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Et puisqu'elle vous blâme, et que sa fantaisie
Lui fait un monstre affreux de votre jalousie,
Je serois complaisant, et voudrois m'efforcer

De cacher à ses yeux ce qui peut les blesser (II, D. Garc. 1186). Si j'étais à votre place, je serais....

Oui, voilà comme il faut que les femmes soient faites,

Et non comme j'en sais, de ces franches coquettes,

Qui s'en laissent conter... (II, Éc. d. m. 679 et suiv.). Et non faites comme quelques-unes que je sais, qui sont de ces coquettes qui.... Ah! Voilà justement de mes religieuses,

Lorsqu'un père combat leurs flammes amoureuses (IV, Tart. 1302). L'air est aussi beau qu'il s'en puisse faire (VIII, 52, Bourg. g. I, 11). Aussi beau qu'aucun qu'il s'en puisse faire, aussi beau qu'aucun des airs qu'il se puisse faire.

Notre comtesse d'Escarbagnas... est un aussi bon personnage qu'on en puisse mettre sur le théâtre (VIII, 558, Escarb. 1). Qu'aucun des personnages qu'on puisse...

A ce bel argument, à ce discours profond,

Ce que Pantagruel à Panurge répond (III, Éc. d. f. 117, 118: note). Je réponds ce que.........

Te tairas-tu, vingt fois? (III, Fách. 614.) Pour la vingtième fois que je te le répète.

... Derechef, veuillez être discret (III, Éc. d. f. 353).

Oui; mais quand je l'ai vu, vous ignorez pourquoi,

Et vous en auriez fait, sans doute, autant que moi (III, Éc. d. f. 481). C'est nous faire enrager vous-même, que de nous obliger à jouer de la sorte (III, 389, Impr. 1).

Ses doigts tout pleins de lait, et plus blancs mille fois (IV, 161, Pr. d'É. Le cœur [le courage] est digne de blâme [Interm. II, 1).

Contre les gens qui n'en ont pas (VI, Amph. 378). Quand il est employé contre les gens....

Notre vengeance, pour être différée, n'en sera pas moins éclatante: au contraire elle en tirera de l'avantage, et cette occasion de l'avoir pu prendre la fera paroître plus juste (V, 155, D. Juan, III, 1v).

Cette occasion de l'avoir pu prendre, où nous aurions pu la prendre et dont nous n'avons point profité (ou dont nous n'aurons point profité), la fera.... DAND. Pourquoi? LUBIN. Mon Dieu! parce : DAND. Mais encore? (VI, 511, G. D. I, II : note).

Sait-on pas bien? (V, 350, Am. méd. III, vII.) Ne savons-nous pas bien de quoi il s'agit (que c'est ici une comédie)?

Je vous rends grâce de l'honneur (VII, 396, Am, magn. I, 11). Ironiquement de l'honneur que vous me faites.

Non du côté de l'homme, on ne doit point risquer l'affaire, et ce sont des suites fâcheuses, où je n'ai garde de me commettre (VII, 163, Av. IV, I).

Il y a là à craindre des suites..., les suites que j'y vois, qu'elle pourrait avoir, sont des suites où...; j'y vois des suites fâcheuses, où....

J'ai donné pour vous l'ordre qu'il faut au cuisinier, et à toutes les choses qui sont nécessaires pour le ballet (VIII, 124, Bourg. g. III, VI: note).

Il y a ici, devant le second régime (« toutes les choses... »), ellipse d'une locution où entre sans article un mot employé avec article (« l'ordre ») dans le membre de phrase précédent.

La physique est celle qui explique les principes des choses naturelles, et les propriétés du corps (VIII, 84, Bourg. g. II, 1v). Celle des sciences. (La physique) nous enseigne les causes de tous les météores, l'arc

...

LEX. DE M.

M

en-ciel, les feux volants, les comètes, les éclairs,... les vents et les tourbillons (VIII, 84, Bourg. g. II, iv).

Ellipse probable de qui sont avant l'énumération des météores.

ne Vous

Les dépenses que je vous vois faire pour moi m'inquiètent par deux raisons l'une, qu'elles m'engagent plus que je ne voudrois; et l'autre que je suis sûre... que vous ne les faites point que vous incommodiez (VIII, 152, Bourg. g. III, xv). Voilà un de mes étonnements, comme il est possible qu'il y ait des fourbes comme cela dans le monde (VII, 294, Pourc. II, Iv).

Voilà une chose qui m'étonne, c'est comme il est possible que.... Voilà un de mes étonnements, je me demande comment.... Voy. ÉTONNER (s') et ADMIRER. Il y a une chose qui m'étonne dans l'astrologie: comment des gens qui savent tous les secrets... aient besoin... de demander quelque chose (VII, 396 et 397, Am. magn, I, 11 : note).

C'est comment il se peut faire que des gens....

Et de là nous pouvons tirer des conséquences,

Qu'on n'acquiert point leur cœur sans de grandes avances,
Qu'aucun pour nos beaux yeux n'est notre soupirant,

Et qu'il faut... (V, Mis. 1013-1016).

Pour... traiter cette matière [de l'orthographe] en philosophe, il faut commencer... par une exacte connoissance de la nature des lettres et de la différente manière de les prononcer (VIII, 84, Bourg. g. II, iv). Commencer par donner une exacte connaissance....

Quelles fantaisies sont les vôtres, de vous aller mettre en tête que votre mari... donne ce régale à Madame? Apprenez que c'est moi, je vous prie (VIII, 166, Bourg. g. IV, 11).

Que de la fièvre on prenne ici les intérêts:

N'ayez aucun égard, moquez-vous des caquets (IX, F. sav. 789).

Autre second je quitte la partie (IX, F. sav. 1318).

Vous voilà je ne sais comment (IX, 309, Mal. im. I, vi). Vous voilà assis, arrangé je ne sais comment.

M. JOURD. Me trouvez-vous bien comme cela? M A DANSER. Fort bien. On ne peut pas mieux (VIII, 52, Bourg. g. I, 1).

De tout ce que vous avez dit, ce n'est que par mon seul amour que je prétends auprès de vous mériter quelque chose (VII, 56, 4o. I, i: note).

DAPHNE. Tu me plais loin de moi. ÉROX. Je m'aime où tu n'es pas (VI, Mélic. 4 note).

...

Je vous ai dit ma garde-robe, grosse bête, c'est-à-dire où sont mes habits (VIII, 563, Escarb. 11).

[Afin] que, parmi cette noble jeunesse, tu puisses enfin rencontrer où arrêter tes yeux et déterminer tes pensées.... Si tu trouves où attacher tes vœux, ton choix sera le mien (IV, 171, Pr. d'É. II, iv).

Ces grands nouvellistes qui cherchent partout où répandre les contes qu'ils ramassent (VIII, 552, Escarb. 1).

Que ne me dites-vous... que je n'ai qu'à m'en retourner d'où je viens (V, 97, D. Juan, I, ...).

[559.)

Voit-on, dans les horreurs d'une telle pensée,
Par où jamais se consoler (Du coup dont on est menacée ?) (VI, Amph.
Il le gratte par où il se démange (VIII, 112, Bourg. g. III, iv: note).
Qu'ainsi ne soit, pour diagnostique incontestable de ce que je dis, vous
n'avez qu'à considérer... (VII, 273, Pourc. I, vii).

Supposé même qu'il n'en soit pas ainsi (vous reste-t-il un doute?), eh bien, pour diagnostique incontestable... : la vieille locution a eu ce premier sens qu'elle paraît bien avoir gardé ici; elle est bien expliquée au 873 (Remarque II) de la Syntaxe française du xvIr siècle, par M. Haase. Voyez d'ailleurs notre tome IV, p. 535, note 1.

A.

XX

PLEONASME

Expressions synonymes employées pour insister sur une idée. Et je voudrois savoir qui peut être capable

D'avoir pu rendre ainsi son esprit si traitable (I, Dép. a. 941 et 942). Mais Claudine, n'y a-t-il pas moyen que je la puisse entretenir? (VI, 553, G. D. II, rv.)

Est-il possible que vous ayez pu prendre pour moi une si douce résolution? (VIII, 198, Bourg. g. V, 11.)

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Et les choses peut-être

Pourront n'en pas là demeurer (VI, Amph. 1050 et 1051).

Je crois être en état de pouvoir faire naître une passion assez forte (VIII, 562, Escarb. 11).

Puisque votre consentement m'autorise à vous pouvoir ouvrir mon cœur... (IX, 295, Mal. im. I, v).

Cf. Des mouvements de joie qui m'empêchent de pouvoir parler (V, 345, Am. med. III, vi).

Quand je refusois de le vouloir reprendre (IV, Tart. 297).

Peut-il être croyable? (III, Fách. 332.)

Un desir dépravé de vouloir être mariée (V, 346, Am. med. III, v1).

Qui croyez-vous, à votre avis, que je veuille choisir? (IV, 198, Pr. ďÉ. IV, 1.)

Dequel œil, à votre avis, pensez-vous que je puisse voir...? (V, 175, D.
Juan, IV, IV.)

Pour moi, je ne vois rien de plus sot, à mon sens... (IX, F. sav. 959).
(Vous voudriez [que je]) ... Vous visse, à mes yeux, passer en d'autres bras,
Sans mettre ailleurs un cœur dont vous ne voulez pas? (IV, Tart. 739.)
Dépêchez vite (VI, 577, G. D. III, v).

note).

Voilà pour traiter toute une ville entière (VII, 127, 4o. III, 1).
Monsieur, voilà votre maître d'armes qui est là (VIII, 71, Bourg. g. 11, 1).
Contentez-vous des yeux pour vos seuls truchements (IX, F. sav. 278).
Votre père n'a fait qu'en parler simplement (IV, Tart. 828).
Il n'en veut seulement qu'à votre manière d'agir (VII, 169, Av. IV, Iv :
Voy. encore ne... que et seulement rapprochés ainsi : IV, 53, Mar. f. vi;
IV, Tart. 1494; VI, 522, G. D. I, Iv note; VIII, 73, 166, Bourg. g. II, n et
IV, 1; IX, F. sav. 435. Ne... que et seul dans la même phrase II, 80,
Préc. Ix; VII, 56, Av. I, 1; IX, F. sav. 1211, 1336.

Ce n'est rien seulement qu'une sommation, (Un ordre de... (IV, Tart. 1748).
Tout ce que j'en ai dit n'étoit rien que pour rire et vous sonder
l'esprit (I, Ét. 54; cf. V, 130, D. Juan, II, Iv; II, Sgan. 386).
Prenez garde désormais à ne plus faire de pareilles bévues (VI, 533, G.
D. I, vi).

Faites lui un peu dire quelque petite galanterie... (VIII, 587, Escarb, vII). Un conseiller et un receveur sont des amants un peu bien minces pour une grande comtesse comme vous (VIII, 573, Escarb. 11).

A ces heures de nuit, hors vous et moi, Monsieur, je ne crois pas que personne s'avise de courir maintenant les rues (VI, 235, Sic. 11: note). Car tout de ce pas même (Je prétends m'en aller) (I, Dép. a. 237). Signez donc j'en fais de même aussi (II, Éc. d. m. 1037).

Puisqu'il faut donc parler catégoriquement, je vous dirai, Monsieur de Sotenville, que j'ai lieu de... (VI, 517, G. D. I, iv).

Et puis, outre cela... (I, Ét. 1355). Puis, outre tout cela... (ibid. 1527). Et puis après cela... (ibid. 1532).

Soit ou directement ou par quelque autre voie (I, Ét. 1623).

Soit que vous vouliez vous servir de lui..., ou soit que vous vous en remettiez à sa conduite... (VII, 436, Am. magn. III, 1 : note).

Il m'en coûtera pour cela quelques paroles de douceur que je veux bien dépenser pour vous (IX, 319, Mal. im. I, vIII).

Ne me déguise point un mystère fatal;

Je ne t'en voudrai pas pour cela plus de mal (I, Dép. a. 96; cf. IX, F. sav. 668, 1010).

JULIE. Vous parez votre excuse du mieux que vous pouvez, afin de la rendre agréable et faire qu'elle soit plus aisément reçue (VIII, 556, Escarb. 1).

B.

Pronoms redoublant des sujets, des attributs ou des régimes. 1° Pronom annonçant le sujet :

1

Cela est plaisant, oui, ce mot de mariage (IX, 294, Mal. im. I, v). Quand il mourut ce fils, l'objet de tant d'amour... (I, Dép. a. 373; cf. Hé! quelle est-elle encor l'affaire qui l'oblige

A me vouloir parler? (I, Dép. a. 80g; cf. 1477.)

Car enfin, s'il est vrai ce que j'en ose croire,

Monsieur à mes raisons donnera la victoire (III, Fách. 395).

[1343).

Dans la phrase interrogative suivante, le pleonasme du pronom il est ordinaire, mais il y a comme dans l'exemple précédent inversion du membre de phrase exprimant le vrai sujet :

Ah! Octave, est-il vrai ce que Silvestre vient de dire à Nérine? (VIII, 420, Scap. I, III.)

Bel esprit il ne l'est pas qui veut (IX, F. sav. 822 : note).

Il n'est pas que vous ne sachiez quelques nouvelles de cette affaire (VII, 181, Av. V, II).

Voy. aux VERBES (Verbes impersonnels) les emplois ou suppressions de IL neutre faux sujet.

2° Pronom reprenant un sujet.

Et qui pour elle aura Le moindre brin de flamme, Il s'en repentira (VI, 196, Past. com. III).

Hé bien! notre malade, elle me semble un peu plus gaie (V, 346, Am. méd. III, vi).

Mon enfant, le bon Dieu puisse-t-il vous bénir! (III, Éc. d. f. 505.) PANCR. Tout ainsi que les pensées sont les portraits des choses, de

même nos paroles sont-elles les portraits de nos pensées (IV, 42, Mar. Son cœur, pour se livrer, à peine devant moi

[f. IV). S'est-il donné le temps d'en recevoir la loi (IX, F. sav. 1123, 1124). Hé bien? quoi? ce papier qu'a-t-il à démêler,

Traître, avec le départ dont tu viens me parler? (V, Mis. 1455.)

Et comme l'on parle, qu'est-ce que c'est donc que cela? (VIII, 89, Bourg. g. II, 1v.)

Pour moi, me soupçonner de quelque mauvais tour,

(Je dirai...) Que c'est injustement blesser ma prud'homie (I, Dép. a. 9). Mais d'un aveu trompeur voir ma flamme applaudie

C'est une trahison, c'est une perfidie (V, Mis. 1306).

Voyez ci-dessus aux PRONOMS DEMONSTRATIFS (CE, c'est).

Voyez aux VERBES (Verbes impersonnels) l'emploi du faux sujet IL.

3° Pronom reprenant un attribut.

Bel esprit, il ne l'est pas qui veut (IX, F. sav. 822).

4° Pronom annonçant un régime.

La voilà, cette main, qui se met en chaleur (IX, Val-de-Gr. 313).

MME JOURD. N'irez-vous point... au collège vous faire donner le fouet,

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à votre âge? M. JOURD........ Plût à Dieu l'avoir tout à l'heure, le fouet, devant tout le monde (VIII, 104, Bourg. g. III, 111).

Vous me la promettez,

Votre amitié? (V, Mis. 275, 276.)

Je voudrois que vous l'eussiez mon mal, pour voir si vous jaseriez tant (IX, 406, Mal. im. III, iv; cf. I, Ét. 1591; I, Dép. a. 1002, 1411, 1412; II, Sgan. 413; II, D. Garc. 1440).

J'y renonce à jamais, à ce sexe trompeur (II, Éc. d. m, 1109).

On en voit paroître,

De ces gens qui de rien veulent fort vous connoître (III, Fách. 43, 44). Puisque vous y donnez, dans ces vices du temps... (V, Mis. 95).

Ah! mâtine!

Nous vous surprenons en faute contre nous

Et diffamant l'honneur da votre cher époux (II, Sgan. 159).

Ils ont cela de mauvais, qu'ils s'émancipent un peu trop (VI, 269, Sic. XIII). Cf. CONSTRUCTION (XXI, F, 3°).

5° Pronom reprenant un régime.

(Lucile)... veut absolument que tout ce qu'il verra,

Et qu'en votre faveur son cœur témoignera,

Il l'impute... (I, Dép. a. 306-308).

Et jusques à des vers qu'il en savoit par cœur,

Il me les récitoit tout haut avant l'acteur (III, Fách, 57 et 58).

... Regardez l'honnête homme de père

Que vous avez du Ciel, comme on le considère (I, Ét. 320).

Et des tiennes [de tes lettres] tu sais ce que j'en saurai faire? (I, Dép. a. VENUS. Et du nombreux amas de Graces favorites,

Dont je traînois partout les soins et l'amitié,

[1438.)

Il ne m'en est resté que deux des plus petites... (VIII, Psy. 73-75). (Quelle fatalité...)

...

de tant de princes divers

Qu'en ces lieux la fortune jette,

N'en présente aucun à nos fers? (VIII, Psy. 183-185.)

...

A mon fils, l'hymen semble lui faire peur (I, Dép. a. 693).

Il y a du héros dans toutes les choses qu'il fait; et jusques aux affaires de plaisir, il y fait éclater une grandeur qui passe tout ce qui a été vu jusques ici (VI, 600, Gr. Div. roy.).

6° LE neutre et En annonçant une proposition infinitive ou subordonnée. Je vous l'avois bien dit que je vous facherois de vous dire la vérité (VII, 136, Av. III, ш; cf. I, Ét. 816, 2031; IX, F. sav. 1769).

Vous le voyez, mon cœur, ce que c'est que d'aimer (VÍ, Mélic. 361).

Je voudrois bien le voir vraiment que vous fussiez amoureux de moi (VI, 529, G. D. I, vi).

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Je le donnerois à bien d'autres qu'à moi

De se voir sans chagrin au point où je me voi (II, Sgan. 367 et 368).

...

Non, je te le promets,

De ne me mêler plus de rien dire ou rien faire (I, Ét. 287).

Oui, je vous le promets, que, pour l'amour de vous, je m'en vais, avec

elle, vivre le mieux du monde (VI, 273, Sic. xvII).

Le vlà qui est pour le dire, si je n'ai pas raison (V, 128, D. Juan, II, 1v). C'est un homme à jamais ne me le pardonner,

S'il savoit que sa vue eut pu m'importuner (V, Mis, 540).

Je suis assuré... qu'elle en mourra,

Si vous lui dérobez l'amant qui peut lui plaire (I, Dép. a. 578, 579).

... Ah! ah! tu t'en avises,

Traître, de t'approcher de nous! (VI, Amph. 1087.)

Ma foi, j'en suis d'avis, que ces penards chagrins
Nous viennent étourdir... (I, Ét. 61).

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