Le général Joubert: d'après sa correspondence; étude historiqueFischbacher, 1884 - 257 pages |
Autres éditions - Tout afficher
Le général Joubert: d'après sa correspondence; étude historique Edmond Chevrier Affichage du livre entier - 1884 |
Le général Joubert: d'après sa correspondence; étude historique Edmond Chevrier Affichage du livre entier - 1884 |
Le général Joubert: d'après sa correspondence; étude historique Edmond Chevrier Affichage du livre entier - 1884 |
Expressions et termes fréquents
18 fructidor 30 prairial armée armée d'Italie attaque Augereau Autrichiens avaient avez bataille de Castiglione bataille de Loano bataille de Novi bataille de Rivoli bataillons Berthier Bonaparte brave Brescia brigade canons Castiglione Championnet chef de l'armée Cisalpine citoyen général coalisés commandement confiance Constitution de l'an Corona corps coup d'Etat demi-brigades démission devait directeurs Directoire Directoire exécutif drapeaux écrivit ennemis envoyé forces Fouché général en chef général Joubert gloire gouvernement grenadiers guerre Hoche hommes Italie j'ai Jacobins jeune général Joubert écrit jour l'Adige l'Ain l'armée d'Italie l'armée française l'ennemi laisser Larevellière Lazare Hoche lettre suivante lettres de Joubert liberté Lonato Mantoue marche Masséna ment Merlin Milan militaire modérés Moreau Napoléon Novi officiers paix Pannetier patrie patriotes pays père Pichegru Piémont politique Pont-de-Vaux position pouvait prisonniers républicains République reste Révolution Rhin royalistes Sainte-Beuve sauver Scherer sera seul Sieyès soldats Souvarow Suchet surtout Thiers tion troupes Tyrol Vérone victoire Wurmser
Fréquemment cités
Page 65 - ... d'inquiétude il la résumait ainsi: « A chaque heure répondre de la vie de plusieurs milliers d'hommes ; hasarder à propos la vie de ses soldats pour la leur sauver ; ne négliger aucune précaution pour se défendre des embuscades et des surprises...
Page 139 - C'est de lui qu'on a dit avant le 18 fructidor : « Cet homme vit encore. » Malgré plusieurs blessures et mille dangers , il a échappé aux périls de la guerre, il vivra longtemps, j'espère, pour la gloire de nos armes, le triomphe de la Constitution de l'an III et le bonheur de ses amis.
Page 65 - A chaque heure répondre de la vie de plusieurs milliers d'hommes ; hasarder à propos la vie de ses soldats pour la leur sauver ; ne négliger aucune précaution pour se défendre des embuscades et des surprises de nuit ; voir dans cette lutte continuelle succomber ses amis, ses connaissances, par les blessures ou les maladies : il ya là de quoi tourmenter un homme. Et moi qui ne sens rien faiblement, je m'affecte d'autant plus profondément que dans notre état il faut avoir l'art de cacher aux...
Page 28 - Le gouvernement tout occupé du Rhin nous laisse sans argent, à la merci des fripons qui nous administrent.
Page 31 - ... ce qui ne l'empêcha pas d'aller toujours et de poursuivre. Il a raconté ainsi cet assaut qui manqua, mais qui amena la reddition le lendemain : « Rien de plus terrible que l'assaut où j'ai été blessé en passant par un créneau : mes carabiniers me soutenaient en l'air ; d'une main j'embrassais le mur, je parais les pierres avec mon sabre, et tout mon corps était le point de mire de deux retranchements dominant à dix pas. J'ai paré deux pierres et n'ai reçu qu'un coup de feu dans mon...
Page 33 - ... ennemi. Je ne loge que chez des comtes, des marquis qui nous appellent des héros et qui nous trouvent encore le caractère aimable des Français. Nous ne parlons pas politique; nous ne nous mêlons pas de leur Gouvernement. » L'entrain du triomphe et de la jeunesse...
Page 140 - L'univers entier en retentit, et déjà elles ont déterminé, dans le système politique, des changements heureux qui consacrent à jamais la puissance et la souveraineté d'un grand peuple. « Voilà le monument qui transmettra à la postérité la plus reculée les événements militaires et diplomatiques de ces célèbres campagnes ; il est beau de le montrer aux yeux étonnés de la nation, le jour même qu'on lui proclame la paix la plus glorieuse, qui...
Page 105 - Cependant l'ennemi s'était retiré sur la rive droite de l'A (lige, et paraissait vouloir tenir encore : le 2 germinal, le général Joubert, commandant les trois divisions, se porta à Salurn; le général Vial s'empara du pont de Neumark, et passa la rivière pour empêcher l'ennemi de se retirer sur Botzen, La fusillade s'engagea avec la plus grande force : le combat paraissait incertain , lorsque le général de division Dumas , commandant la cavalerie, se précipita dans le village de Tramin...
Page 218 - avait formé la résolution de profiter du premier instant d'en« thousiasme que causerait sa présence , s'était rendu à l'ar« niée aussitôt qu'il en fut nommé le chef, il n'est pas douteux « que les Russes et les Autrichiens , avec les seules troupes « qu'ils avaient alors, n'eussent pas été capables de résister « à l'impétuosité de l'attaque de Joubert. Mais le mois que « son mariage * le retint à Paris leur ayant donné le temps « de réunir toutes leurs forces , et la reddition...