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Se faire ET UN INFINITIF, se ÉTANT LE RÉGIME SOIT DIRECT, SOIT INDIRECT

DE CET INFINITIF :

Je sais qu'un bruit commun, qui partout se fait croire,

De la mort du tyran me veut donner la gloire (II, D. Garc. 1728).

(Un cœur comme le mien) Se fera regretter (I, Dép. a. 1368). Après s'être fait attendre (VI, 587, G. D. III, vii).

En dépit qu'on en ait, elle se fait aimer (V, Mis. 232).

(Quand on est honnête homme)

On répugne à se faire immoler ce qu'on aime (IX, F. sav. 1509).

Faire et Laisser, RÉGISSANT UN INFINITIF DE VERBE RÉFLÉCHI, AVEC ELLIPSE DU PRONOM RÉFLÉCHI (voy. d'autres exemples au VERBE [Voix réfléchie] et à ELLIPSE, et comparez, au Lexique, le 3o ex. de MENER):

Qu'on me laisse ici promener toute seule (VII, 405, Am. magn. I, v). (Cette intrigue) Où me faisoit du sang relácher la tendresse (II, Éc. d. Quel bourru transport

[m. 859).

Contre vos propres vœux vous fait roidir si fort? (I, Dép. a. 1064.)
BEL. L'on doit regarder

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En quoi c'est qu'il les faut [les mots] faire ensemble accorder.

MART. Qu'ils s'accordent entr'eux ou se gourment, qu'importe? (IX, F. sav. 502, 503.)

ARG. Tu m'as fait égosiller, carogne. ToIN. Et vous m'avez fait, vous, casser la tête (IX, 287, Mal. im. I, 11).

Le hasard nous a fait connoltre il y a six jours (IX, 295, Mal. im. I, v). La violence de sa passion le fait résoudre à demander en mariage l'adorable beauté... (IX, 362, Mal. im. II, v).

[Ton ouvrage nous dit] Quel adoucissement des teintes de lumière Fait perdre ce qui tourne et le chasse derrière (IX, Val-de-Gr. 180).

Faire ET UN INFINITIF, SANS MOT EXPRIMÉ, POUR REPRÉSENTER LE RÉGIME DE faire OU LE SUJET DE L'INFINITIF :

Cet empire que tient la raison sur les sens

Ne fait pas renoncer aux douceurs des encens (IX, F. sav. 102; cf. 18). Les utiles conseils font passer pour fàcheux,

Et vous laissent toujours hors de la confidence

Où vous jette d'abord l'adroite complaisance (II, D. Garc. 423). Vous font passer, font passer les gens.

(Je ne sais quoi) Qui d'abord fait juger que c'est un maître roi (VI, En nous formant Nature a ses caprices;

Divers penchants en nous elle fait observer (VI, Amph. 728).
Mais je suis trop barbon pour oser soupirer,

Et je ferois crever de rire (VI, Amph. 658).

EXEMPLES DIVERS DE faire ET UN INFINITIF :

[Mélic. 136).

Il est aisé de vous faire paroître (Qu'il dit vrai) (I, Dép. a. 1005). [C'est un stratagème tenté]

Pour détromper ma sœur, et lui faire connoître

Ce que son philosophe à l'essai pouvoit être (1X, F. sav. 1763).

Ce que tu nous fais voir (IX, 585, Sonnet au Roi).

(Dis-nous)... quel est ce pouvoir qu'au bout des doigts tu portes, Qui sait faire à nos yeux vivre des choses mortes (IX, Val-de-Gr. 32). E. Verbes dont une partie du régime est à suppléer.

Voyez aux VERBES (Verbes employés absolument), et l'avant-dernière série d'exemples du paragraphe précédent.

HALI. Quand allez-vous? ADR. Tout de ce pas (VI, 258, Sic. 1x). Quand vous rendez-vous où vous avez dessein d'aller?

Certes je ne sais pas quelle chaleur vous monte (IV, Tart. 865). Vous monte au cerveau. Cf. :

Au visage sur l'heure un rouge m'est monté (III, Fách. 41).

BÉL.... Je vous ai plus dit que je ne voulois dire.

CLIT. Mais votre erreur... BÉL. Laissez, je rougis maintenant,

Et ma pudeur s'est fait un effort surprenant (IX, F. sav. 321).

J'ai cru que je ne pouvois rendre un service plus agréable que de vous l'envoyer... (VI, 259, Sic. x; dans les éd. de 1674 et de 1682 : que je ne vous pouvois rendre...).

LÉAN. Que voulez-vous que j'aye fait? GÉR. Ce n'est pas moi qui veux que vous ayez fait, mais qui demande ce que c'est que vous avez fait (VIII, 442, Scap. II, 11).

MTAILL. Voulez-vous mettre votre habit? M. JOURD. Oui, donnez-moi (VIII, 95, Bourg. g. II, v).

Cà, donnez-moi que j'aille acheter notre esclave (I, Ét. 664).

...

Viens prendre à la maison

Pour nous frotter (I, Dép. a. 1576). Viens prendre ce qu'il faut pour nous battre.

Je le fais seulement pour donner à gagner aux libraires qui me persécutent (II, 84, Préc. 1x). Cf. :

Un laquais ôte les assiettes... d'abord qu'il y a dessus à manger V, 185, D. Juan, IV, vII, jeu de scène).

F. Varieté de tours dans les régimes d'un même mot.

Voy. d'autres exemples à CONSTRUCTION (XXI, I, 2o).

M'avez-vous, avant le mariage, demandé mon consentement, et si je voulois bien de vous? (VI, 549, G. D. II, 11.)

...

Mon dessein n'est pas de leur rien opposer [à vos vœux]:

Vous le voyez assez, et quelle obéissance

De vos commandements m'arrache la puissance (II, D. Garc. 1808, 1809). Quelle obéissance la puissance de vos commandements obtient de moi.

Moi, jaloux? Dieu m'en garde, et d'être assez badin

Pour m'aller emmaigrir avec un tel chagrin! (I, Dép. a. 111.)

Je suis bien aise de cela, et de vous voir dehors à l'heure qu'il est (VI, 578, G. D. III, vi).

Je suis ravie de voir vos désordres finis et des transports de joie que vous doit donner sa conduite (VI, 565, G. D. II, vin).

(Et ce dépit) Découvre assez pour moi tout le fond de son cœur,

Et de quel prix doit être à présent à mon âme

Tout ce dont son caprice... (I, Dép. a. 1220-1222).

Je sais les tours rusés et les subtiles trames

Dont pour nous en planter savent user les femmes,

Et comme on est dupé par leurs dextérités (III, Éc. d. f. 75-77).

Il craint [mon amour] d'être la dupe....

Qu'en faveur d'un rival ta foi ne se corrompe,

Ou du moins qu'avec moi toi-même on ne te trompe (I, Dép. a. 4-6). C'est un étrange fait du soin que vous prenez

De me venir toujours jeter mon age au nez,

Et qu'il faille... (II, Éc. d. m. 57-59).

[1573.

Chose étrange d'aimer, et que pour ces traîtresses
Les hommes soient sujets à de telles foiblesses! (III, Éc. d. f. 1572 et
Et l'on vous a dit l'étroite garde où elle est retenue, qu'on ne la laisse
ni sortir, ni parler à personne, et que... (IX, 338, Mal, im. II, 1; cf.
I, Ét. 271, 272, 2018, 2019).

(Ce qu'a fait Valère)

Marque bien leur concert, et que c'est une baye (Qui...) (I, Dép. a. 321; Oh! le plaisant amant, dont la galante ardeur [cf. IX, F. sav. 740-742). Veut blesser mon honneur au défaut de mon cœur,

Et [veut] que mon père, ému de l'éclat d'un sot conte,

Paye avec mon hymen qui me couvre de honte (I, Dép. a. 1047-1050: note; cf. I, Ét. 1027, 1028).

Il faut voir de vos feux toute imposture ôtée,

Et qu'un nœud plus sacré donne force au premier (I, Dép. a. 1750, 1751). Pensez-vous me le laisser toujours sur les bras, et que je puisse durer à ses turlupinades perpétuelles? (III, 313, Crit. 1; cf. III, Éc. d. f. III, 112.)

Je voudrois seulement que, par quelque moyen, par un billet, par quelque bouche, elle fût avertie des sentiments qu'on a pour elle, et savoir les siens là-dessus (VI, 245, Sic. v).

Je voudrois qu'il m'eût coûté deux doigts de la main, et être né comte ou marquis (VIII, 149, Bourg. g. III, xiv).

Eh bien! vous le pouvez, et prendre votre temps (III, Fách. 657). Admirez mes bontés, et le peu qu'on vous vend (Ce trésor merveilleux) (V, 334, Am. méd. II, vii).

G.

Pronoms personnels employés comme régimes.

1° Emplois divers.

Un certain nombre d'exemples où ont été employés comme régimes, soit des pronoms personnels au datif et les pronoms Y et Où, soit les pronoms DONT et Ex, se trouvent rapprochés (dans les articles A et Dɛ du Lexique) des exemples où les régime sont ou des substantifs ou des pronoms toniques liés aux prépositions à ou de.

Voyez encore les chapitres CONSTRUCTION, PLÉONASME, ELLIPSE, et, plus haut, à RÉGIMES DE CERTAINS VERBES.

Ses régents se louoient toujours à moi de son assiduité (IX, 354, Mal. im. II, v).

Voy. plus haut, à PRONOMS PERSONNELS, l'emploi des pronoms précédés de prépositions. [II: note).

Oui, je veux enfin vous empêcher vos profusions (VIII, 197, Bourg. g. V, J'en saurai dans mon âme excuser tous les traits [de vos forfaits],]

Et me les couvrirai du nom d'une foiblesse

Où le vice du temps porte votre jeunesse (V, Mis. 1759).

Que je sais peu par où vous commencer mon discours (V, 345, Am, méd. Par où lui débuter? (I, Dép. a. 837.)

Je te serai partout une ombre si soumise,

Que tu seras content de moi (VI, Amph. 1777).

[III, VI).

Mais, quelque ami que vous lui soyez,... (V, 152, D. Juan, III, 111).

Mais ce que par le sang j'ai l'honneur de vous être

S'oppose aux duretés que vous faites paroître (IV, Pr. d'É. 357).

Si vous n'abrégez ce récit, nous en voilà pour jusqu'à demain (VIII, 418, Scap. I, 11). Cf. VOILÀ.

Au diantre tout valet qui vous est sur les bras (III, Fach. 150).

... Je vous suis garant

Qu'un sot savant est sot plus qu'un sot ignorant (IX, F. sav. 1296).
Le Roi pourroit perdre beaucoup de gens considérables qui ne lui se-
roient pas si malaisés à remplacer que celui-là (VI, 601, Gr. Div. roy.).
Et je vous vois à vaincre un obstacle plus fort (II, D. Garc. 238).

Je sais que ton esprit, en intrigues fertile,

N'a jamais rien trouvé qui lui fût difficile (I, Ét. 16).

Ses pratiques [de Jupiter], je crois, ne vous sont pas nouvelles :

Bien souvent pour la terre il néglige les cieux (VI, Amph. 53).

LEL. A qui la bourse? ANs. Ah! Dieux! elle m'étoit tombée (Ét. 259). Elle m'étoit échappée, je l'avais laissée tomber.

Je ne dis point quel choix, s'il m'étoit volontaire,

Entre Dom Sylve et vous mon âme pourroit faire (II, D. Garc. 291). Si j'en étois encore maîtresse....

Mon frère (d'un tel nom souffrez-moi la douceur),

De quel ravissement comblez-vous une sœur! (II, D. Garc. 1798.) Permettez-moi.... Voyez à SoUFfrir.

Nous vous protestons, Monsieur et moi, que nous n'en serons aucunement jaloux (II, 114, Préc. xv).

Je n'ai rien exigé de vous, et vous tiendrai ce que j'ai promis (V, 155, D. Juan, III, IV).

Éloignons-nous un peu, pour nous achever notre confidence (VII, 62, Av. I, 11).

Lorsque, nous discourant des choses de la terre,... (II, Sgan. 73). Discourant devant nous.

Ce m'est, je le confesse, une audace bien grande (IV, Tart. 953). C'est de ma part....

Ce vous seroit sans doute un indigne transport

De vouloir dans vos maux lutter contre le sort (II, D. Garc. 1602). [L'amour].... traîne après lui des troubles effroyables (VI, Mélic. 368). Ne voyez-vous pas qu'il [ce bras] tire à soi toute la nourriture...? (IX, 423, Mal. im. III, x.)

Cet indolent état de confiance extrême

Qui le rend en tout temps si content de soi-même (IX, F. sav. 256). Voyez, pour l'emploi de SoI, SOI-MÊME, de nombreux exemples aux PRONOMS PERSONNELS (V, A, 1o et 2o).

2o Y équivalent de À EUX et datifs LUI, VOUS, ME (MOI après un impératif) ayant le sens du pronom joint à EN, CHEZ, EN LA POSSESSIon de. FROS. Je voudrois bien savoir quel ragoût il y a à eux. HARP. Pour moi je n'y en comprends point (VII, 115, Av. II, v). Je n'en comprends point à eux, je ne comprends point qu'il y en ait à eux. Vous osez sur Célie attacher vos morsures,

[elle....

Et lui calomnier la plus rare vertu... (I, Ét. 1037 note). Calomnier en Gardez que cette humeur, mon père, ne vous change (F. sav. 1570). Ne change en vous.

La grâce avec laquelle vous mangiez votre pain m'a fait naître d'abord de l'amitié pour vous (VII, 249, Pourc. I, 11).

Quelque belle ardeur que ses feux lui produisent,

Éraste n'aura pas si bon marché de nous (I, Dép. a. 1538).

Je consens qu'une femme ait des clartés de tout;

Mais je ne lui veux point la passion choquante

De se rendre savante afin d'être savante (IX, F. sav. 219).

De grâce, souffrez-moi...

Des bassesses à qui vous devez la clarté (IX, F. sav. 81 : note).

Je me sens là pourtant remuer une bile... (II, Sgan. 469).

Je ne lui vois rien que de très médiocre (VIII, 130, Bourg. g. III, 1x).

Je lui ai vu une cassette (VII, 183, Av. V, 11).

Je vous trouve bien heureux de vous voir un garçon comme cela (IX, 353, Mal. im. II, v).

Voici une affaire [un objet] que je me suis trouvée fort à propos pour vous sauver (VIII, 492, Scap. III, II: note). Que j'ai trouvée à moi, que je me suis trouvé avoir.

Je me trouve assez de bien pour tenir dans le monde un rang assez passable (VIII, 142, Bourg. g. III, x11).

3° Pronoms prenant au datif un sens possessif.

... Je lui crois, pour moi, le timbre un peu fêlé (IX, F. sav. 614.)

Si la fureur dont votre âme est émue

Vous trouble jusque-là l'usage de la vue (II, D. Garc, 1445).

... Tout ce que j'en ai dit

N'étoit rien que pour rire et vous sonder l'esprit (I, Ét. 54).

Une juste colère m'occupe l'esprit (IV, 37, Mar. f. iv).

[1468.)

Qu'en un trouble étrange il [votre amour] me jette l'esprit! (IV, Tart. D'où vient ce poison qui me court par toutes les veines? (IV, 206, Pr. ď'É. IV, vi.)

C'est pour... lui contenter l'esprit (V, 349, Am. méd. III, vi).

C'est pour lui mettre entre les mains certain parent... qui se trouve attaqué de quelque folie (VII, 261, Pourc. I, v).

On me l'a mis entre les mains (VII, 288, Pourc. II, 11).

Son visage a pâli... et elle m'est demeurée entre les bras (V, 316, Am. méd. I, vi).

M D'ARMES. Touchez-moi l'épée de quarte.... Touchez-moi l'épée de tierce (VIII, 72 et 73, Bourg. g. II, íì).

Il faut donc que les oreilles m'ayent corné (IX, 416, Mal. im. III, 1x). Voy. d'autres exemples à l'ARTICLE DÉFINI.

4° Datifs ME, TE, LUI, au sens de ▲ MES YEUX, A TES YEUX, A SES YEUX. Le déshonneur est sûr, mon malheur m'est visible,

Et mon amour en vain voudroit me l'obscurcir (VI, Amph. 1052, 1053). ... Si jamais mon bien te fut considérable (I, Ét. 687).

Ma maison m'est effroyable..., et je n'y rentre point sans y trouver quelque chagrin (VI, 508, G. D. Í, 1).

Même tournure avec Charmant (V, Mis. 1044), Cher [au sens d'agréable] (IX, Val-de-Gr. 217), Dur (IV, Tart. 131), Ennuyeux (VIII, 488, Scup. III, 1), Précieux (IX, F. sav. 146).

Cette feinte dont vous parlez m'est une comédie fort agréable... (VIII, 558, Escarb. 1; voy. Ï, Ét. 607; VI, Amph. 1351).

Tout me relève en vous l'offre de votre foi (VIII, Psy. 439).

Et le triste succès de tout ce qu'il m'adresse [de ce qu'il fait en vue de moi]

M'efface son offense et lui rend ma tendresse (II, D. Garc. 1565; cf. III, Éc. d. f. 1571).

...

Détromper mon père et lui mettre en plein jour

L'âme d'un scélérat (IV, Tart. 1027). Cf.:

... Me bien mettre aux yeux la grandeur de son crime (I, Dép. a. 640). Rendez-moi, s'il se peut, ce billet innocent (V, Mis. 1387).

Non, non sans s'emporter, prenez un peu souci

De me justifier les termes que voici (V, Mis. 1360). Voy. Justifier, EXCUSER et Faire les EXCUSES de....

Ç'auroit été une bonne affaire de pouvoir introduire ici un médecin à notre poste, pour le dégoûter [votre frère] de son Monsieur Purgon, et lui décrier sa conduite (IX, 392, Mal. im. III, II : note). Pour décrier dans son esprit la manière dont M. Purgon le traite. 5° Datifs LUI, ME, NOUS..., ayant le sens du pronom joint à Pour. L'insensibilité du prince d'Ithaque lui donnoit de la peine et lui étoit honteuse (IV, 164, Pr. d'É. IÎ, Argum.). Voy. HONORABLE.

Ne m'est-ce pas de l'honneur de prêter de l'argent à un homme de cette condition-là? (VIII, 109, Bourg. g. III, III.) Voy. HONNEUR (p. 47, milieu), GLOIRE (p. 15, bas).

Ce choix qui m'est offert peut-il m'être un bonheur? (VI, Mélic. 249.) Ce nous est une douce rente que ce Monsieur Jourdain (VIII, 47, Bourg. g. I, 1).

Ce m'est quelque plaisir, parmi tant de tristesse (III, Éc. d. f. 1212).
Quel déplaisir ce m'est de voir que... (VII, 61, Àv. I, 1). [II, v).
L'avantage que ce lui seroit d'avoir un mari comme vous (VII, 117, Av.
Ce m'est un fort bon signe, et ma joie en est grande (V, Mis. 110).
Un malheur nous est toujours l'avant-coureur d'un autre (VIII, 506,
Scap. III, v1).

LEX. DE M.

L

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