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(Pourvu que)... dans mon désert, où j'ai fait vœu de vivre,
(Vous soyez... résolue à me suivre) (V, Mis. 1763).

ELI. Et puisqu'avant ses soins, où pour vous il s'engage...
D. GARC. Vers moi, pour me porter au dessein qu'il a pris,
Il semble avoir tourné toute sa violence,

Dont il poursuit l'alliance

De vous et de son fils (II, D. Garc. 39, 366).

Mais voyez les notes à ces deux vers.

Son père [de Lucinde] n'a jamais voulu consentir à le recevoir [à recevoir Léandre] pour son gendre (VI, 48, Méd. m. l. I, Iv).

(Les Turcs)... que vous assurez, par serments authentiques, Adorer pour leurs dieux la lune et le soleil (I, Ét. 1501).

Devrois-tu être un seul moment sans rendre grâce au Ciel de m'avoir pour ta femme? (VI, 36, Méd. m. l. I, 1.)

Une femme qui... pense qu'avec tout mon bien je n'ai pas assez acheté la qualité de son mari (VI, 508, G. D. I, 1).

...

...

La qualité que j'ai de votre époux... (VI, Amph. 575).

Confirmer à ma sœur le nom de votre femme (V, 197, D. Juan, V, ш). Il suffit que je vous ordonne, à vous et à votre fille, de ne point célébrer, sans mon consentement, vos noces avec lui (VII, 288, Pourc. II, 11).

HALI. Nous vous attraperons : elle sera notre femme (VI, 256, Sic. vII).
Voy. aux PRONOMS PERSONNELS (V, B, 5°) et plus loin, à 2o, 7o ex.
Je voudrois, pour trouver un tel destin plus doux,

Y voir entrer un peu de son transport jaloux (I, Dép. a. 36).

Un peu de jalousie de sa part (de la part de Valère).

(Pourvu que) Deux mots de votre aveu confirment nos paroles (I, Dép. a. 1026). Deux mots d'aveu venant de vous.

Nous leur jouerons... une pièce qui... pourra leur apprendre à connoître un peu mieux leur monde (II, 57, Préc. 1).

Ce monsieur le Vicomte a bien choisi son monde que de te prendre pour son ambassadeur (VI, 539, G. D. II, 1).

Votre Mascarille (I, Dép. a. 1530). Votre valet Mascarille.

ARIS. Soit. Je vais là-dessus sonder votre Henriette (F. sav. 415). Votre fille Henriette.

On peut remarquer l'emploi du possessif de la seconde personne, au lieu du possessif de la première, dans ce passage où Chrysale parle à Philaminte de leur fille Armande :

(... A votre fille aînée) On voit quelque dégoût pour les nœuds d'hyméC'est une philosophe enfin, je n'en dis rien (IX, F. sav. 623). [née :

Un peu plus loin, Philaminte, à son tour, parlant à son mari de leur autre fille Henriette, dit, mais avec une intention moins marquée, ce semble :

Je veux à votre fille en parler avant vous (ibid. 638).

Voilà nos carognes de femmes (VI, 576, G. D. III, v).
Ne crains pas que ton art, par ta main découvert,

A marcher sur tes pas tienne un chemin ouvert,

Et que de ses leçons les grands et beaux oracles

Élèvent d'autres mains à tes doctes miracles (IX, Val-de-Gr. 192).

Quand de sa République il [Platon] a fait le traité (IX, F. sav. 848).

...

Aux Stoïciens je donne l'avantage,

Et je ne trouve rien de si beau que leur sage (ibid. 898).

(Un Grec) Qui par un dogme exprès défend à tous ses sages L'indigne empressement de lire leurs ouvrages (ibid. 965).

TRISS. Descartes pour l'aimant donne fort dans mon sens.

ARM. J'aime ses tourbillons. PHILAM. Moi, ses mondes tombants (ibid. 884). N'est-ce pas assez, que les savants voient les contrariétés et les dissen

sions qui sont entre nos auteurs et nos anciens maîtrés (V, 337, Am. méd. III, 1).

2° Adjectifs possessifs qui sont à relever avec une certaine emphase sérieuse ou ironique.

Assaisonné du sel de nos grâces antiques

Et non du fade goût des ornements gothiques (IX, Val-de-Gr. 83). De ces grâces que nous admirons tant.

Vos odes ont un air noble, galant et doux,

Qui laisse de bien loin votre Horace après vous (IX, F. sav. 976).

Ah! les menuets sont ma danse, et je veux que vous me les voyiez danser (VIII, 69, Bourg g. II, 1).

Bon, celui-là vient d'abord au fait, voilà mon homme (IV, 79, Ballet du Mar. forcé, II, 11, texte de Philidor donné dans la note 2). Voilà, mes gens, voilà comme il en faut user,

Voilà l'exemple enfin qu'il se faut proposer.

Votre homme, à dire vrai, n'est pas de ce modèle (IV, Tart. 403, 405). Que font-ils pour l'Etat vos habiles héros? (IX, F. sav. 1356.)

ANGEL. Ne devines-tu point de quoi je veux parler? ToIN. Je m'en doute assez de notre jeune amant, car c'est sur lui, depuis six jours, que roulent tous nos entretiens (IX, 290, Mal. im. I, 1v).

(Ce causeur) Dont l'abord importun troubleroit la douceur

Que nos amants goûtent ensemble (VI, Amph. 264).

De nos courtisans les plus légers d'étude

[287).

Elle a la fresque] pour quelque temps fixé l'inquiétude (IX, Val-de-Gr.
Hé! mon Dieu! nos Francois, si souvent redressés,

Ne prendront-ils jamais un air de gens sensés? (III, Fách. 21.)
Voilà de nos François l'ordinaire défaut (III, Éc. d. f. 835).

Voilà de mes donneurs de conseils à la mode (V, 306, Am. méd. I, 1).
Voilà de mes esprits forts, qui ne veulent rien croire (V, 161, D. Juan,
Ah! voilà justement de mes religieuses,

[III, v).

Lorsqu'un père combat leurs flammes amoureuses (IV, Tart, 1301). Savez-vous, mes drôles, Que cette chanson Sent pour vos épaules

Les coups de bâton? (VI, 255, Sic. vII.) Pour détromper ma sœur, et lui faire connoitre

(231).

Ce que son philosophe à l'essai pouvoît être (IX, F. sav. 1764; cf. 230,
Que de son Tartuffe elle paroit coiffée! (IV, Tart. 178.)
Voilà, voilà le fruit de ces empressements

...

[478, 561). Qu'on vous voit nuit et jour à lire vos romans (II, Sgan. 27; cf. F. sav. (Cette lâche méthode) Qu'affectent la plupart de vos gens à la mode... (V, Mis. 42; cf. 414; IX, F. sav. 609).

Je ne veux point qu'elle épouse votre Thomas Diafoirus (IX, 305, Mal. im. I, v; cf. V, Mis. 476).

Oh çà mon frère, puisque voilà votre Monsieur Purgon brouillé avec vous... (IX, 425, Mal. im. III, x1).

Car pour Monsieur votre vicomte, quoique vicomte de province, c'est toujours un vicomte (VIII, 572, Escarb. 11).

Voici votre Madame la comtesse d'Escarbagnas (VIII, 560, Escarb. 1). Notre comtesse d'Escarbagnas, avec son perpétuel entêtement de qualité... (VIII, 558, Escarb. 1).

MME JOURD. Depuis que vous vous mêlez de hanter la noblesse. M. JOURD Cela est plus beau que de hanter votre bourgeoisie. MME JOURd. Çamon, vraiment! il y a fort à gagner à fréquenter vos nobles (VIII, 108, Bourg. g. III, 11).

Que voulez-vous dire avec votre « Mamamouchi »? (VIII, 194, Bourg.g. V, 1; cf. VIII, 143; VIII, 593, Escarb. vIII.)

Laissez là votre révérence (VI, 546, G, D, II, 1),

ANDRÉE. Holà! Criquet. LA COMT. Laissez là votre Criquet, bouvière, et appelez laquais (VIII, 565, Escarb. 11).

3. Adjectifs possessifs équivalant à des génitifs objectifs où subjectifs [Comparez, au Lexique, DE 16° a et b (p. 280 et 281)] :

a) Désignant l'objet d'une action indiquée par le nom qu'ils accompagnent.

(C'est foiblesse) De faire voir aux gens que leur perte nous blesse (I, Dép. a. 1397).

Que la perte que nous faisons d'eux..., que nous sommes blessés de les perdre. Voilà la princesse Ériphile : évitons sa rencontre (VII, 450, Am, magn, IV, I). Évitons de la rencontrer.

Ce sera tantôt que vous jouirez à votre aise du plaisir de sa vue (VIII, 123, Bourg. g. III, vi). Du plaisir de la voir.

Je saurai... laver par ta punition la honte de t'avoir fait naître (V, 178, D. Juan, IV, rv). En te punissant.

(Je)... tiens son alliance à singulier honneur (IX, Fem. s. 402). Une alliance avec lui.

(Lorsque) J'ai vu que mon hymen ajustoit vos affaires (IX, F. sav. 1743). Qu'une union avec moi.

On peut comparer, au vers 1756, l'hymen de Clitandre, où de Clitandre a la valeur d'un génitif objectif :

N'est-ce que le motif que nous venons d'entendre

Qui vous fait résister à l'hymen de Clitandre [refuser d'épouser Clitandre]? (La croyance) Que je fuis votre hymen (II, Éc. d. m. 643).

Que je ne veux pas vous épouser.

Célie est quelque peu de notre intelligence (I, Ét. 1699). D'intelligence

avec nous.

... Qu'il eût mieux valu pour moi, pour mon estime... (I, Dép. a. 821). Pour ma réputation, pour l'estime qu'on ferait de moi.

Sans votre respect, je lui aurois appris... (III, 330, Crit. Iv)

Sans le respect que j'ai pour vous.

C'est cet ami savant qui m'a fait tant d'instance

De lui donner l'honneur de votre connoissance (IX, F. sav. g30).

Il est bien juste que tous ceux qui se mêlent d'écrire travaillent ou à ses louanges [du Roi] ou à son divertissement (IX, 259, Ier Prol. du Mal,im.).

b) Désignant le sujet d'une action ou d'un état.

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Notre achat de Célie (I, Ét. 944).

L'achat que nous voulons faire de Célie.

Je ne me repens pas de mon doux traitement (II, Éc. d. m. 1061).

Du doux traitement dont j'ai usé à votre égard.

[jours!

Ta persécution sera-t-elle éternelle! (I, Ét. 1676.) Persécuteras-tu tou-
Mais je vois votre tante. Agréez, s'il vous plaît,
Que mon cœur lui déclare ici notre mystère,

Et gagne sa faveur auprès de votre mère (IX, F. sav. 272). Voyez, à Fa-
VEUR (p. 477), une remarque à ce vers.

Lorsque dans ma disgrace un amant peut descendre (II, D. Garc. 1828). Lorsqu'un amant est tombé dans un malheur semblable au mien.

Il m'a dit que d'ici votre péril vous chasse (V, Mis. 1465). Le péril où Vous êtes.

4° Emploi de l'adjectif possessif dans des façons de parler familières et dans des locutions.

MAR. [se parlant à elle-même]: Ma pauvre Marinette, es-tu bien éveil. lée? (I, Dép, a, 337.)

Et je suis maintenant ma commère dolente (II, Sgan. 82).

DAMIS. Mais.... MME PERN. Vous êtes un sot en trois lettres, mon fils.... MARIANE. Je crois.... MME P. Mon Dieu, sa sœur, vous faites la discrette.... Pour vous, Monsieur son frère,

...

Je vous estime fort (IV, Tart. 21, 33).

Je vous y prends donc, Madame ma femme (VI, 578, G. D. III, vi). Il n'y a que des sots et des sottes, ma femme, qui se railleront de moi.... Ouais, notre servante Nicole, vous avez le caquet bien affilé........ Taisezvous, ma servante et ma femme (VIII, 102, 103, Bourg. g. III, 1). ... Mon Dieu, notre ami, ne vous tourmentez point (Éc. d. f. 73; cf. 9). Ah! que ça est bian dit, notte homme! (VI, 88, Med. m. l. II, 1v.) Taisez-vous, notre ménagère Jaquelaine (VI, 70, Méd. m. l. II, 1 : note). Mon Dieu! notre gendre que vous avez peu de civilité.... Est-il possible, notre gendre, que vous sachiez si peu votre monde.... Apprenez... que tout notre gendre que vous soyez, il y grande différence... (VI, 516, 517, G. D. I, iv).

Ma foi! ma belle-mère, c'est que j'ai d'autres choses en tête, et... (ibid.). Mon gentilhomme, donnez... (VIII, 96, Bourg. g. II, v).

M. JOURD. [au Maître à danser]. Les menuets sont ma danse, et je veux que vous me les voyiez danser. Allons, mon maître (VIII, 69, Bourg. g. II, 1).

Mon petit fils.... Mon fils (IX, 306, 309, Mal. im. I, vi). Voy. au Ler. Mon BRAVE, Mon FRÈRE, mon COMPERE, et compère, sans adj. poss. Cf. : Les beaux esprits, cousine, aiment la solitude (III, 312, Crit. 1).

... Ah! « sollicitude » à mon oreille est rude:

Il put étrangement son ancienneté (IX, F. sav. 553). Voy. SENTIR son vieux temps, son grand monarque, son homme qui..., sa comédie. En nous formant Nature a ses caprices (VI, Amph. 727).

L'étude et la visite ont leurs talents à part (IX, Val-de-Gr. 345). En attendant cette peinture, où je prétends vous le dépeindre [Trissotin] de toutes ses couleurs... (IX, F. sav. avant le v. 1395).

De cette façon donc, un homme, sans avoir du cœur, est sûr de tuer son homme, et de n'être point tué (VIII, 73, Bourg. g. II, 11).

SGAN. Je sais mon Dom Juan sur le bout du doigt (V, 86, D. Juan, I, II). Cf. SAVOIR son monde, sa cour.

:

Voy. au Lexique Faire sa CoUR, ses EFFORTS pour..., valoir son PRIX, faire ses quatre REPAS, TEMPS (en son temps, prendre son temps et prendre temps, choisir mal son temps).

Un sien fils écolier... (I, Ét. 1320).

Trufaldin maintenant vous reconnoît pour sienne (I, Ét. 2004).

(Ignès) Qui vous donna pour sienne à nourrir à ma mère (I, Dép. a. 1590). Qui, vous déclarant sienne, vous donna à nourrir à ma mère.

Qu'elle garde toujours l'ardeur de me voir sien (I, Ét. 258).

...

MÉTAPHR. N'appréhendez plus l'interruption notre (I, Dép. a. 739). D'une façon ou d'autre, il faut qu'elle soit votre (I, Dép. a. 181). Monsieur, je suis tout votre (I, Et. 132; cf. 557).

B. Pronoms possessifs.

Nous nous voyons sœurs d'infortune,

Et la votre et la mienne ont un si grand rapport... (VIII. Psy. 175).
ÉR. Que sois-je exterminé, si je ne tiens parole!

Luc. Me confonde le Ciel si la mienne est frivole! (I, Dép. a. 1362.) Voy. plus haut (V, B, 4°) des pronoms personnels représentant aussi des mots employés sans article dans une locution.

Quand il joindroit au sien encor vingt autres bras (I, Dép. a. 1700). ... Un cœur comme le notre [comme le mien] (I, Ét. 1871). Voy. Ét. 1059.

Donne-moi cela que je le mette avec le mien (VI, 552, G. D. II, 1v).
Donne-moi cet argent que tu viens de recevoir.
Conservez-moi chez vous cette fille si chère,
Comme si de la votre elle tenoit le rang (I, Ét. 810).

Vos intérêts seront les miens... (I, Dép. a. 518).

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Ses intérêts n'étoient pas tous les votres (I, Dép. a. 1602). Ah! quelle bassesse est la vôtre ! (V, 175, D. Juan, IV, Iv.)

... Quel caquet est le votre! (IV, Tart. 821.)

Quelles fantaisies sont les votres, de vous aller mettre en tête que... (VIII, 166, Bourg, g. IV, 11).

La belle galanterie que la leur! Quoi? débuter d'abord par le mariage! (II, 60, Préc. IV.)

Un ordre de vuider d'ici, vous et les vôtres (IV, Tart. 1749).

C'est que, pour appuyer son illustre projet,

Dom Louis fit semer [répandre le bruit], par une feinte utile,

Que, secondé des miens, j'avois saisi la ville (II, D. Garc. 1737).,

(Une secrète envie) Me presse de revoir les miens et ma patrie (I, Ét. 1992). Dieu fera pour les siens (I, Dép. a. 973).

Et c'est par un des siens qu'il vient de m'en instruire (II, D. Garc. 1741). Vous recevez beaucoup de visites : quel bel esprit est des votres? (II, 79, Préc. Ix).

Tenez-moi des votres, mon cher (III, 416, Impr. Iv).

A déboucher la porte il iroit trop du vôtre;

Faites qu'aucun n'y puisse pénétrer (III, Rem. au R. 59).

Il y va trop du nótre (VI, Amph. 1192).

Je risque plus du mien que tu ne fais du tien (II, Sgan. 608).

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VII

PRONOMS ET ADJECTIFS DÉMONSTRATIFS

I. CE, CET, CETTE, CES

Ce, cette..., seuls, employés devant un nom accompagné ou non d'une épithète.

1° D'une manière emphatique.

Voyez le Lexique à TEL pour des exemples où un tel, une telle, n'ont guère plus de sens que ce, cette.

Tous ceux sur qui la cour jette des yeux propices

N'ont pas toujours rendu de ces fameux services (V, Mis. 1058).

On n'a que lui qui puisse écrire de ce goût (IX, F. sav. 838).

... Ce ne sont point de ces grands vers pompeux,

Mais de petits vers doux, tendres et langoureux (V, Mis. 306).

Je n'avois jamais vu ce scrupule jaloux (I, Dép. a. 514). Un semblable.... Et je vois votre sort malheureux à ce point,

Que, vous sachant dupé, l'on ne vous plaindra point (II, Éc. d. m. 1093). A un tel point, que....

2o Avec une intention méprisante.

Quelle réponse a fait la maîtresse à ce Monsieur le courtisan? (VI, 514,
G. D. I, 1; cf. VI, 539; IX, F. sav. 610, 1133, 1431.)
METAPHR. Virgile l'a dit....

ALB. Comment auroit-il pu l'avoir dit, ce Virgile? (I, Dép. a. 711.) Qu'est-ce que c'est que cette logique?... Qui sont-elles, ces trois opérations de l'esprit?... Qu'est-ce qu'elle dit cette morale?... Qu'est-ce qu'elle chante cette physique? (VIII, 82 et 83, Bourg. g. II, iv.)

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