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Qu'il n'a pas résolu que je vous y rencontre (III, Éc. d. f. 845).
Vous avez voulu aussi que nous soyons entrés jusqu'ici (II, 72, Préc. vII).
J'ai souffert qu'elle ait vu les belles compagnies (II, Ec. d. m. 187).

La Princesse ma mère a eu la bonté de souffrir que j'aye reculé toujours ce choix qui me doit engager (VII, 415, Am. magn. ÍI, 11).

Dans les comédies qu'ils ont souffert qu'on ait jouées tant de fois en public (IV, 393, Tart. 2o Plac.).

Je n'ai pas empêché qu'à vos perfections

[et 6 de 19°.

Il n'ait continué ses adorations (IX, F. sav. 106). Voy. plus loin les ex. 4,5
Mais comme trop d'ardeur enfin m'avoit séduit
Quand j'ai cru qu'en ces lieux elle l'ait introduit,
D'un trop cuisant ennui je sentirois l'atteinte

A lui laisser sur moi quelque sujet de plainte (II, D. Garc. 1203 : note.)
Vos amants ont arrêté entre eux que vous fussiez ensemble (VIII, 486,
Jamais je n'ai connu, discourant entre nous,
[Scap. III, 1).

Qu'il eut au fond du cœur de l'estime pour vous (IX, F. sav. 1152).
Vous épousiez ma fille et convoitiez ma femme!

J'ai douté fort longtemps que ce fut tout de bon (IV, Tart. 1547).
SUBJONCTIF IMPARFAIT après l'INDICATIF PLUS-QUE-PARFAIT.

Et son cœur à railler trouveroit moins d'appas

S'il avoit observé qu'on ne l'applaudit pas (V, Mis. 664).

Si j'avois souffert qu'ils se fussent vus (VI, 115, Méd. m. l. III, vii).
SUBJONCTIF PRÉSENT et PARFAIT après l'INDICATIf futur.

... Vous avez vos raisons;

Mais vous trouverez bon, que, j'en puisse avoir d'autres... (V, Mis. 419). Ceux qui me connoîtront n'auront pas la pensée

Que ce soit un effet d'une âme intéressée (IV, Tart. 1238).

Il ne sera pas dit, quoi qu'il arrive, que je sois capable de me repentir (V, 202, D. Juan, V, v). [Sic. Ix).

Il ne sera pas dit que je ne serve de rien dans cette affaire-là (VI, 258, Il ne sera pas dit qu'en un fait qui me touche

Je ne me sois non plus remué qu'une souche (I, Ét. 1204).

g) SUBJONCTIF PRÉSENT et IMPARfait après le conditionnel.

(On diroit) Que ce démon brouillon dont il est possédé

Se plaise à me braver, et me l'aille conduire... (I, Ét. 1695).

Seroit-ce quelque chose où je vous puisse aider? (VI, 49, Méd. m. l. I, iv.) Qui diroit que Madame eut un si grand enfant? (VIII, 586, Escarb, v11.) Vous mériteriez bien que l'on vous fit attendre,

Qu'afin de vous punir je vous tinsse caché

Le grand secret... (I, Dep. a. 130 et 131).

Par ma foi! il mériteroit qu'elle lui fit dire vrai (VI, 533, G. D. I, vi). Je serois d'avis que vous ne fissiez point de bruit (VIII, 429, Scap. I, Iv). Seroit-il possible, Monsieur, que vous pussiez aussi guérir cette maladie d'esprit? (VI, 113, Méd. m. 7. III, vi.)

... Je craindrois que peut-être

A quelques yeux suspects tu me fisses connoître (III, Fách. 612). Ne trouveriez-vous pas qu'il fut aussi beau de dire l'exposition du sujet que la protase? (III, 361, Crit. vI.)

He quoi? vous voudriez, Valère, injustement...

(Que) Je m'allasse engager... (I, Dép. a. 495).

Je voudrois bien, pour voir, que, de votre manière,

Vous en composassiez sur la même matière (V, Mis. 428).

... Je voudrois bien que vous l'excusassiez (IX, F. sav. 469).

Je voudrois bien être le petit poupon fortuné qui tetat le lait de vos bonnes grâces (VI, 77, Méd. m. 7. II, 11).

Vous voudriez que je vous disse que Monsieur le Vicomte vient de....

Mais je ne suis pas si bête (VI, 655, G. D. II, v).

Je voudrois, Monsieur,... que vous fussiez abandonné de tous les médecins, désespéré, à l'agonie, pour vous montrer l'excellence de mes remèdes, et l'envie que j'aurois de vous rendre service (LX, 419, Mal. [im. III, x).

h) SUBJONCTIF PLUS-QUE-PARFAIT après le CONDITIONNEL ANTÉRIEUR. LÉL. A qui la bourse? Ans. Ah! Dieux! elle m'étoit tombée, Et j'aurois après cru qu'on me l'eut dérobée (I, Ét. a60).

Je n'aurois jamais cru que « marababa sahem » eut voulu dire : « Ah! que je suis... » (VIII, 173, Bourg, g. IV, 111).

i) Emploi de l'indicatif dans des PROPOSITIONS SUBORDONNÉES.

Voyez plus loin à 18°.

D. JUAN. Y a-t-il rien de plus agréable? SGAN.... Je conçois que cela est fort agréable (V, 90, D. Juan, I, 11).

Vous ne concevez point qu'un cœur bien amoureux

Sur cent petits égards s'attache avec étude,

Et se fait une inquiétude (De la manière d'être heureux) (VI, Amph. 586 En effet, je comprends que vous avez raison,

Et que cette querelle est pure trahison (I, Dép. a. 609 et 610).

Jet 587).

Et ne trouves-tu pas, dis-moi, que j'ai raison d'en user de la sorte? (V, 86, D. Juan, I, II.)

On diroit que ce digne monarque a voulu faire voir ici qu'il sait maîtriser... l'ardeur de son courage (VI, 600, Gr. Div. roy.).

Croyez-vous qu'elle est mal d'être avec Léonor? (II, Éc. d. m. 94.)
Mais qui m'assurera que, dans le même instant,

Vous n'en disiez peut-être aux autres tout autant? (V, Mis, 508.)

Le vol des diamants n'est pas ce qui m'étonne :

On lève les cachets, qu'on ne l'aperçoit pas;

Mais le don qu'on veut qu'hier j'en vins faire en personne

Est ce qui fait ici mon cruel embarras (VI, Amph. 1468).

[I] m'a dit qu'aujourd'hui il venoit faire le portrait de cette adorable personne (VI, 257, Sic. Ix).

Écoutez si vous trouverez l'air à votre goût (II, 88, Préc. 1x).

Il ne faut point douter qu'il fera ce qu'il peut,

Et s'il a de l'argent, qu'il pourra ce qu'il veut (I, Ét. 705 et 706).

Si l'emploi de la comédie est de corriger les vices des hommes, je ne vois pas par quelle raison il y en aura de privilégiés (IV, 377, Tart. Préf.).

J'ai fait en sorte que ma femme ira dîner chez ma sœur (VIII, 123, J'ai cru jusques ici que c'étoit l'ignorance [Bourg. g. III, vı). Qui faisoit les grands sots et non pas la science (IX, F. sav. 1293 et 1294). Je fus étonné que, deux jours après, il me montra toute l'affaire exécutée (III, 158, Éc. d. f. Préf.).

1) Emploi des modes dans les propositions dépendant d'un INFINITIF.

Qu'ai-je fait, s'il vous plaît, de si brillant de soi,

Pour me plaindre à la cour qu'on ne fait rien pour moi? (V, Mis. 1056.) Je les trouve bons [les maris] de vouloir qu'on soit morte à tous les divertissements (VÌ, 549, G. D. II, 11).

Comment reconnoître que, chacun de notre côté, nous ayons comme il faut expliqué ce langage? (VI, 236, Sic. 11.)

C'est pour louer le Ciel et me voir hors d'effroi

De savoir que je n'aye à craindre que pour moi (VIII, Psy. 511).

Vous pouvez soupçonner mon amour de foiblesse,

Et croire qu'engagé par des charmes si doux,

Je puisse être jamais à quelque autre qu'à vous? (VI, Mélic. 418.)
Et j'ai dépit de voir que toute votre offense

Ne puisse de mon cœur jusqu'à cette vengeance

Faire encore aller le transport (VI, Amph. 1402; cf. IX, F. sav. 1418). J'aurois un peu de peine à voir qu'en ma présence

Il reçut des effets de quelque préférence (II, D. Garc. 465).

L'opinion que j'ai de moi-même est trop bonne

Pour croire auprès de moi que quelqu'autre te pluút (I, Dép. a. 115). Je n'ai pas même la force de souhaiter que les choses ne fussent pas (VII,* 53, Av. I, 1 : note).

On m'a enchargé de prendre garde que personne ne me vit (VI, 511, Et j'ai fait consentir l'esprit de cette belle

A souffrir qu'en secret je la visse chez elle (III, Fách. 604).

[G. D. I, n).

Ces femmes... qui seroient bien fâchées d'avoir souffert qu'on eut dit

du bien du prochain (III, 404, Impr. 1).

Et jamais de son cœur je n'aurai de pardon,

Pour n'avoir pas trouvé que son sonnet fut bon! (V, Mis. 1516.)

17° Emploi des modes dans les propositions relatives, suivant le temps du verbe de la proposition principale.

a) CONDITIONNELS.

C'est un dessein qui seroit malhonnête,

Que de vouloir d'un autre enlever la conquête (IX, F. sav.

.91).

Je vous jure... par l'épée que je porte, par tous les serments que je saurois faire, que... (VIII, 470, Scap. II, v1).

On y voit venir du beau monde, qui ne marchande point à vous rendre tous les respects qu'on sauroit souhaiter (VIII, 572, Escarb. 11).

Est-ce qu'il ne vous donne pas toute la liberté que vous souhaiteriez? (V, 308, Am. méd. I, III.)

C'est que j'ai de l'amour qui n'oseroit paroître (I, Dép, a. 524).

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Des propositions qui pourroient mieux lui plaire (IX, F. sav. 1682). b) SUBJONCTIF PRÉSENT, IMPARFAIT et PARFAIT, après l'indicatif présent, Pourvu que je puisse être au petit couché,

Je n'ai point d'autre affaire où je sois attaché (V, Mis. 740).

C'est une des grandes erreurs qui soit parmi les hommes (V, 136, D. Juan, III, 1; cf. IX, 396, Mal, im. III, 11).

Ce monde... n'est pas un champignon qui soit venu tout seul en une nuit (V, 141, D. Juan, III, 1).

L'aimes-tu d'une amour qui soit si violente ? (VI, Mélic. 70.)

Pour moi, je ne parle pas de ces choses par la part que j'y puisse avoir (III, 346, Crit. VI).

L'on n'en voit point de si fière, qui ne s'applaudisse en son cœur des conquêtes que font ses yeux (VI, 247, Sic. v1).

(Apprenez) Que je garde aux ardeurs, aux soins qu'il me fait voir, Tout le ressentiment qu'une âme puisse avoir (II, D. Garc. 1031). L'air est aussi beau qu'il s'en puisse faire (VIII, 52, Bourg. g. I, 11). Notre comtesse d'Escarbagnas, avec son perpétuel entêtement de qualité, est un aussi bon personnage qu'on en puisse mettre sur le théâtre (VIII, 558, Escarb. 1).

Qu'est-ce done? Qu'avez-vous qui vous puisse émouvoir? (V, Mis. 1219.) Est-ce que tu es jalouse de quelqu'une de tes compagues que tu voies plus brave que toi? (V, 307, Am, méd. I, 11.)

De jaloux mouvements doivent être odieux,

S'ils partent d'un amour qui déplaise à nos yeux (II, D. Garc. 94). ... Cet avis n'est pas d'une personne

Qui veuille voir cesser l'amour qu'elle vous donne (II, Éc. d. m. 440). Ciel! n'est-ce point ici quelque songe, tout plein de gloire, dont les Dieux me veuillent flatter...? (VII, 460, Am. magn. V, 11.)

Il n'y a rien que je ne fasse pour te satisfaire (V, 307, Am. méd. I, 11).

Il n'y a point de dépenses que je ne fisse, si par là je pouvois trouver le chemin de son cœur (VIII, 123, Bourg. g. III, v1).

Il n'y a rien que je ne fisse pour vous.... Je vous prie... d'être persuadé... qu'il n'y a rien au monde que je ne fisse pour votre service (V, 170, 172, D. Juan, IV, 111).

(Et je ne vois rien sous les cieux) D'affreux, d'horrible, d'odieux Qui ne me fut plus que vous supportable (VI, Amph. 1243)..

(Et quelque sentiment) Où pour ma fourbe alors put être mon amant, Voudra-t-il...? (I, Dép. a. 1152.)

Et quel que soit le sentiment où pourrait être mon amant....

... Il n'est point de ressort, qui pour votre ressource

Put faire maintenant ouvrir la moindre bourse (I, Ét. 104).

(Il n'est) Point d'États qu'à l'instant je ne pusse inonder (VII, 385, Am. magn. I Interm.).

N'a-t-il point quelque ami qui put, sur ses manières,

D'un charitable avis lui prêter les lumières? (V, Mis. 569.)

Il n'y a personne sans doute qui ne tint à beaucoup de gloire de toucher à un tel ouvrage (VI, 261, Sic. x1).

Il n'est Nymphe en l'aimant qui ne se tint heureuse (VI, Mélic. 73). Chante-moi cependant quelque plainte nouvelle que tu aies composée pour moi (IV, 192, Pr. d'E. Interm. IV, 1).

(Je veux)... voir si ce n'est point une vaine chimère

Qui sur ses sens troublés ait su prendre crédit (VI, Amph. 1485).

Je ne suis pas la première qui ait su recourir à de pareilles vengeances, qui n'ait pas fait difficulté de se donner la mort pour perdre ceux qui ont la cruauté de nous pousser à la dernière extrémité (VI, 584, G. D. III, vi).

[Ce n'est qu'] un petit impromptu... Il est le plus précipité de tous ceux que Sa Majesté m'ait commandés (V, 293, Am. med. Au lecteur). Il n'est soins empressés, devoirs, respects, services,

Dont il [mon cœur] ne vous ait fait d'amoureux sacrifices (IX, F. sav. 1182).

c) SUBJONCTIF IMPARFAIT et PLUS-que-parfait après l'INDICATIF IMPARFAIT. Et nous n'oyions jamais passer devant chez nous

Cheval, âne, ou mulet, qu'elle ne prit pour vous (III, Éc. d. f. 230). ... Si c'étoit quelqu'une [quelque flamme] où par votre secours Vous pussiez être utile au bonheur de mes jours? (I, Dep. a. 490.) Ah, cruelle! si c'étoit Tircis qui t'en priat, tu demeurerois bien vite (IV, Ce seroit paroles exquises, [175, Pr. d'É. Interm. III, 1).

Si c'étoit un grand qui parlat (VI, Amph. 842).

Si nous avions quelque femme..., qui jouat assez bien pour... (VII, 158, Av. IV, 1).

Pour agir en galant homme, il faut que vous fassiez comme si ce n'étoit pas vous qui lui eussiez fait ce présent (VIII, 155, Bourg. g. III, xv1). ... Que me diriez-vous, Monsieur, si c'étoit moi

Qui vous eut procuré cette heureuse fortune? (I, Dép. a. 945.)

d) SUBJONCTIF PRÉSENT et IMPARFAIT après l'INDICATIF PRÉTÉRIT INDÉFINI OU DÉFINI. ... Il n'a jamais pensé

A rien dont ton honneur ait lieu d'être offensé (II, Éc. d. m. 597 et 598; Je sais que ton esprit, en intrigues fertile, [voy, les v. 573 et 574). N'a jamais rien trouvé qui lui fut difficile (I, Ét, 16),

Il ne m'en a pas dit un mot qui fût fâcheux (I, Dép. a. 939).

Elle [sa peur] lui fit faire devant l'ours toutes les soumissions dont il se put aviser pour l'adoucir (IV, 160, Pr. d'É. Interm, II, Argum.).

e, SURJONCTIF PRESENT après l'INDICATIF FUTUR.

Nous chercherons partout à trouver a redire,

Et ne verrons que nous qui sache bien écrire (IX, F. sav. 926 : note). Il ne se fera pas un bout de vers dans Paris que vous ne sachiez par cœur avant tous les autres (II, 81, Préc. 1x).

Il n'y aura personne qui mette en doute que... (VI, 583, G. D. III, vi). SUBJONCTIF PRÉSENT et IMPARFAIT après le CONDITIONNEL.

Vous ne sauriez inventer d'excuse qu'il ne me soit facile de convaincre de fausseté (VI, 580, G. D. III, vi).

Seroit-il quelque étoffe nouvelle dont tu voulusses avoir un habit? (V, 307, Am. méd. I, 11.)

Où diantre pourrois-tu trouver qui me valut? (I, Dép. a. 116.)

g) SUBJONCTIF après un INFINITIF.

(Vous ne sauriez)... nous faire un contrat qui soit en beau langage? (IX, F. sav. 1602.)

Je vous prie... de m'aider vous-même à faire choix d'une personne qui me serve de guide, et sous la conduite de qui je puisse marcher sûrement... (V, 190, D. Juan, V, 1).

Il y a plaisir... à travailler pour des personnes qui soient capables de sentir les délicatesses d'un art, qui sachent faire un doux accueil aux beautés d'un ouvrage (VIII, 47 et 48, Bourg. g. I, 1).

En attendant qu'ils viennent, songez... à trouver... quelque prétexte spécieux de pèlerinage nocturne, ou d'amie en travail d'enfant, que vous veniez de secourir (VI, 580, G. D. III, vr).

h) PROPOSITIONS RELATIVES ayant leur verbe à l'INDICATIF.

(Apprenez)... qu'aux gens d'un logis il faut avoir recours,

Afin de s'introduire en valet qui sait vivre (IX, F. sav. 1393; cf. 1684). Ce n'est pas une comédie, c'est une affaire fort sérieuse, et la plus pleine d'honneur pour vous qui se peut souhaiter (VIII, 202, Bourg. g. V, v note).

Vous n'êtes pas la première femme qui joue dans le monde de ces sortes de caractères et qui ait auprès d'elle un Monsieur le Receveur, dont on lui voit trahir et la passion et la bourse pour le premier venu qui lui donnera dans la vue (VIII, 594, Escarb. vIII).

Dont on la voit toujours prête à trahir..., dont elle est toujours prête à trahir....

Place-toi contre ce logis, afin qu'au moindre bruit que l'on fera dedans, je fasse cacher les lumières (VI, 239, Sic. 11).

Et je me vis contrainte à demeurer d'accord

Que l'air dont vous viviez vous faisoit un peu tort (V, Mis. 900; les éd. de 1674 et 1682 ont « vivez »).

Hélas! faut-il que je perde mon père, la seule chose qui me restoit au monde? (IX, 432, Mal. im. III, xi.)

Voilà le seul honnête homme que j'ai trouvé en cette ville (VII, 330, Pourc. III, v).

i) Exemples divers.

ne

Je ne suis pas comme ces femmes qui veulent... des portraits qui sont point elles.... Je vous demande un portrait qui soit moi (VI, 263, Sic. xI).

En vérité, je vous sais bon gré de cela, et voilà l'action la plus sage que vous ayez faite de votre vie (IX, 295, Mal, im. I, v).

... Pourquoi, s'il vous plaît,

Lui bailler [pour mari] un savant, qui sans cesse épilogue? (IX, F. sav. 1657.) Est-ce ici l'indicatif ou le subjonctif?

Il ne m'importe qui ce soit (VII, 168, Av. IV, IV : note).

Il disoit... qu'il seroit bien fàché d'y avoir jamais marqué qui que ce soit (III, 413, Impr. 1v).

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