TOME SECOND.

Pune femme. Page 33. ligne 29. lifez Age 26. ligne 24. lifez, conduite à venir font toutes de l'invention. Page 35. ligne 2. lifez, ne me menacent pas, &c. Page 40. ligne 26. lifex, mais les phifionomics. Page 71. ligne 11. lifez, entremêlé comme je vous l'ai dit d'un torrent. Page 72. ligne 17. lifez trompé ailleurs Page 83. ligne 11. lifez, s'acquiert le perfide qui vous facrifie. Page 90. ligne 21. lifez, le commerce aifé des autres femmes. Page 98. ligne 21. lifez, me répondrez-vous. Page 100. ligne 19. lifez, rien du tout de tout cela. Page 110. ligne 17, lifez, de matiere à fa forme, de même auffi que toute portion de matiere eft pliable à une forme plus ou moins fine & variée, &c. Page 111. ligne 1. lifez, de fa fupériorité. Page 124. ligne 27. lifez, par des riens. Page 130. ligne 29. lifez, Pauvreté qui put me mettre. Page 137. ligne 17, lifex, n'eft pas fort réfléchie. Page 138. ligne 2. lifez, c'eftlà la vertu. Page 144. ligne 20. lifez, comme on dit aux cheveux. Page 160. ligne 26. lifez, bien d'autres, &c. Page 167. ligne 9. lifez, & puis qui eft-ce, ce font. Page 168. ligne 22. lifez, de répeter encore un verre. Page. 169. ligne. lifez, bon me voilà bien, reprenons. Page 175. ligne 8. lifez, que c'eft cette face joyeufe. Page 197. ligne 19. lifez", ils ne deferont point, Monfieur. Page 202. ligne 8. lifez, defir avide & brutal. Page 250. ligne 16 lifez, elle vous écoute, vous la réjouifLez, yous, &c. Page 276. ligne 24. lifez,

t'il avoir après l'avoir vûe? Page 281. ligne 2. lifez, dîmes nous aimez-nous tous à la fois. Page 284.ligne 23. lifez, tout ce qu'elle en peut faire. Page 294. ligne 7. lifez, de fon vivant à lui. Page 306. ligne 28. lifez, ils ne propofent que de m'aimer. Page 317. ligne 27. lifez cet homme- là fe méprend. Page 370. ligne 22. lifez, même du plus cruel. Page 375. ligne 26. lifez, qu'à travers tous les intérêts. Page 376. ligne 8. lifez, de l'aimer encore. Page 390. ligne 12. lifez, nous continuions. Page 409. ligne 21. lifez, Vieille, ajoutai-je. Page 433. ligne 17. lifez, com ptois pas les déranger. Page 441. ligne 10. liJez, corrompe le Juge. Page 471. ligne 4. lifex, défavantage, il nous a trompé tous deux, il vous a dit, &c.

PIECES DÉTACHÉES

ÉCRITES DANS LE GOUT

DU

SPECTATEUR FRANÇOIS.

Lettre de M. de M***. contenant une Avanture.

'Ai reçû votre lettre, mon cher ami. L'avanture, dont vous m'y faites le récit, eft particuliere, & vous avez, dites-vous, de l'admiration pour une femme qui meurt de douleur, après avoir appris l'irréparable infidélité de fon amant ; un fi prodigieux excès d'amour vous pénetre de refpect pour elle, & je n'en fuis point furpris, car vous aimez. Cette tragique histoire fait un exemple du caractere d'amour, Tome II.

A

que vous fouhaiteriez pour vous à votre maîtreffe ; mais cruel! en le lui fouhaitant, fongez-vous aux conféquences? je la garantis morte, fi vous êtes exaucé, & morte peut-être dans huit jours peut-être le hazard va-t-il vous préfenter un vifage aimable dont la propriétaire armera toute la coquetterie contre vous. Vous aurez des yeux, un coeur & de l'amour propre; vous vous amuferez à regarder avec plaifir; vous aimerez à plaire; voilà votre maîtrefle à fon dernier foupir; vous acheverez de vous gâter la nuit par de flatteufes & de reconnoiffantes réflexions; la voilà mor.te. Où est-il le cœur de tout fexe dont la loyauté ne périffe dans les dangers dont je parle? & que deviendroient les amans, fi l'inconftance de l'un étoit un arrêt de mort contre l'autre les hommes & les femmes tomberoient autour de nous par pelottons; on ne pourroit compter fur la vie de perfonne, & je conçois qu'il ne refteroit plus fur terre que quelques gens, qui par cas fortuit, fe feroient mutuellement portés un coup fourré d'inconftance. Jufte Ciel I que de tré