux de soi (III, Éc. d. f. 1666; cf. IV, Tart. 640; V, Mis. 1055).

La noblesse, de soi, est bonne, c'est une chose considérable assurément (VI, 507, G. D. I, 1).

3o De, au sujet de, sur, relativement à... DE MOI, quant à moi. Comme si de rien n'eût été (VI, 52, Méd. m. l. I, Iv). [D. I, VI.) Pour ce qui est de cela, la jalousie est une étrange chose! (VI, 529, G. Pour ce qui est de les guérir (les maladies), c'est ce qu'ils ne savent point du tout (IX, 397, Mal. im. III, 111).

Le docte traité que Sénèque a composé de la colère (VIII, 77, Bourg. g. ... Tous ses entretiens [II, ш).

Ne sont que de chevaux, d'équipage et de chiens (V, Mis. 600). Je consens qu'une femme ait des clartés de tout (IX, F. sav. 218). ERIPH. Qu'est-ce que tu viens m'annoncer? CLIT. C'est une bagatelle de Sostrate, Madame, que je vous dirai une autre fois... ÉRIPH.... Qu'as-tu à me dire de Sostrate? (VII, 457, Am. magn. V, 1.) [III, IX). Je ne pense qu'à elle, je ne fais de songes que d'elle (VIII, 127, Bourg. g. Prenez l'autre bras de Monsieur, pour voir si vous saurez porter un bon jugement de son pouls (IX, 374, Mal. im. II, vI). Voy. JUGEMENT. A juger sans étude et raisonner de tout (V, Mis. 792). Voy. RAISONNner. Cette hauteur d'estime où vous êtes de vous (V, Mis. 931).

J'avois de votre esprit quelque bon sentiment (I, Dép. a. 108).

Voy. Concevoir des SOUPÇONS, de la JALOUSIE de quelqu'un, avoir de mauvaises PENSÉES de quelqu'un; CROIRE quelque chose de quelqu'un.'

[Elle] A suivi les conseils que son amour lui donne,...

Et de tout son destin s'est commise à ma foi (III, Éc. d. f. 1411).

Je veux bien aussi me rapporter à toi, maître Jacques, de notre différend (VII, 168, Av. IV, IV).

...

Quoi que le destin puisse ordonner de nous (II, D. Garc. 1386). Cf. De ses jours, belle Élise, on doit n'espérer rien [RÉSOUDRE.

S'il n'obtient par vos soins un moment d'entretien (II, D. Garc, 1174).

Il faut désespérer de sa vie, si....

Vous devez... ne pas mettre en doute la sincérité de ma foi. Et puis votre beauté vous assure de tout (V, 119, D. Juan, II, 11). Voy. CAU

TIONNER.

:

Pour mon cœur, vous pouvez vous assurer de lui (IX, F. sav. 1451 note). [Les] serments que vous m'avez faits de sa fidélité (de votre cœur) (VIII,

590, Escarb. VIII).

(Vous m'aimez) Éraste, et de mon cœur voulez être éclairci (I, Dép. a. 1346). Un courroux si constant...

M'a trop bien éclairé de votre indifférence (I, Dép. a. 1298).

Ce sont... ces dernières [qualités]... dont je sens fort bien que je ne me pourrai taire quelque jour (III, 157, Éc. d. f. Ep.). Voy. SE DÉCOUVRIR, S'EXPLIQUER de....

Ce que vous venez de m'apprendre de votre fils (VIII, 438, Scap. II, 1). (Je vais) aviser des biais que j'ai à prendre (VIII, 440, Scap. II, 1: note). Un autre auteur... trouveroit d'abord cent belles choses à dire de Votre Altesse Royale (III, 156, Ép. à Mad.).

Et l'on diroit d'un tas de mouches reluisantes

Qui suivent en tous lieux un doux rayon de miel (VI, Mélic. 142).
On ne sent ici que l'amour

Ce n'est que d'amour qu'on y chante (VII, 421, Am. magn. IIIo Interm.).
Je veux qu'on soit détrompé de vous (VI, 583, G. D. III, vi).

Nous lisons des anciens... que leur coutume étoit... (IX, 369, Mal. im. II, vi note; cf. IX, 417). Au sujet des anciens.

ISID. Pour moi, je vous demande un portrait qui soit moi, et qui n'oblige point à demander qui c'est. ADR. Il seroit malaisé qu'on demandât cela du vôtre, et vous avez des traits à qui fort peu d'autres ressemblent (VI, 263, Sic. x1).

Tout ce que de chez vous il vient de nous conter

Surpasse si fort la nature... (VI, Amph. 1605).

On vous aura forgé cent sots contes de lui (IV, Tart. 1668). Voy. CONTES. CÉL. Ce que nous entendrons, vous de moi, moi de vous.

...

ARS. Ah! Madame, de vous je ne puis rien entendre (V, Mis. 972, 973). Voy. Tenir des DISCOURS de...; faire des PLAINTES de....

Dans le monde on n'entend que plaintes de l'Amour;

On m'impute partout mille fautes commises (VIII, Psy. 159).

Quelque sujet que j'aie de me plaindre de vous du secret que vous m'avez fait (V, 312, Am. méd. I, Iv).

Je le veux quereller de cette action (VIII, 561, Escarb. 11). Cf. Faire QUERELLE de... (IX, F. sav. 1334).

(Je ne veux que)... vous faire serment que les bruits que j'ai faits

Des visites qu'ici reçoivent vos attraits... (IV, Tart. 908). Voy. BRUITS. Mais moi, que vous blâmez de trop de jalousie... (V, Mis. 501).

Une personne... qui m'a dit tantôt au nez mille sottises de moi-même (VIII, 512, Scap. III, x).

Ne me condamnez point d'un deuil hors de saison,

Et laissez-moi pousser des soupirs à foison (II, Sgan. 363). Voy. CoxDAMNER. Cf. DÉSAVOUER.

ARIS. Si Anaxarque a pu vous offenser, j'étois pour vous en faire justice moi-même. IPHI. Et quelle justice, Madame, auriez-vous pu nous faire de lui? (VII, 461, Am. magn. V, 1: note.)

Si l'on ne me fait retrouver mon argent, je demanderai justice de la justice (VII, 178, Av. V, 1).

Je demanderai qu'on me fasse justice de la justice? Harpagon du moins semble menacer l'homme de justice, le commissaire.

J'espérois toujours de votre salut; mais c'est maintenant que j'en désespère (V, 200, D. Juan, V, 1v).

Prier, supplier quelqu'un d'une chose. Voyez ces verbes.

Je vous sollicite de vos suffrages pour obtenir celle que je souhaite (IV, 200, Pr. d'É. IV, 1). [Préc. XVI).

...

Voyez ce que c'est que du monde aujourd'hui (I, Ét. 310; cf. II, 115,

Ce qu'est ce qui vient du monde; puis: Ce qu'il en est relativement au monde. Molière, dans le troisième exemple qui suit, a supprimé le que relatif. Comme Génin le rappelle, Regnier avait dit au début de sa satire xi :

Voyez que c'est du monde et des choses humaines!

Si j'étois que de vous, je ne la forcerois point à se marier (IX, 371, Mal. im. II, vi; cf. IX, 423 et IX, F. sav.

1139).

Si j'étois que des médecins, je me vengerois de son impertinence (LX, 403, Mal. im. III, 111).

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