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Ma famille en opprobre et misère jetée (I, Dép. a. 659). Par la décou-
S'il arrive une fois que mon sort éclairci
[verte de la fourbe.
Mette ailleurs tout le bien dont le sien a grossi... (I, Dép. a. 1147).
Son intérêt détruit me laisse à ma naissance (I, Dép.`a. 1150).

Le ravissement où j'étois de mes fers

Les auroit préférés à des sceptres offerts (I, Dép. a. 1304).

Je n'accepterois pas une couronne offerte,

Pour le plaisir que j'ai de... (VI, Mélic. 556).

[Vous pouvez croire] Que je puisse accepter une autre main offerte? (VI, Son secret révélé vous est une matière

A donner à vos vœux liberté toute entière (II, D. Garc. 43).

Oui, je suis Dom Alphonse, et mon sort conservé

Et sous le nom du sang de Castille élevé,

Est un fameux effet de l'amitié sincère

[Mélic. 419.)

Qui fut entre son prince et le roi notre père (II, D. Garc. 1746, 1747 note). La conservation de mon sort [voy. SORT au Lexique], mon salut et mon éducation faite sous le nom du....

C'est encor depuis sa lettre méprisée

Qu'il a dit ce dessein qui m'a scandalisée (II, Éc. d. m. 640). Depuis le mépris qui a été fait de sa lettre.

AMPH. Et quand? Sos. Après votre paix faite (VI, Amph. 1598).

L'autre, voyant cette extravagance, de demander conseil après une résolution prise, lui conseille... (IV, 72, Mar. f. Livret de 1664, I, 1). Que me veulent dire et ces soupirs poussés,

...

Et ces sombres regards que sur moi vous lancez? (V, Mis. 1279.)

Je ne comprends point comme après tant d'amour et tant d'impatience témoignée..., il auroit le cœur de... (V, 82, D. Juan, I, 1). J'admire de voir cette lettre ajustée

...

[de la pierre. Avec le sens des mots et la pierre jetée (III, Éc. d. f. 917). Et avec le jet L'offense... est une sœur séduite et enlevée d'un convent (V, 151, D. Juan, III, III).

Une formalité négligée porte un notable préjudice à tout le corps des médecins (V, 324, Am. méd. II, ш).

Ce billet découvert suffit pour vous confondre,

Et contre ce témoin on n'a rien à répondre (V, Mis. 1325). Cf. :

Mais son sort incertain rend le mien misérable (II, D. Garc. 1764). L'incertitude de son sort.

(Ton pinceau s'explique...,) Malgré toi de ton art il nous fait confidence, Et dans ses beaux efforts à nos yeux étalés

Les mystères profonds nous en sont révélés (IX, Val-de-Gr. 41).
C'est par là qu'à nos yeux nuls travaux enfantés

De ton noble travail n'atteindront les beautés (IX, Val-de-Gr. 201).
Vous verrez... si leur foi donnée

m. 979). Si

N'avoit pas joint leurs cœurs depuis plus d'une année (II, Éc, d. m. le don de leur foi, la promesse d'être l'un à l'autre.

Tu peux hardiment te flatter

De ces espérances données (VI, Amph. 1923). Que je te donne.
Me tiendrez-vous au moins la parole avancée? (VI, Mélic. 547.)
Et ses coups contre moi redoublés en tous lieux

[qu'il redouble...

Montrent qu'il ne se croit jamais victorieux (F. sav. 1039). Les coups (Souviens-toi)... de ton libraire à l'hôpital réduit (IX, F. sav. 1024). Ton libraire que tu as réduit à........ Cf. :

[voi de D. Lope.

Et Dom Lope qu'il chasse est un visible effet
Du vif remords qu'il sent de l'éclat qu'il a fait (II, D. Garc. 1114). Le ren-
Et puis-je mais des soins qu'on ne va pas vous rendre ? (V, Mis. 994).
Reprochez-vous, Madame, à nos justes alarmes

Ce péril dont tous deux avons sauvé vos charmes (IV, Pr. d'Él. 265).

3o Participe passé en apposition à un régime ou au sujet de la phrase. Je vous envoie Horace, Virgile, Térence et Catulle, où vous verrez notés en marge tous les endroits qu'il a pillés (IX, 177, F. sav. av. le v. 1395).

Je vous le dis encore: armé de ce qu'il a,

Vous ne deviez jamais le pousser jusque-là (IV, Tart. 1707).
(Je)... crois voir en nous deux, sous mêmes soins nourris,
Ces deux frères... (V, Mis. 99).

Il craint le pronostic, et contre moi faché,

On m'a dit qu'en justice il m'avoit recherché (I, Ét. 1137).

Ce secret, plus tôt su, peut-être à toutes deux

Nous auroit épargné des troubles si fâcheux (II, D. Garc. 1678). Si nous l'avions su plus tôt.

Possible que, malgré la cure qu'elle essaie,

Mon âme saignera longtemps de cette plaie,

Et qu'affranchi d'un joug qui faisoit tout mon bien,

Il faudra se résoudre à n'aimer jamais rien (I, Dép. a. 1311). Une fois affranchi, si je suis jamais affranchi....

Et ses nobles motifs [de votre politique], au Prince rapportés,

Serviroient assez mal vos asssiduités (II, D. Garc. 438).

Ce nœud, bien assorti, n'a-t'il pas des appas? (IX, F. sav. 25.)

Ces deux adverbes joints font admirablement (IX, F. sav. 770).

Et sa douceur [de votre accueil], offerte à qui vous rend les armes,
Achève sur les cœurs l'ouvrage de vos charmes....

Et votre complaisance un peu moins étendue

De tant de soupirants chasseroit la cohue (V, Mis. 469 et 473).

Mais je marche en tremblant à cet illustre emploi,

Assuré que vos vœux ne seront pas pour moi (II, D. Garc. 891).

Son ordre est qu'en ce lieu vous devez vous tenir,

Assuré que dans peu vous l'y verrez venir (III, Fách. 370).

Que ne me dites-vous... qu'éloigné de moi, vous souffrez ce que souffre un corps qui est séparé de son âme? (V, 97, D. Juan, I, 111.)

Vous pouvez soupçonner mon amour de foiblesse,

Et croire qu'engagé par des charmes si doux,

Je puisse être jamais à quelque autre qu'à vous? (VI, Mélic. 417.)

M. DE SOT. Venez, ma fille.... ANGÉLIQUE, descendue. Moi? lui pardonner tout ce qu'il m'a dit? (VI, 591, G. D. III, vi, j. de sc.). [Andrès et Trufaldin],... accourus d'aventure (Ont...) (I, Et. 1948). Cependant, arrivé, vous sortez bien et beau,

Sans prendre de repos, ni manger un morceau (II, Sgan. 223).

Parti plus tôt, pour chose nécessaire,

Horace vous chargea de voir ici son père (I, Ét. 1343 et 1344). Comme vous étiez parti plus tôt, Horace vous chargea....

4° Participe passé absolu.

Je suis parti, les cieux d'un noir crêpe voilés (VI, Amph. 718).

Mais lui, pour le quitter, me voyant ébranlé:

« Sortons, ce m'a-t-il dit, le monde est écoulé » ;

Et sortis de ce lieu, me la donnant plus sèche :

<< Marquis, allons au Cours... » (III, Fách. 75). Nous une fois sortis, quand nous fumes sortis.

Puis, acquittés un peu de ce premier devoir,

Aux justes soins d'un autre il nous faudra pourvoir (IV, Tart. 1959). Percé du coup mortel dont vous m'assassinez

Mes sens par la raison ne sont plus gouvernés,

Je cède aux mouvements d'une juste colère,

Et je ne réponds pas... (V, Mis. 1311).

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Le terme venu que nous devons le rendre [l'argent],

C'est lors que les douleurs commencent à nous prendre (I, Ét. 211).

...

L'achat fait, ma bague est la marque choisie

Sur laquelle au premier il doit livrer Célie (I, Ét. 763).

Et par votre autre affaire

L'éclat de son secret devenu nécessaire,

Nous en avons nous deux votre père informé... (I, Dép. a. 1605-1607). L'éclat, la révélation de son secret étant devenu nécessaire, par suite de

Et poussant plus avant encore notre pointe,

Quelque peu de fortune à notre adresse jointe,

Aux intérêts d'Albert de Polydore, après,

[votre autre affaire....

Nous avons ajusté si bien les intérêts... (I, Dép. a. 1609-1612).
Quelque heureuse chance étant jointe à notre adresse.

Sa demande reçue et ses vertus prisées,

Nous avons été tous frapper à nos brisées (III, Fách. 511).
Après avoir accueilli sa demande et apprécié ses mérites....

Tout bien considéré,... je ne vois... (III, 157, Epître à Madame).
Mais supposé, comme il est vrai, que les exercices de la piété souffrent
des intervalles,... je soutiens que... (IV, 383, Tart. Préf.).

Après avoir aux Dieux adressé les prières,

Tous les ordres donnés, on donne le signal (VI, Amph. 250).

Et le souper fini, nous nous fûmes coucher (VI, Amph, 1019).

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1o Exemples divers d'adverbes et de locutions adverbiales.

Voy. aux ADJECTIFS quelques exemples d'adverbes ou de locutions adverbiales employés adjectivement et comme attributs.

Voy. plus loin, à PLACE DES ADVERBES (XXI, G).

Mieux, moins, plus, pour le mieux, le moins, le plus

voy. ces mots au

Lexique, et remarquez particulièrement dans l'exemple suivant (III, Fách. 130) le superlatif le moins opposé au comparatif plus :

Ce que plus il souhaite est ce qu'il croit le moins.

PLUS TOT et PLUTÔT employés sans distinction de sens : voyez aux Additions et Corrections du Lexique, tome XIII, p. 634, 6° alinéa.

Si et TANT (tellement, à ce point) employés devant un substantif ou un adjectif voyez à l'article de ces mots au Lexique et plus haut aux ADJECTIFS (mots pris adjectivement).

Sur les adverbes superlatifs employés par les Précieuses (furieusement, terri-
blement), voyez tome II, p. 95, note 4. Cf. HAUTEMENT, au Lexique.
Leur savoir à la France est beaucoup nécessaire (IX, F. sav. 1361).
J'ai prou de ma frayeur en cette conjoncture (I, Ét. 604 : note).
Dès que j'en vis briller la splendeur plus qu'humaine (IV, Tart. 973).
Et c'est injustement qu'on se plaint d'un malheur,

Quand un autre plus grand s'offre à notre douleur (II, D. Garc. 874).
Il est nécessaire d'aimer pour vivre heureusement (IV, 167, Pr. d'É. II, 1).
Asc. Prenons garde qu'aucun ne nous vienne surprendre....

FROS. Nous serions au logis beaucoup moins surement (I, Dép. a. 345).
Longuement, longtemps voyez au Lexique.

Je ne vois pas que les choses pour nous en puissent être ni pis ni mieux (VIII, 504, Scap. III, iv).

Me trouvez-vous bien comme cela? Je serai mieux sans robe (VIII,

52, 53, Bourg. g. I, 11).

LEX. DE M.

...

On trouve parfois des gens avec des secrets admirables, de certains remèdes particuliers, qui font le plus souvent ce que les autres n'ont su faire (VI, 50, Med. m. l. I, Iv).

ANDRÉE. Je fais... le plus doucement que je puis. LA COMт. Oui, mais le plus doucement que vous pouvez est fort rudement pour ma tête (VIII, C'est moi qui suis Sosie enfin, de certitude, [562, 563, Escarb. 11).

Fils de Dave, honnête berger (VI, Amph. 459: note).

Voy. d'ABORD, ENTRE-DEUX, par Fois, de la SORTE, de la FAÇON, un PETIT (au Lexique), et de même (plus haut, aux ADJECTIFS INDÉFINIS; voy. là aussi pour même et mêmes adverbes).

Je pardonne ces paroles au chagrin où vous pouvez être de vous être levée matin (VI, 250, Sic. v1).

2o Adjectifs pris adverbialement.

Possible, peut-être voy. au Lexique.

La renommée accuse juste en contant ce que vous valez (II, 75, Préc. Ix).
De tout ceci, franc et net,
Je suis mal satisfait (VIII, 214, Bourg. g.

Ballet des Nat.).

Je vous le chante clair, comme un chardonneret (IX, 583, Bouts-rimés). ... Vous sortez bien et beau (II, Sgan. 223). Bel et bien. Voy. au Lex. Je crains que le pendard...

Un peu plus fort que jeu n'ait poussé les affaires (III, Éc. d. f. 548).
On me dit fort que tous les jeunes hommes sont des trompeurs (III, 227,
Ec. d. f. Lettre d'Agnès).

(Un jeune homme qui)... m'a droit dans ma chambre une boîte jetée (II, Éc. d. m. 467).

Mon Dieu! je n'avons pas étugué comme vous,

Et je parlons tout droit comme on parle cheux nous (IX, F. sav. 486). Il parle tout fin drait comme s'il lisoit dans un livre (VI, 69, Méd. m. l. II, I note; cf. V, 103, D. Juan, II, 1).

Il file doux (VII, 137, Av. III, 1).

[Cheval] court-jointé (III, Fách. 530).

...

Sur ce museau tondu tout frais (VI, 193, Past. com. 11).

Monsieur est frais émoulu du collège (IX, 370, Mal, im. II, v1).

Voy. au Lexique Dire vrai; parler, déclarer, le trancher net; marcher droit, j'allai droit à..., je m'en retourne droit; à droit et à gauche; trancher... court; tout de bon; tout doux! tout beau!

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Ne bougez, je reviens tout à l'heure (VII, 86, Av. I, v; cf. VII, 240, Pourc. I, 1).

Voy. au Lexique sept autres passages, cités ou indiqués, dont quatre avec leur verbe à l'impératif, où BOUGER est employé avec ne seul.

A répondre à cela je ne daigne descendre (IX, F. sav. 195). De même avec daigner: VI, Amph. 1725.

GERONI. Quel âge pouvez-vous bien avoir?... SGAN. Ma foi, je ne sais (IV, 19, Mar. f. 1). Voy. SAVOIR.

...

J'ai regret, Monsieur, de n'y pouvoir répondre....

[1486).

Je vois bien que j'ai tort, mais je n'y puis que faire (IX, F. sav. 1478 et
PHILAM.... Je voudrois bien que vous l'excusassiez.
CHRYS. Je n'ai garde (ibid. 470).

...

Cette lettre, qui vous dira ce que je n'ai osé vous aller dire (IX, 200,
F. sav. après le v. 1694).

Hélas! Seigneur Albert, je ne veux autre chose (I, Dép. a. 861). De même dans des phrases contenant les mots autre chose (VI, 90, Méd. m. l. II, Iv; VIII, 594, Escarb. vIII), ou vouloir (V, Mis. 1512).

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Nous ne nous sommes vus depuis quatre ans ensemble (III, Éc.d. f. 263). Cf. I, 67; Médec. vol. 1x : Qu'as-tu fait depuis que je ne t'ai point vu? SGAN. Cette grande santé est à craindre, et il ne sera mauvais de vous faire quelque petite saignée amiable (VI, 90, Méd. m. l. II, iv).

LE NOTAIRE. Encore faut-il qu'il n'y ait enfants, soit des deux conjoints, ou de l'un d'eux (IX, 313, Mal. im. I, vII).

Ah! que j'ai de dépit que la loi n'autorise... (II, Sgan. 137).

Allez vite, qu'il ne nous voye ensemble (VII, 320, Pourc. III, 1).

Que ne remerciez-vous un peu votre femme de...? (VI, 563, G. D. II, VIII.) Voy. le Lexique à QUE (p. 359).

Qu'on dise que je suis sorti et que je ne dois revenir de toute la journée (IV, 17, Mar. f. 1).

[III). Je pense que je n'en reviendrai de plus de quinze jours (III, 321, Cri. Ote-toi de mes yeux, te dis-je, et ne me parle de ta vie (VIII, 126, Bourg. g. III, VIII). De même avec de ma vie (V, 543, Mis. Lettre de Célimène; Mis. 1524; VII, 321, Pourc. III, 11), avec de sa vie (VI, 550, G. D. II, п; VIII, 126, Bourg. g. III, ví). Allez, je ne sais pas, si vous n'étiez ma mère, Ce que je vous dirois (IV, Tart. 1693).

Si je n'avois tranché du grand seigneur, et n'avois fait le brave, ils n'auroient pas manqué de me happer (IX, 331, Mal. im. Ir Interm; cf. IX, 290, 305).

Je t'assomme si tu ne parles (V, 162, D. Juan, III, v; cf. V, 168). Voy. encore ne seul après si... : I, Ét. 197, 1238; I, Dép. a. 51, 950; VI, Et peux-tu faire enfin, quand tu serois démon, [Amph. 305).

Que je ne sois pas moi? que je ne sois Sosie? (VI, Amph. 415.)

2° NE renforcé par PAS, POINT, POINT DU TOUT, DU TOUT, Goutte.

Vous ne pouvez pas que vous n'ayez raison (VII, 84, Av. I, v : note). Qu'on me traite partout du plus grand des faquins,

S'il est aucun respect ni pouvoir qui m'arrête,

Et si je ne fais pas quelque coup de ma tête (IV, Tart. 825).

Je ne sais pas ce que vous me voulez dire (IX, 309, Mal. im. I, vi; cf. I, Ét. 1393; IX, F. sav. 791).

Si mon père ne veut pas me donner un mari qui me plaise, je le conjurerai au moins de ne me point forcer à en épouser un que je ne puisse vas aimer (IX, 370, Mal. im. II, vi).

... Vous n'avez pas lieu d'en prendre aucun soupçon (I, Ét. 130).
Ne devines-tu point de quoi je veux parler? (ÎX, 290, Mal. im. I, Iv.)
Ne suis-je pas ton père? et ne me dois-tu pas respect? (VII, 165, Av.
IV, III.)

Suivre un galand n'est pas une action infâme? (III, Éc. d. f. 1508.)

Ne voilà pas ce que je vous ai dit? (VI, 590, G. D. III, vii: note.)
On ne voit presque point céans venir Damis (IX, F. sav. 385).

... J'ai, Madame, à vous dire

Que je ne connois point ces gens-là (IX, F. sav. 500).

La poule ne doit point chanter devant le coq (IX, F. sav. 1644).

(Je suis bien aise) De n'avoir point parlé, pour ne m'engager pas (IX, F. sav. 652; cf. les v. 1195, 1196 pour un semblable emploi de point et pas rapprochés).

J'ai cru qu'il étoit mieux de ne m'engager point (IX, F. sav. 657).

Ne devines-tu point de quoi je veux parler? (IX, 290, Mal. im. I, Iv.)

(Je veux) Un mari qui n'ait point d'autre livre que moi (IX, F. sav. 1668). Vous ne me voyez point témoigner de colère,

Point mettre l'épée à la main (VI, Amph. 1674, 1675).

La, la, mon papa, ne pleurez point tant, je ne suis pas morte tout à fait (IX, 382, Mal. im. II, vIII).

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