Revue rétrospective, ou Bibliothèque historique [ed. by J.A. Taschereau].Jules Antoine Taschereau 1833 |
Autres éditions - Tout afficher
Revue rétrospective, ou Bibliothèque historique [ed. by J.A. Taschereau]. Jules Antoine Taschereau Affichage du livre entier - 1837 |
Revue rétrospective, ou Bibliothèque historique [ed. by J.A. Taschereau]. Jules Antoine Taschereau Affichage du livre entier - 1838 |
Revue rétrospective, ou Bibliothèque historique [ed. by J.A. Taschereau]. Jules Antoine Taschereau Affichage du livre entier - 1838 |
Expressions et termes fréquents
abbé avaient ayant c'était cardinal de Retz Chaise chanoine chose Colibeaux comte confesseur conseil cour couvent curé de Saint-Sulpice d'Acqueville dames Toupi demander dessein dict Dieu dire disant donner duc de Saint-Aignan envoyé eût faisait fallait femme fille Frère Julien fût grace homme Hotman j'ai j'avais j'en j'étais Jacquemont jamais Jésuites jour l'abbé Blache l'honneur laisser Lauzun ledit lettre m'avait m'en madame de Bretonvilliers madame de Guémenée madame de Maintenon madame de Montespan madame de Sévigné madame la duchesse mademoiselle main maison Majesté mandé marquis de Sade marquise d'Asserac Mère Angélique Mère prieure ministre mois monsieur l'archevêque Mont-Louis n'avait parler parloir passer Père de Goulaine Père procureur personne placet pouvait prélat prendre présent prince prince de Condé reine répondit rien royaume Ruel s'était Saint-Sulpice sentimens sentiment serait service seul sieur signor Pietro sorte témoigner Tiennette trouver Varennes Vendôme venir Versailles Victor Jacquemont Virey voulait
Fréquemment cités
Page 119 - Vive donc notre vieil ami Corneille ! Pardonnonslui de méchants vers en faveur des divines et sublimes beautés qui nous transportent : ce sont des traits de maître qui sont inimitables. Despréaux en dit encore plus que moi; et, en un mot, c'est le bon goût, tenezvous-y.
Page 120 - ... le pauvre homme et le cheval, et passent par-dessus, et si bien par-dessus, que le carrosse en fut versé et renversé ; en même temps l'homme et le cheval, au lieu de s'amuser à être roués et estropiés, se relèvent...
Page 119 - Madame de Sévigné, la première personne de son siècle pour le style épistolaire, et surtout pour conter des bagatelles avec grâce, croit toujours que Racine n'ira pas loin. Elle en jugeait comme du café, dont elle dit qu'on se désabusera bientôt.
Page 119 - Racine fait des comédies pour la Champmeslé: ce n'est pas pour les siècles à venir. Si jamais il n'est plus jeune, et qu'il cesse d'être amoureux, ce ne sera plus la même chose.
Page 85 - Une si généreuse sensibilité ! » Elle me tendit la main, je la baisai plusieurs fois avec ardeur sans changer de posture. Elle se pencha vers moi avec beaucoup de tendresse ; elle était dans mes bras lorsque je me relevai, je la serrai contre mon cœur, qui était fortement ému ; elle rougit, mais je ne vis pas de colère dans ses yeux.
Page 79 - Dans le temps même où la jeunesse et le défaut d'expérience pouvaient engager à se mettre trop à son aise vis-à-vis d'elle, il n'y eut jamais aucun de nous, qui avions le bonheur de la voir tous les jours, qui osât en abuser, par la plus petite inconvenance ; elle faisait la reine sans s'en douter, on l'adorait sans songer à l'aimer.
Page 276 - Je suis résolu de la marier à mon neveu le prince de Condé , et de la tenir près de ma famille. Ce sera la consolation et l'entretien de la vieillesse où je vais désormais entrer. Je donnerai à mon neveu , qui est jeune , et aime mieux la chasse cent mille fois que les dames , cent mille francs par an pour passer son temps , et je ne veux autre grâce d'elle que son affection , sans rien prétendre davantage.
Page 250 - J'étais, disait-il, moins décemment, le... favori de M. de R. et c'était pour me donner la promenade qu'on la lui ôtait ; enfin il m'a demandé mon nom, afin d'avoir le plaisir de me couper les oreilles à sa liberté. La patience ma échappé, et je lui ai dit : « Mon nom est celui d'un homme d'honneur « qui n'a jamais disséqué ni empoisonné de femmes...
Page 257 - ... exécutée que par le passé et les mêmes abus auraient toujours lieu. Je ne demande point qu'on le renvoie à Bicêtre où il avait été précédemment placé, mais je ne puis m'empêcher de représenter à Votre Excellence qu'une maison de sûreté ou un...
Page 122 - Quand elle fut prête à mourir l'année passée , je disois , en voyant sa triste convalescence et sa décrépitude : Mon Dieu ! elle mourra deux fois bien près l'une de l'autre. Ne disois-je pas vrai ? Un jour...