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D. Pronoms accordés avec des mots qu'on a dans l'idée;

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il, ils, eux, rapportés à personne, gens.

Où va-t-elle, où va-t-elle? que veut-elle faire, cet oison bride? (VIII, 563, Escarb. 11.)

Une personne de qualité... trouva le projet assez à son gré, non seulement pour me solliciter d'y mettre la main, mais encore pour l'y mettre lui-même (III, 158, Éc. d. f. Préf.).

Il n'y a personne qui ne soit ravi de lui nuire, n'y eût-il point d'autre intérêt (VI, 274, Sic. xv). Voy. le Lexique (II, 269) à PERSONNE subst. féminin.

La qualification d'honnête homme a été très naturellement rapportée à une personne (équivalent de on): « Il n'est pas incompatible qu'une personne soit ridicule en de certaines choses et honnête homme en d'autres » (III, 365, Crit, vi).

Voy. aux PRONOMS PERSONNELS (V, B, 3o) : Il, elle, représentant quelqu'un, quelque chose.

Ce sera seulement pour venger le public du chagrin délicat de certaines gens; car, pour moi, je m'en tiens assez vengé par la réussite de ma comédie; et je souhaite que toutes celles que je pourrai faire soient traitées par eux comme celle-ci (III, 159, Éc, d. f. Préf.).

A ces mots, toute la troupe de Bacchus arrive, et l'un d'eur, s'avançant à la tête, chante fièrement ces paroles... (VI, 609, Gr. Div. roy.). DOR. Où est donc Son Altesse Turque...? M. JOURD. Le voilà qui vient (VIII, 200, Bourg. g. V, III: note).

Vous laisserez sans honte immoler votre fille

Aux folles visions qui tiennent la famille,

Et de tout votre bien revêtir un nigaud,

Pour six mots de latin qu'il leur fait sonner haut...? (IX, F. sav. 687Nous voulons montrer à de certains esprits,

...

Dont l'orgueilleux savoir nous traite avec mépris,
Que de science aussi les femmes sont meublées,

[690.)

Qu'on peut faire comme eux de doctes assemblées (IX, F. sav. 870).

Je viens de faire deux ou trois visites, où ils ont pensé me désespérer

par le peu de respect qu'ils rendent à ma qualité (VIII, 570, Escarb. ARM. On voit briller pour vous les soins de notre mère, Et son choix ne pouvoit d'un plus illustre époux....

(II). HENR. Si le choix est si beau, que ne le prenez-vous [cet époux]? (IX, F. sav. 1188.)

Il vous en faudra [de l'argent] pour les grosses d'écritures,... pour le rapport des substituts; pour les épices de conclusion; pour l'enregistrement du greffier, façon d'appointement, sentences et arrêts, contrôles, signatures et expéditions de leurs clercs (VIII, 466, Scap. II, v). Des clercs de « tous ces gens-là ».

Vous... auquel il en a tant passé par les mains de toutes les façons (VII, 272, Poure. I, vIII). En ne rappelle ici aucun mot exprimé : Vous auquel il a passé par les mains tant de gens. Voy. le Lexique à EN (p. 394 et 395).

D. PED. On est venu chanter sous nos fenêtres. Ism. Il est vrai la musique en étoit admirable (VI, 246, Sic. v1).

ALB. Et si le démenti par elle vous en reste?

MASC. Elle n'en fera rien, Monsieur, je vous proteste (I, Dép. a. 1013. 1014). Elle ne nous démentira pas.

A.

XVIII

RÉGIME

Régimes de certains substantifs

Voy. aussi à CONSTRUCTION (XXI, E, 1o).

Pour les exemples de substantifs précédés de DE et équivalents de génitits, soit objectifs, soit subjectifs, voyez le Lexique à DE (16°, a et b, p. 280 et 281) et aux mots CHÂTIMENT, CHOIX et HYMEN.

... Si j'ai votre foi

Qu'on ne vous verra point vouloir venger sur moi... (I, Ét. 1621, 1622). Voy. For.

Une entière croyance aux propos de Lucile (I, Dép. a. 34).

Et cet empressement pour s'en aller dans l'ombre

Pêcher vite à tâtons quelque sinistre encombre...! (I, Dép. a. 1509.)
Personne ici n'aura l'entrée (II, Éc. d. m. 1007).

(Votre humeur)

Ouvre au premier venu trop d'accès dans votre áme (V, Mis. 458).

Comme, par la mauvaise humeur de son père, toute sorte d'accès m'est fermé auprès d'elle, je me hasarde à vous prier de vouloir servir mon amour (VI, 94, Méd. m. l. II, v).

Ne lui dois-je pas faire [à Alcmène sa femme]...

Un récit de ses faits contre nos ennemis (VI, Amph. 437).

La tête d'une femme est comme la girouette

Au haut d'une maison, qui tourne au premier vent (I, Dép. a. 1266, 1267). Je saurai... prévenir sur toi le courroux du Ciel (V, 178, D. Juan, IV, 1v). Mais un plus long séjour me rendroit trop coupable,

Et du retour au port les moments sont pressés (VI, Amph. 615).

... Deux âmes en qui l'on ait vu une plus grande conformité de sentiments, qui aient fait éclater, dans le même temps, une résolution à braver les traits de l'Amour, et qui, dans le même moment, aient fait paroître une égale facilité à perdre le nom d'insensibles (IV, 200, Pr. d'É. IV, 1).

Cette commodité de retoucher l'ouvrage

Aux peintres chancelants est un grand avantage (IX, Val-de-Gr. 251). Et parfois il me prend des mouvements soudains

De fuir dans un désert l'approche des humains (V, Mis. 144, 145).

En vous le produisant, je ne crains point le blame

D'avoir admis chez vous un profane, Madame (IX, F. sav. 938).

B.

Compléments circonstanciels exprimés sans l'aide
de prépositions.

C'est un coup de mousquet que je reçus la dernière campagne que j'ai faite (II, 103, Préc. XI).

(Un parti) L'obligea d'en sortir [de la ville] une nuit sans éclat (I, Ét. 1314). Un fils...) Dont cette nuit en songe il a vu le retour (I, Ét. 1298). Que faites-vous les soirs avant qu'on se retire? (II, Éc. d. m. 303.)

Mon valet la nuit pour la garder [la maison] s'y tient (I, Ét. 1778). Un seul moment plus tard tous vos pas étoient vains (I, Et. 821). Comédie représentée la première fois à Paris... (IX, 1, F. sav. Titre de l'éd. de 1682).

...

Quatre lustres entiers il y cache son sort... (II, D. Garc. 858).

...

Après m'avoir eu quatre ans pour serviteur... (1, Ét. 735; voy. IX, F. sav. 1180, 1373).

Tout s'est-il, ces deux jours, passé de bonne sorte? (IV, Tart. 129.)

Je souffrirai un temps; mais j'en viendrai à bout (VIII, 134, Bourg. g. III, x; cf. V, Mis. 315).

Quel temps avez-vous demeuré en Angleterre? (IV, 20, Mar. f. 1.)

Alle a, de deux jours l'un, la fièvre quotiguenne (VI, 101, Med. m. l. III, 11). Quoi? masques toute nuit assiégeront ma porte? (I, Ét. 1244.)

Jour et nuit, grele, vent, péril, chaleur, froidure,

Dès qu'ils parlent, il faut voler (VI, Amph. 172 : note).

Je suis parti, les cieux d'un noir crépe voilés,

Pestant fort contre vous dans ce fàcheux martyre (VI, Amph. 718).

D. JUAN, se reculant trois pas... (V, 153, D. Juan, III, Iv, j. de sc.). Monsieur Purgon m'a dit de me promener le matin dans ma chambre, douze allées, et douze venues (IX, 339, Mal. im. II, 11).

Argan, seul dans sa chambre assis, une table devant lui, compte des parties d'apothicaire avec des jetons (IX, 279, Mal, im. I, 1). Après ce rare exploit, je veux que l'on s'apprête

A me peindre en héros un laurier sur la tête (I, Ét. 791).

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Un arc à la main, sur l'épaule un carquois,

Comme une autre Diane elle hante les bois (IV, Pr. ďÉ.

71).

Et lui, plein de transport et l'allégresse en l'ame... (III, Ec. d. f. 1756). Tantôt, l'esprit ému d'une frayeur bien vive

D'avoir vu Trufaldin avecque mon rival,

Je songeois à trouver un remède à ce mal... (I, Ét. 848).

S'aller jeter dans l'eau la tête la première (VI, 594, G. D. III, ví).

La grammaire, qui sait régenter jusqu'aux rois,

Et les fait la main haute obéir à ses lois (IX, F. sav. 466).

Crainte pourtant de sinistre aventure,

Allons chez nous achever l'entretien (VI, Amph. 267).

J'empêche, peur du chat, que mon moineau ne sorte (III, Éc. d. f. 207).

On peut rapprocher des exemples donnés plus haut les phrases suivantes : Hors céans, on le prise [Trissotin] en tous lieux ce qu'il vaut (IX, F. sav. 1259). [A] sa valeur.

Admirez mes bontés et le peu qu'on vous vend Ce trésor merveilleux... (V, 334, Am. méd. II, vii). Le peu [pour] lequel on vous vend, comme [pour] peu de chose on vous vend....

Je les vends cela (VI, 60, Méd. m. l. I, v). [A] ce prix-là.

C. Régime de quelques adjectifs.

(Que de discours!) Rien n'est-il suffisant d'en arrêter le cours? (Dép. a. Cet amour de travail, qui toujours règne en eux,

Rend à tous autres soins leur esprit paresseux (IX, Val-de-Gr. 354).
Ce vigoureux génie, au travail si constant... (IX, Val-de-Gr. 305).

(754.)

Si vous êtes né à ne pouvoir vous en passer [des médecins], il est aisé d'en avoir un autre (IX, 413, Mal. im. III, v1).

Si vous avez été destiné en naissant à ne pouvoir..... : voyez la note 3 à la page citée.

Mais quand j'ai bien mangé, mon âme est ferme à tout (II, Sgan. 235). Voy. au Lexique les article A (1°, g, p. 6) et DE (5o, p. 269).

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Quelque sujet que j'aie de me plaindre de vous du secret que vous m'avez fait... (V, 312, Am. med. I, iv : note).

On n'a nul droit de murmurer

Des grâces que leur main [la mains des Dieux] ne veut plus nous étendre (VIII, Psy. 656). Étendre jusqu'à nous, répandre sur nous.

Je t'achète... des rubans à tous les marciers qui passont (V, 110, D. Juan, II, 1).

De ce qu'elle s'y met [dans sa tête] rien ne la fait gauchir (III, Éc. d. f. 822).

Ce qu'il trouve qu'il ne lui est point arrivé [il doit] l'imputer à bonne fortune (VIII, 454, Scap. II, v). Voy.au Lexique : imputer à quelqu'un, s'imputer quelque chose à péché, à injustice, à bonne fortune, à trop de lâcheté.

Vos mépris me sont connus (VI, 547, G. D. II, 11).

Monsieur, suis-je connu de vous? (VI, 525, G. D. I, v.)

(C'est à votre père) Qu'il vous faut obéir (IX, F. sav. 1594; cf. 506). Voyez un peu quel « vertigo » lui prend (VII, 302, Pourc. II, vi). Voy. ... Bien lui prend de n'être pas de verre (IX, F. sav. 744).

...

Nous avons du Ciel ou du tempérament

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Que nous jugeons de tout chacun diversement (II, D. Garc. 1181, 1182).
Et tu m'avois prié même que mon retour
T'y souffrit en repos (II, Éc. d. m. 813, 814).

J'ose vous convier [conjurer] qu'elle [cette action] n'éclate point (I, Dép.
Dites-lui ma pensée, et l'avertissez bien

[a. 860). Qu'elle ne vienne pas m'échauffer les oreilles (IX, F. sav. 1112, 1113). ... Il faut attendre

Quel parti de lui-même il résoudra de prendre (I, Dép. a. 1573, 1574.) Pourrai-je point m'éclaircir doucement s'il y est encore? (VI, 557, G. D. II, vi.)

Je vous apprendrai bien s'il faut sortir sans nous (II, Éc. d. m. 130). Sganarelle demande conseil au Seigneur Géronimo s'il se doit marier ou non (IV, 71, Mar. f. I, 1, Livret de 1664).

(Votre plus court sera) D'accepter sans façons l'époux qu'on vous destine. J'ignore, dites-vous, de quelle humeur il est,

Et dois auparavant consulter s'il vous plaît (II, Sgan. 16).

Je prends à témoin le prince votre père si ce n'est pas vous que j'ai demandée (IV, 214, Pr. d'É. V, 11).'

Il faut qu'ils vous chantent une certaine scène d'une petite comédie que je leur ai vu essayer (VI, 237, Sic. 11).

Vous n'êtes pas la première femme... qui ait auprès d'elle un Monsieur le Receveur, dont on lui voit trahir et la passion et la bourse, pour le premier venu qui lui donnera dans la vue (VIII, 594, Escarb. vIII).

Je reçus d'eux [des Dieux] en toi, ma fille,

Un présent que mon cœur ne leur demandoit pas;

J'y trouvois alors peu d'appas,

Et leur en vis sans joie accroître ma famille (VIII, Psy. 680).

(Je ne m'étonne pas)

De voir prendre à Monsieur la thèse qu'il appuie (IX, F. sav. 1326). Mais quel sujet si grand contre lui vous irrite,

Vous à qui j'ai tant vu parler de son mérite? (V, Mis. 1598.) Cf. VOIR (7° division, dernier exemple).

Je ne l'ai jamais vu, et je l'ai seulement ouï dépeindre à mon frère (V, 151, D. Juan, III, 111).

Vous leur aurez ouï leur disgrâce conter (I, Ét. 1340).

J'ai ouï condamner cette comédie à certaines gens (III, 332, Crit. v). C'est fort bien fait à vous et vous le prenez comme il faut (V, 94, D. Juan, I, 11; cf. IX, F. sav. 197).

Voy. le Lexique, t. I, p. 7, pour A, équivalent de par, après un infinitif régi par les verbes laisser, faire, entendre, et dans les expressions, c'est mal fait à vous, c'est bien dit à vous.

Oui, mon cœur, trop vengé par de si rudes coups,

Laisse à leur cruauté désarmer son courroux (II, D. Garc. 1567).

Cesse donc d'insulter au sort d'un misérable,

Et laisse à mon devoir s'acquitter de ses soins (VI, Amph. 448 et 449). La liberté de s'acquitter...

Laissez-lui croire ce qu'elle voudra (V, 130, D. Juan, II, rv).

...

Un dragon surveillant dont la sévérité

Ne lui laisse jouir d'aucune liberté (II, Éc. d. m. 314). Voy. à LAISSER. A des ardeurs si belles Laissons-nous enflammer (VIII, 64, Bourg. g. I, II, Dial. en mus.).

...

Ne vous laissez point séduire à vos bontés (IX, F. sav. 1572 note). Son esprit... se laisse éblouir à la qualité (VIII, 129, Bourg. g. III, 1x). Eh! Monsieur, laissez-vous toucher à ses prières et aux miennes (IX, (Est-ce)... que j'aurois cette foiblesse d'âme [434, Mal. im. III, xiv). De me laisser mener par le nez à ma femme? (IX, F. sav. 1582.)

Faire ET UN INFINITIF AVEC UN RÉGIME INDIRECT LOGIQUEMENT SUJRT DE L'INFINITIF :

Son amour au désespoir lui fait trouver moyen de s'introduire dans la maison de sa Bergère (IX, 362, Mal. im. II, v).

Par ma foi! Il mériteroit qu'elle lui fit dire vrai (VI, 533, G. D. I, vi). Voyez une ancienne construction dans la Lettre sur l'Imposteur (1667), t. IV, p. 552, au second renvoi.

J'ai de fortes raisons qui m'ont fait révéler

Un hymen que vous-même aviez peine à celer (I, Dép. a.

963).

Qui m'ont décidé à réveler.... Mais me est-il ici régime direct ou indirect? Ainsi que te, nous, vous, il peut être l'un ou l'autre, et les exemples ne manquent pas d'infinitifs joints à faire qui, bien qu'en dépende un complément direct, ont pour sujet logique, non, comme le veut la règle d'aujourd'hui, un pronom au datif, mais un pronom à l'accusatif. Voyez la Syntaxe française du XVII siècle de M. Haase, § 90: nous y trouvons citée cette phrase de Mme de Sévigné (t. VI, p. 194, 1680) : « On ne la fera point dire ce qu'elle ne dit

pas ».

L'amitié qui me lie à Monsieur votre frère me fait prendre intérêt à tout ce qui vous touche (IX, 201, F. sav. après le vers 1704).

La subtile adresse de ma carogne de femme pour se donner toujours raison, et me faire avoir tort (VI, 565, G. D. II, vín).

(J'ai cru) Que je pourrois vous faire écouter la raison (IX, F. sav. 1464). Vous avez un ridicule orgueil, une impertinente présomption qui fait hausser les épaules à tout le monde (IX, 373, Mal. im. II, vi; cf. II, D. Garc. 936; III, Fách. 78; IX, F. sav. 1022).

Faire ET UN INFINITIF AVEC UN RÉGIME DIRECT LOGIQUEMENT SUJET DE L'INFINITIF :

J'avois donné ordre qu'on ne me fit parler personne (V, 166, D. Juan, IV, III: note). Qu'on ne laissât personne parler à moi.

Une certaine Claudine, qui tout du premier coup a compris ce que je voulois, et qui m'a fait parler à sa maîtresse (VI, 513, G. D. I, 11). La grammaire, qui sait régenter jusqu'aux rois,

Et les fait la main haute obéir à ses lois? (IX, F. sav. 466; cf. 1489, 1756; IX, Val-de-Gr. 156, 226.)

Valère sur ce point me fait vous visiter (IV, Tart. 419).

C'est à la demande de Valère que je viens vous entretenir de ce point (du mariage de Valère).

(Apprends-moi donc) Qui te fait me chercher? (I, Dép. a. 91.)
(La fortune) Me fait vous reconnoître (I, Ét. 1960).

Vous me faites un bien, me faisant vous connoître (V, Mis. 1704).
Ma foi! les filles sont ce que l'on les fait être (II, Éc. d. m. 511).
Les choses ne valent que ce qu'on les fait valoir (II, 93, Préc. 1x).

Faire ET UN INFINITIF AVEC UN RÉGIME DIRECT LOGIQUEMENT RÉGIME DE L'INFINITIF :

Ses vertus de chacun le faisoient révérer (IX, Sonnet à Le Fayer).

Voyez une ancienne construction dans la Lettre sur l'Imposteur (1667), t. IV, p. 556 et 564 aux 1er renvois.

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