Œuvres posthumes de Girodet-Trioson, peintre d'histoire: suivies de sa correspondance, Volume 1J. Renouard, 1829 |
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... amour de l'indépendance , lui faisait aimer tendrement . A cet âge , où le passé n'est encore rien , où l'avenir n'apparaît que comme un point à l'ho- rizon , où le présent s'écoule tout entier dans les impres- sions vives qui n ...
... amour de l'indépendance , lui faisait aimer tendrement . A cet âge , où le passé n'est encore rien , où l'avenir n'apparaît que comme un point à l'ho- rizon , où le présent s'écoule tout entier dans les impres- sions vives qui n ...
Page xiii
... l'Amour lui présente un miroir dans lequel elle se considère avec une satisfaction toute naïve , et où elle voit des bijoux s'at- tacher d'eux - mêmes à son col et à ses bras . Pendant qu'elle s'enivre du parfum des fleurs , et du ...
... l'Amour lui présente un miroir dans lequel elle se considère avec une satisfaction toute naïve , et où elle voit des bijoux s'at- tacher d'eux - mêmes à son col et à ses bras . Pendant qu'elle s'enivre du parfum des fleurs , et du ...
Page xx
... l'amour de Pygmalion pour son propre ouvrage ; Vénus exauçant les vœux du statuaire ; l'Amour donnant la vie à l'al- bâtre . Ici , ce n'était plus une fiction , c'était la réalité même qu'il fallait représenter . L'opinion n'a pas été ...
... l'amour de Pygmalion pour son propre ouvrage ; Vénus exauçant les vœux du statuaire ; l'Amour donnant la vie à l'al- bâtre . Ici , ce n'était plus une fiction , c'était la réalité même qu'il fallait représenter . L'opinion n'a pas été ...
Page xxix
... l'A- pollon , il laisse bien loin de lui le premier de ces écri- vains ... l'art ! mes yeux versent des pleurs Sur ce marbre expirant dont je plains les douleurs ... amour , Sa bouche parfumée où la grâce respire , Ses cheveux ondoyans ...
... l'A- pollon , il laisse bien loin de lui le premier de ces écri- vains ... l'art ! mes yeux versent des pleurs Sur ce marbre expirant dont je plains les douleurs ... amour , Sa bouche parfumée où la grâce respire , Ses cheveux ondoyans ...
Page xxxi
... l'amour d'Apelles . La pensée de ce vers est puisée dans le récit de Pline qui prétend que le peintre de Cos peignit sa Vénus ana- dyomène d'après Campaspe . Cette image de Vénus sor- tant du sein des ondes , dégagée des accessoires ...
... l'amour d'Apelles . La pensée de ce vers est puisée dans le récit de Pline qui prétend que le peintre de Cos peignit sa Vénus ana- dyomène d'après Campaspe . Cette image de Vénus sor- tant du sein des ondes , dégagée des accessoires ...
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Œuvres posthumes de Girodet-Trioson, peintre d'histoire: suivies ..., Volume 1 Anne-Louis Girodet-Trioson Affichage du livre entier - 1829 |
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Expressions et termes fréquents
à-la-fois admire amour Anacréon antiques Apelle Apollon Appartient artistes arts avaient Bacchus beau beauté beaux-arts belle bonheur brillant Capitole Carrache célèbre Césars chants charme château de Compiègne chefs-d'œuvre ciel cieux cœur combat composition contemple Corrège crayon débris Delille dessin dieu dieux divin Dominiquin douleur doux élèves Énée enfin esquisse feux fils flots fortune front génie Ghiberti Girodet GIRODET-TRIOSON gloire Grèce guerrier héros heureux homme immortels j'ai jeune jour Jules Romain Jupiter l'aigle de Florence l'amour l'art l'artiste l'Énéide laurier Lithographié lui-même madame main maître marbre méditant Michel-Ange modèle Montargis monts Euganéens monumens mort de Girodet mortels murs noble ombres ouvrage Pannetier paysage peintre pensée Péquignot père peuple pieds pinceaux Plutarque poème poète portraits Poussin Protogène Raphaël reste rivaux rois Romains Rome ruines sacrés saint scène sentiment seul siècle souvent statues sublime tableau talent temple terminée terre tête Titien tombeaux triomphe Trioson vainqueur Vénus Vésuve victoire vieux Virgile yeux Zeuxis
Fréquemment cités
Page 304 - ... son eau, d'une amertume affreuse, est si pesante que les vents les plus impétueux peuvent à peine la soulever.
Page xxvii - Un mélange d'admiration et de douleur arrêtait mes pas et ma pensée; le silence était profond autour de moi : je voulus du moins faire parler l'écho dans des lieux où la voix humaine ne se faisait plus entendre, et je criai de toute ma force : Léonidas! Aucune ruine ne répéta ce grand nom, et Sparte même sembla l'avoir oublié.
Page 297 - L'Eurotas coulant solitaire sous les débris du pont Babyx; des ruines de toutes parts, et pas un homme parmi ces ruines! Je restai immobile, dans une espèce de stupeur, à contempler cette scène. Un mélange d'admiration et de douleur arrêtait mes pas et ma pensée; le silence était profond autour de moi : je voulus du moins faire parler l'écho dans des lieux où la voix humaine ne se faisait plus entendre, et je criai de toute ma force : Léonidas!
Page 106 - Hélas ! je n'ai point vu ce séjour enchanté , Ces beaux lieux où Virgile a tant, de fois chanté ; Mais, j'en jure et Virgile et ses accords sublimes! J'irai; de l'Apennin...
Page 239 - ... rêveuses, que la mort occupe autant que la vie, se plaisent à contempler cette campagne de Rome, où le temps présent n'a imprimé aucune trace ; cette terre qui' chérit ses morts et les couvre avec amour des inutiles fleurs, des inutiles plantes qui se traînent sur le sol, et ne s'élèvent jamais assez pour se séparer des cendres qu'elles ont l'air de caresser.
Page 227 - ... effet rien n'est si propre à nous élever l'âme , et à la remplir de cette chaleur qui produit les grandes choses , que l'admiration dont nous nous sentons saisis à la vue des ouvrages de ces grands hommes. C'est pourquoi , si je n'ai pas réussi dans les odes que j'ai tirées de David , je ne dois en accuser que la...
Page 302 - ... Ce vent , toujours léger et rapide , n'est pas d'abord très-chaud ; mais à mesure qu'il prend de la durée, il croît en intensité. Les corps animés le reconnaissent promptement au changement qu'ils éprouvent. Le poumon , qu'un air trop raréfié ne remplit plus, se contracte et se tourmente. La respiration devient courte , laborieuse ; la peau est sèche , et l'on est dévoré d'une chaleur interne. On a beau se gorger d'eau, rien ne rétablit la transpiration. On cherche en vain la fraîcheur...
Page 309 - Raffaello, e gli mandò la testa d'un suo ritratto condotta da lui a guazzo su una tela di bisso che da ogni banda mostrava parimente e senza biacca i lumi trasparenti, se non che con acquerelli di colori era tinta e macchiata, e de...
Page 238 - L'aspect de la campagne, autour de Rome, a quelque chose de singulièrement remarquable : sans doute c'est un désert, car il n'ya point d'arbres ni d'habitations; mais la terre est couverte de plantes naturelles, que l'énergie de la végétation renouvelle sans cesse. Ces plantes parasites se glissent dans les tombeaux, décorent les ruines, et semblent là seulement pour honorer les morts. On...
Page 239 - ... se servent de sa richesse. Ces plaines incultes doivent déplaire aux agriculteurs , aux administrateurs, à tous ceux qui spéculent sur la terre et veulent l'exploiter pour les besoins de l'homme ; mais les ames rêveuses, que la mort...