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La famille des Pourceaugnacs.... Il n'y a pas un Pourceaugnac à Limoges que je ne connoisse (VII, 253, Pourc. I, Iv).

Seigneur François, c'est une grande grâce... (VI, 260, Sic. x).

Hola! Seigneur François, cette façon de saluer n'est point d'usage en ce pays (VI, 260, Sic. x1; cf. VI, 265).

Seigneur Suisse, êtes-vous de ce logis le maître? (I, Ét. 1751 : cf. t. XI,
C'est la manière de France (VI, 260, Sic. x1).
Dans la France (IX, Val-de-Gr. 327).

Dans l'Amérique (III, Éc. d. f. 271).

En Alger: voy. plus loin aux PREPOSITIONS.

...

[p. 281, 5° al.).

Du grand Paris la magnifique vue (IX, Val-de-Gr. 4). Lorsque Naples vous vit quitter votre famille... (I, Ét. 1963). C'est moi qui suis Sosie et tout Thèbes l'avoue (VI, Amph. 396). Au nom de Jupiter, laissez-nous en repos (I, Ét. 281 : note). Per Jovem (I, Dép. a. 752).

On n'a point pour la mort de dispense de Rome (I, Ét. 538).

... Suis-je un Roland... (Ou quelque Ferragu?) (I, Dép. a. 1485, 1486.) Faisons l'Olibrius, l'occiseur d'innocents (I, Ét. 1085: note).

SGAN. [à PANCRACE]: Seigneur Aristote, peut-on savoir ce qui vous met si fort en colère? (IV, 34, Mar. f. IV.)

Voy. au Lexique Un oracle, un CATON. Vous serez mon MÉCÈNE. Il mourut en CESAR. Un pourceau d'Epicure, un vrai SARDANAPALE.

MAGD. C'est le caractère enjoué. Câтн. Je vois bien que c'est un Amilcar (II, 76, Préc. Ix note).

MASC. Le ruban est bien choisi. MAGD. C'est Perdrigeon tout pur (II, 95, ... Jules, Annibal, Raphaël, Michel-Ange, [Préc. Ix note).

Les Mignards de leur siècle, en illustres rivaux

Ont voulu par la fresque anoblir leurs travaux (IX, Val-de-Gr. 277). ... Le voilà cet Argus que j'abhorre....

De votre Argus dupé je brave la puissance (II, Éc. d. m. 263, 908).
CLE. Que voilà qui est scélérat! Cov. Que cela est Judas! (VIII, 133,
Bourg. g. III, x.)

Quel Juif, quel Arabe est-ce là? C'est plus qu'au denier quatre (VII, 94,
Av. II, 1). Voy. au Lexique FEsse-mathieu.

Il est... fort comme un Ture sur ses principes (IX, 355, Mal. im. II, v ; note). Voy. au Lexique Traiter... de TURC à More.

Un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou (V, 82, D. Juan, I, 1).

(Mes heures) Ne sont encor pour moi que du haut allemand (I, Dép. a. Ton jargon allemand est superflu, te dis-je (I, Ét. 1819).

(Tout s'y voyant) Assaisonné du sel de nos grâces antiques,

Et non du fade goût des ornements gothiques,

Ces monstres odieux des siècles ignorants (IX, Val-de-Gr. 84).

Et voilà qu'on la chasse avec un grand fracas,

(690).

A cause qu'elle manque à parler Vaugelas (IX, F. sav. 6o6; voy. vers 522). Voy. au Lexique Parler chrétien, Etre chrétien [charitable] et divers emplois du mot CHRÉTIEN.

Hors un gros Plutarque à mettre mes rabats... (IX, F. sav. 562). Un mouchoir qu'il trouva dans une « Fleur des Saints » (IV, Tart, 208). La « Guide des pécheurs » est encore un bon livre (II, Sgan. 37). Je vous envoie Horace, Virgile, Térence et Catulle, où vous verrez notés en marge tous les endroits qu'il a pillés (IX, F. sav. avant le v. 1395). Va, va-t'en faire amende honorable au Parnasse

D'avoir fait à tes vers estropier Horace [les vers d'Horace] (ibid. 1022).
Nous avons vu de vous des églogues d'un style

Qui passe en doux attraits Théocrite et Virgile (ibid. 973 et 974).
Vos odes ont un air noble galant et doux,

LEX. DE M.

C

Qui laisse de bien loin votre Horace après vous (ibid. 976).
Va, va restituer tous les honteux larcins

Que réclament sur toi les Grecs et les Latins (ibid. 1020).

Voy. au Lexique GREC (helléniste] de profession; Grand LATIN [latiniste]. Il lui aurait été trop glorieux de succomber... sous les efforts de tout le Parnasse (III, 421, Impr. v).

III
ADJECTIF

A. Quelques adjectifs remarquables par leur forme
ou par leur sens.

Un vieux importun (VIII, 552, Escarb. 1 et III, Fách. 689). Voy. à VIEUX.
Je n'ai pas grande faim de mort ni de blessure (I, Dép. a. 1501).
Ces protestations ne coûtent pas grand chose (I, Dép. a. 483).

Grand est ainsi écrit sans apostrophe dans les premières éditions antérieures

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à celle de 1697. Voy., au Lexique, CHOSE (grand chose et grand'chose), GRAND, PEINE (grand'peine et grande peine), PITIÉ.

(Peux-tu me conseiller de)... prendre ce mal-fait? (II, Sgan. 91.)

Voy. au Lexique Mal né, mal propre à..., mal sain et malsain, bienvenu, et bien venu, mal venu, mal satisjait, malfaisant, malgracieux, à la MALELe contraignant effort de ces aveux en face (F. sav. 128). [HEURE

Voy le mot, plusieurs fois relevé, dans le Lexique de la langue de Mme de Sévigné; Littré en donne un exemple de Saint-Simon.

Voy. au Lexique les expressions « dominant chagrin » (IX, F. sav. 247) et esprit contrariant » (V, Mis. 672).

Toutes les muses nécessitantes (VII, 405, Am, magn. I, v : note).

(Je sais) Des hommes en amour d'une humeur si souffrante

Qu'ils vous verroient sans peine entre les bras de trente... (III, Fách. 459 note.) D'une humeur si eudurante...

:

Je tate votre habit : l'étoffe en est moüelleuse (IV, Tart. 917 : note).
Que dit-elle de moi, cette gente assassine? (I, Ét. 220.) Voy. le Lexique.
Et tandis qu'au mileu des béotiques plaines,

Amphitryon... (Commande aux troupes thebaines...) (VI, Amph. 60). [Le] port Persique (ibid. 455).

Quand même l'huissier) Vous trouveroit en face un marquis repoussable... (Ill, Rem, au R. 56).

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Voy. au Lexique : BRANDI; CROTESQUE et GROTESQUE; FOURBISSIME; IGNORANTISSIME; SAOUL, SOUL, Sou; SAVANTISSIME; LIMOSIN; PERIGORDIN; Signes PROGNOSTIQUES; A la TURQUESQUE. — Fier (cruel), [Les] sièclesévanouis (passes), [Les grâces] fertiles [de la fresque).

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-

B. Mots employés adjectivement.

Que peu philosophe est ce qu'il vient de faire! (IX, F. sav. 1728: note.) Cf. V, Mis. 97, 166.

Son cœur, croyez-moi, n'est point roche après tout

A quiconque la sait prendre par le bon bout (I, Ét. 969).

CLE. Que voilà qui est scélérat. Cov. Que cela est Judas (VIII, 133, Bourg.
L'AMOUR. Il est temps désormais que je devieune graud.
ZÉPHIRE. (Fort bien....) Et vous entrez dans un mystère

[g. III, x).

Qui ne demande rien d'enfant (VIII, Psv. 969). Voy. ENFANT, BÈTE.
Je ne suis pas si poète que vous pourriez bien croire (VIII, 560, Escarb. 1).
Il ne se peut rien de plus marchand que ce procedé (Il, 63, Préc. 1v). Cf.
BOURGEOIS.

Croyez-moi, celles qui font tant de façons n'en sont pas estimées plus femmes de bien (III, 324, Crit. 1).

Des

Pour être trop homme de bien (VI, Amph. 467).

que j'en vis briller la splendeur plus qu'humaine (IV, Tart. 973).

D'un génie, à vrai dire, au-dessus de l'humain (III, Éc. d. f. 971). Ce n'est ici qu'un bal à la hate.... Mais un de ces jours nous vous en donnerons un dans les formes (II, 108, Préc. x11).

C'est un plaisir si grand, qu'il n'en est point de même (II, Éc. d. m. 823). Jamais il ne s'est vu de surprise de méme (IV, Tart. 1393 : note).

Voy. au Lexique : Le mot est bien COLLET-MONTÉ; un petit Opéra IMPROMPTU; maris Lo PS-GAROUS; les aveux EN FACE; un discours DE LA SORTE. Des choses qui vous sont de si grande importance (I, Dép. a. 356). Je pense... que vous avez eu bien des amants dans votre jeune àge, belle et d'agréable humeur comme vous étiez (VIII, 119, Bourg. g. III, v). Des choses par-dessus les maisons.... Des choses extravagantes (VIII, 457, ... Vous serez toujours... [Scap. II, v. Un envers du bon sens, un jugement à gauche (I, Ét. 888). Je ne vois rien de plus mal à propos que de la faire, cette folie... (IV, Ce début n'est pas mal (V, Mis, 583). Voy. à MAL.

[21, Mar. f. 1).

C. Divers emplois remarquables d'adjectifs.

C'est un stratagème, un surprenant secours

Que j'ai voulu tenter pour servir vos amours (IX, F. sav. 1761.) C'est une surprise secourable...

LÉL. Suis-je un sot à ton conte?

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MASC. Non pas du tout, mais bien quelque chose approchant (I, Ét. 1377; cf. VI, Amph. 1073). Voy. à RIEN.

Psyché, Psyché la belle, aujourd'hui tient ma place (VIII, Psy. 67). ELI. Je dirai que votre âme s'explique

Un peu bien librement sur votre politique....

D. LOPE. Je pourrois désavouer sans blâme

...

Ces libres vérités sur quoi s'ouvre mon âme (II, D. Gare. 441). Ces vérités sur lesquelles mon âme s'ouvre si librement.

Il est impossible qu'il ne soit pas fou, et mélancolique hypocondriaque (VII, 276, Pourc. 1, viii).

Grande, grande nouvelle et succès surprenant (I, Ét. 1929).

(Le lierre) Qui croit beau tant qu'à l'arbre il se tient bien serré (Sgan. 75). Peste soit qui premier trouva l'invention (De...) (II, Sgan. 439).

D. Quelques exemples remarquables de mots (adjectifs ou mots pris adjectivement) employés comme attribut.

Voy. quelques autres exemples au chapitre de l'ARTICLE (plus haut, p. vi et x), et plus loin à CONSTRUCTION (Apposition).

Je ne suis point battant de peur d'être battu (II, Sgan. 423).

Ayez, je vous prie, agréable

De venir... (VI, Amph. 1698). Cf. Avoir pour agréable que....

Vous n'avez pas accoutumé de parler à des visages (IX, 405, Mal. im. Enfin les gens sensés ont leurs têtes troublées

(III, IV).

De la confusion de telles assemblées (IV, Tart. 157),
Apprenez, pour avoir votre esprit raffermi,... (II, Éc. d. m. 317).
Il a le repart brusque, et l'accueil loup-garou (II, Éc. d. m. 310).
Voilà un médecin qui a la barbe bien jeune (V, 343, Am. méd. III, v).
Ma femme bien souvent a la tête un peu chaude (IX, F. sav. 427). Cf.':

...Quand une femme a sa tête fantasque (I. Dép. a. 1281). Le tour ici est à expliquer, non par: Quand une femme a fantasque sa tête, son humeur, mais par: Quand une femme obéit à sa téte fantasque, suit son humeur fantasque, l'humeur fantasque à laquelle elle est sujette.

Dans l'exemple suivant l'adjectif libre n'a pas non plus le sens attributif, comme semble le prouver la place donnée à beau devant le second nom complement d'avoir: Vous avez le tour libre et le beau choix des mots (IX, F. sav. 971; mais voy. v. 765).

Que puissiez-vous avoir toutes choses prospères! (I, Dép. a. 869.) Voy. CONTRAIRE, DESTINS (7° ex.); cf. IX, F. sav. 243.

:

(Cet amant) Crut rencontrer Lucile à ses vœux favorable (Dép. a. 44í).
Je lui crois, pour moi, le timbre un peu félé (F. sav. 614; cf. Mis. 909).
Je puis croire ces mots un artifice honnête (Pour.....) (IV, Tart. 1445).
Et je vous tiens mon véritable père (III, Éc. d. f. 1649).

On la tenoit morte.... Une femme étoit tenue pour morte (VI, 52, 66,
Méd. m. l. I, Iv et v).

A cause de votre noblesse (VI, 546, G. D. II, 11).

vous me tenez [croyez] fort au-dessous de vous

Une femme qui se tient au-dessus de moi... (VI, 508, G. D. I, 1). ... Troubler leur intelligence, et rompre cet attachement, dont la délicatesse de mon cœur se tenoit offensée (V, 93, D. Juan, I, 11). Voy. TENIR et SE TENIR.

Tous les hommes sont semblables par les paroles; et ce n'est que les
actions qui les découvrent différents (VII, 54, Av. I, 1 : note; cf. II,
D. Garc. 1853, 1854). Voy. Dénoter, Garantir, Peindre (dern. ex.).
L'EXEMPT. Il s'est trahi lui-même,

(Et...) S'est découvert au Prince un fourbe renommé (IV, Tart. 1923).
Attendez jusqu'au bout pour voir les choses sures (IV, Tart. 1533).
Agencement,] Qui du champ du tableau fasse un juste partage,
En conservant les bords un peu légers d'ouvrage (IX, Val-de-Gr. 76).
Ils serout bien ébaubis Quand ils nous verront partis (VIII, 218,

...

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Bourg. g. Ballet des Nat.).

Vous voyez combien de personnes tuées pour deux cents pistoles (VIII, 472, Scap. II, vii).

On vous a vu contre eux un diable déchaîné (III, Éc. d. f. 69). Vous m'allez voir désormais la meilleure femme du monde (VI, 582, G. D. III, vi).

Peut-être... qu'à l'heure que je parle, on l'emmène esclave en Alger (VIII, 480, Scap. II, vn). Cf. Arrêter... PRISONNIER; être reçu MÉDECIN.

Et tout ce que vous m'avez dit, je l'aime bien mieux une feinte, que non pas une vérité (IV, 214, Pr. d'É. V, 11).

Je l'aime aussi la compagnie], mais je l'aime choisie (III, 312, Crit. 1). J'ai deux sœurs capables de plaire...,

Et l'amitié me rend leur personne assez chère,

Pour vous souhaiter leurs époux (VIII, Psy. 474, 475). Pour souhaiter de vous voir devenir leurs époux.

AR. Croyez-vous qu'elle est mal d'être avec Léonor?

SG. Non pas; mais avec moi je la crois mieux encor (II, Éc. d. m. gí). Vous avez bien voulu les choses de la sorte (IX, F. sav. 136).

E. Degrés de comparaison.

Pour l'emploi du comparatif au lieu du superlatif, voy. à PLUS, MIEUX, MEILLEUR, MOINS.

Si l'on en peut voir un plus fou, je l'irai dire à Rome (VIII, 209, Bourg. g. V, vi).

C'est me faire une plaie au plus tendre de l'âme (I, Ét. 1044).

Voy. ci-dessus (division B) des substantifs pris adjectivement et précédés de plus rien de plus mar hand..., estimées plus femmes de bien). O père, le meilleur qui jamais ait été (VI, Mélic. 541). Prends celui de tes traits le plus propre à me plaire,

[154).

Le plus empoisonné de ceux (Que tu lances dans ta colère) (Psy. 153, Elle a les yeux petits; mais elle les a pleins de feux, les plus brillants, les plus perçants du monde, les plus touchants qu'on puisse voir (VIII, 130, Bourg. g. III, 1x).

N'ai-je pas encore toutes mes dents, les meilleures du monde? (IV, 22, Mar. f. 1.)

Comme ses lumières [de M. de Pourceaugnac] sont fort petites, et son sens le plus borné du monde... (VII, 319, Pourc. III, 1).

Et des rois les plus grands m'offrit-on le pouvoir... (VI, Mélic. 437). Venez me faire raison de l'insolence la plus grande du monde d'un mari à qui le vin et la jalousie ont troublé de telle sorte la cervelle, qu'il... vous a lui-même envoyé querir pour vous faire témoins de l'extravagance la plus étrange dont on ait jamais ouï parler (VI, 587, G. D. III, VII).

... Deux Nymphes d'un rang le plus haut du pays (VI, Mélic. 219). Je ris toute seule d'un conte qu'on vient de me faire, le plus plaisant qu'on puisse entendre (VIII, 500, Scap. III, m).

Il en a un à vendre [un diamant], le plus parfait du monde (IV, 29, Mar. f. III).

Ce n'est pas une comédie, c'est une affaire fort sérieuse, et la plus pleine d'honneur pour vous qui se peut souhaiter (VIII, 202, Bourg. g. V, v; cf. VIII, 416, Scap. I, 11).

C'est une chose la plus aisée du monde (VII, 126, Av. III, 1).

Autres superlatifs, renforcés par du monde, et se rapportant à un nom précédé de l'article indéfini: IV, 27, 34, Mar. f. 11 et Iv; V, 92, D. Juan, I, n; V, 304, 341, Am. méd. I, 1 et III, m; VI, 508, G. D. I, 1; VIII, 122, Bourg. g. III, vi; VIII, 430, Scap. I, IV.

HARP. Vous êtes un astre, le plus bel astre qui soit dans le pays des astres (VII, 142, Av. III, v).

Nous avons ici un homme, le plus merveilleux homme du monde, pour les maladies désespérées (VI, 50, Méd. m. l. I, IV).

Quoi? traiter un amant de la sorte, et un amant le plus fidèle et le plus passionné de tous les amants (VIII, 127, Bourg. g. III, 1x).

[De petites figures qui] me diront de petites folies les plus agréables du monde (IV, 23, Mar. f. 1).

Ce sont des choses les plus claires du monde (VII, 440, Am. magn. III, 1; cf. VII, 411). Voy. VIII, 477, Scap. II, VII.

Cf. PLUS au Lexique pour la tournure: Un chapeau des plus pointus.

IV

NOMS ET ADJECTIFS DE NOMBRE

A. Formes de nombres cardinaux.

Une, deux (VIII, 72 et 73, Bourg. g. II, 11, Commandement du Maître d'armes).

(Vous aviser) A quarante et deux ans de vous débaptiser? (III, Éc. d. f. Soixante et trois livres (IX, 283, Mal. im. I, 1).

[170.)

Donné à vous une fois deux cents louis.... Une autre fois, six-vingts.... Quatre mille trois cent septante-neuf livres... (VIII, 115, Bourg. g. III, IV).

...

Je disois cent aus; mais vous passerez les six-vingts (VII, 109, Av. II, Près de deux cent ans (I, Ét. 1550).

v).

Cent est ainsi écrit dans les éditions de 1663 à 1674 et dans celle de 1682.

B. Emplois divers de nombres cardinaux.

(Et trois :) Quand nous serons à dix, nous ferons une croix (I, Ét. 442 : Et un (VIII, 474, Scap. II, vi: note). Et un de pris. GER. Combien y a-t-il que vous êtes revenu ici? SGAN. Je revins en cin

[note).

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