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servit le cochon de lait; mais on s'aperçut
trop tard qu'il avait été enlevé par le loup:
alors on prit le cochon noir, on le mit en
broche, et on le servit à table: ainsi fut
vérifié la prédiction de Nostradamus. La
chose m'a été racontée fort sérieusement
par différentes personnes. Il est certain
que Nostradamus a été pendant quelque
temps à Bar-le-Duc, proche Fains; pour
la prédiction et ce qui l'a suivi, je ne les
garantis point. Quant au château, il sub-
siste encore,
mais beaucoup moins grand
et moins beau qu'autrefois : on l'a réduit
au logement nécessaire, pour éviter les
dépenses de l'entretien.

sance de services, à la charge de laisser jouir de la seigneurie utile, les mâles de la maison de Falkenstein.

En 1467, le 9 juin, Jean II, duc de Lorraine, reprit Falkenstein de l'empereur. En 1495, le 15 Mai, le duc René II, reprit en personnne, à Worms, Falkenstein, de l'empereur Maximilien.

En 1609, le premier octobre, l'empereur Mathias, donna l'investiture de ce Comté au duc Henri; l'empereur Rodolphe en fit de même en 1613; et en 1627, l'empereur Ferdinand II, en investit encore Charles IV, le sixième d'août.

Depuis la donation de Frideric d'AutriLes pères Tiercelins ont une maison à che à Jean duc de Lorraine, Falkenstein Fains, qu'ils y ont bâtie proche le château; devint arrière fief du duché de Lorraine elle fut fondée en 1633, par M. de Flo- et les comtes ou seigneurs de Falkenstein, rainville seigneur dudit lieu. L'église est reçurent l'investiture des ducs de Lorraine. dédiée sous le nom de Notre-Dame de Guillaume Wirich de Falkenstein la reçut Bonsecours, les bâtimens en furent achevés solemnellement du duc Charles IV, dans la en 1635. Il y a dans le château une cha- ville de Worms, l'an 1641 (1). Le comte de pelle castrale, et une autre dans l'église Manderscheid s'y opposa, prétendant que paroissiale; l'une et l'autre appartenant au seigneur.

Le R. P. Benoît Picart dans son his toire de Toul, p. 8, 9, dit que l'itinéraine attribué à Antonin met un lieu nommé Fines, qu'il croit être le village de Fains, sur la route de Reims à Toul, de cette sorte: Ducorto. Reims. Caturices M. P. IX. Ad Fines M. P. V. Fains.

ce comté lui appartenait à cause de sa femme, fille de Stenon Lovenhaupt, et petite fille de Sidonie de Falkenstein (2).

Il porta ses plaintes à la chambre de Spire, à la diète de Ratisbonne, et au congrès d'Osnabrug. Par le traité, on arrêta que le comté de Falkenstein serait restitué à qui il appartenait de droit. Le comte de Manderscheid entreprit dè s'emparer de ce comté par la voie de fait, et en jouit quelque temps.

Nasio. M. P. IX. Naix. Tullo M. P. XVI, Toul. François, comte de Falkenstein et d'ONous croyons que Caturices pourrait berstein, ayant été déclaré félon pour s'être être St. Dizier, ou plutôt Chatrice près ligué avec le prince Palatin, fut attaqué de là, où il y une abbaye de chanoines dans son château de Falkenstein, pris et réguliers. Quant ad Fines, il ne se trouve dépouillé de ce comté en 1646. La reine en cet endroit dans aucun géographe an- de Suède intercéda pour son rétablissecien, que je sache. C'est donc une faute de ment, plusieurs princes en firent de même, mémoire, ou d'exactitude du R. P. Picart. et il fut rétabli dans sa terre. FALKENSTEIN.-Falkenstein, (le Le comte Guillaume de Falkenstein', se comté de) petite contrée d'Allemagne, si-voyant sans enfans, vendit la propriété de tuée aux confins du palatinat; c'était au

trefois un fief immédiat de l'empire; mais (1) Vide de Honthem Hist. Trevirens. t. 2. l'an 1458, le lundi d'après la St. Erasme, page 293. (2) Longuerue description de la France partie l'empereur Frideric d'Autriche, donna ce 2. pp. 411. 413, et Hist. de Lorr. t. 3. pp. 632. fief au duc Jean de Lorraine, en reconnais-644.

ce comté l'an 1667, à Charles IV duc de pereur. En effet, le duc Léopold en reçut Lorraine, qui en investit son fils naturel, l'investiture de l'empereur. Charles-Henri, prince de Vaudémont,

La maison de Falkestein est très-ancienqu'il avait eu de la princesse Beatrix de Can-ne (1); elle portait de gueules au faucon tecroix. Voulant lui assurer un établisse-d'argent, surmontant une colline de sinoment digne de sa naissance, il résolut de ple. L'an 1176,vivait Herbran de Falkenslui former un duché sous le titre de Sâre-tein, qui fut témoin à l'acte de donation land, ou duché de la Sàre, composé des comtés de Falkenstein, de Sarverden, de Bitche, de la baronie de Fénétrange, des terres d'Albe, de Sarguemines, de Sareik, Marmoutier, et terres adjacentes.

neveu

du fond de Burlebach, faite par Henri l'Aveugle, comte de Luxembourg, à l'église de saint Paul de Verdun. Dans les siècles suivans, ces seigneurs intervinrent à divers autres actes, et plus particulièreOn demanda au prince Charles V, ment Arnou, seigneur de Falkenstein et et héritier de Charles IV, son agrément de Neuf-Château, reconnut en 1278, tenir pour l'érection de ce duché en souveraine- en fief de Henri comte de Luxembourg, son té, dans le temps que Charles IV faisait agir château, sa ville et leurs dépendances; et en Pologne, pour faire élire son neveu roi pour se libérer de toutes les prétentions de Pologne, et qu'il y envoyait pour cela que le comte de Luxembourg formait à sa de grosses sommes d'argent. Enfin après la seigneurie, il renonça à celles que lui-mêmort du duc de Lorraine Charles IV, arri-me avait sur Mussy-la-Ville. L'an 1340, vée le 4 janvier 1675, le duc Charles V, fit Jean de Falkenstein fut témoin que le une transaction avec le prince de Vaudé- comte de Salm reprit de Jean de Luxemmont, par laquelle il lui céda en souverai-bourg roi de Bohême, le château de Welneté une partie de la Lorraine et quelques stemberg. Deux ans après, ce même Jean seigneuries à charge de reversibilité à la de Falkenstein, seigneur de Bellange, bâtit un château sur une montagne nomcouronne après sa mort Ainsi la propriété du comté de Fal-situé entre Waxweiller et Grimelscheide, mée Castel, et aujourd'hui Fridland, kestein, aussi bien que la seigneurie utile lequel il reprit en fief du comte de Luxemappartint dès lors au duc Charles V, et bourg. ensuite au duc Léopold Ier son fils, qui a été rétabli dans les mêmes droits dont jouissait le duc Charles IV, son grand on

cle

quelle Arnalde, seigneur de Fénétrange et J'ai une lettre de l'an 1487 (2), par la— de Falkenstein, donne à Mathieu de Boldu château, c'était apparemment la chachem ou Boulay, la chapelle de S. Blaise pelle castrale de Falkenstein.

Cependant on sait qu'en 1720 et 1721, il y avait encore des difficultés sur Falkenstein,à cause de la féodalité qui en appartient à l'empereur ; et l'on craignait que du nom de Falkenstein. Le premier VerneOn connait deux archevêques de Trèves la maison de Schomborn, dont un membre jouissait alors de l'archevêché de Conrade mort en 1588. Ils descendaient de rus, mort en 1407, et le second Cono ou Mayence, n'y formât quelque obstacle, Philippe de Falkenstein premier du nom, ayant l'expectative sur Falkenstein, en cas camérier de l'empereur, qui vivait en de mort sans enfans de M. le prince de 1229 et 1275; il eut pour femme, N. de Vaudémont. Mais on applanit les difficul-Mutzenberg. Il laissa un fils nommé Vertés, et le duc Léopold fut conservé dans la nerus qui vivait en 1256 et 1298. Il époupossession de cette seigneurie. 130 et 131. (1) Histoire de Luxembourg, tome 7, page

Le prince de Vaudémont vivait encore; mais on prenait des mesures pour l'avenir, afin de s'assurer de l'inféodalité par l'em

(1) Archives de Lorraine, Layette, Falkens

tein.

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5o Philippe, qui épousa Elisabeth d'Eppenstein.

Conon second fils de Philippe I, époux de Jeanne de Sarverden, eut pour fils : 1o Cunon archevêque de Trèves, mort en 1388.

2o Philippe III, qui épousa N. de Hanau, dont il eut,

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Ce prieuré dépend de l'abbaye de Bonfaï; l'ancienne chapelle, la maison prieurale et la métairie, furent rebâties en 1733; il n'y a plus de religieux au prieuré, depuis que l'abbaye a été misse en commende.

Le coteau voisin donne en même temps de bon vin et d'excellentes eaux au prieuré et à la métairie, ce qui est attesté par l'inscription latine qu'on y voit.

FAUCHE (LA), prieuré du Dóme.La Fauche ou la Faiche, en latin Falcia, ou Fisca ou Faiche, ou Fesche, dénommée dans quelques anciens monumens sous le simple nom de Faicha; ce lieu est du diocèse de Toul, annexe de Preix. L'église est dédiée sous le nom de la Sainte-Vierge en son Assomption. Décimateurs, les reliOn peut voir la généalogie de Falkens-gieux de Mureau, le prieur de Rinel et le tein dans Seneherberg et dans de Honthem, curé de Preix qui est aussi curé de la Fant. 2, p. 295. Hist. Trevir.

1o Aguès qui était morte en 1383. 2° Philippe qui vivait en 1342 1388, et épousa Anne de Catimeliboc.

che. Ce lieu a titre de baronnie dans l'élection de Chaumont. Il est célèbre depuis M. Audifret, et après lui M. Corneille, long-temps, et a donné le nom à une illusdans son dictionnaire géographique, pla-tre maison qui subsistait dans le onzième cent Falkenstein aux confins du palatinat, douzième et treizième siècles. Les maisons vers le mont de Donnerberg, ou Montagne de Joinville et de Baudricourt lui succédu Tonnerre, entre la petite ville de Roc-dèrent (1), et celle de Lorraine fut substikenhausen, qui est dans le bailliage de tuée à cette dernière. Elle appartient auKaiserslauter et celle de Gelheim.

que

jourd'hui à M. le marquis de Mouy, prince de Ligne, auquel elle est venue, ainsi toutes les autres terres qu'il possède en France de M. le marquis de Mouy, descendu de la maison de Lorraine par les femmes. Cette terre a été ensuite vendue à M. de Croisat. L'ancienne maison de la Fauche portait d'azur à deux léopards d'or

La carte d'Alsace met Falkenstein dans la basse Alsace, à cinq ou six lieues de Bitche vers le couchant, et à distance à peu près pareille de Schonech et de Valdek, à la source d'un ruisseau nommé Falkensteinvach. Il y a encore d'autres Falkenstein qui ne font rien à mon sujet, non plus que celui d'Alsace. Je soupçonne que les Fal-mis l'un sur l'autre. kenstein du duché de Luxembourg, ou des Ardennes, dont nous avons parlé ci-devant, et ceux de l'archevêché de Trèves, ne font

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La chapelle de saint André de la Fauche

(1) Benoit, pouillé de Toul, p. 2o, t. 2.

rains, qui avaient fait arrêter et mettre en prison quelques marchands de Metz qu'on avait fait répéter aux régens de Lorraine, pendant l'absence du duc René Ier et qu'on avait refusé de rendre. On était sur le point d'entrer en guerre, mais les marchands ayant été renvoyés on fit bientôt cesser les hostilités.

a été fondée en 1494, pour six chape- | pour se venger de certains seigneurs Lorlains, par Jean, seigneur de Baudricourt, de Choiseul et de la Fauche, maréchal de France et gouverneur de Bourgogne, mort à Blois en 1499, sans laisser d'enfans d'Anne de Beaujeu son épouse, fille d'Edonrd sieur d'Amplepuis. Cette fondation porte, que les chapelains doivent chanter tous les jours les heures canoniales, et dire une messe conventuelle. A présent les chapelains ne font plus de résidence, mais ils sont obligés de dire chacun une messe pendant la semaine, et de faire tous ensemble l'office solemnel au jour de saint André. Ces prébendes sont à la collation du sei-sur la Niède allemande, à sept lieues de ́gneur de la Fauche. C'était apparemment ́originairement la chapelle castrale du château. La Fauche est située près l'abbaye de Mureau et de Neuf-Château, pas loin de la Meuse, sous le bailliage de Chaumont en Bassigni.

nonante.

Jacques de Lorraine évêque de Metz depuis l'an 1238 jusqu'en 1260 (1), acquit de Veric le Vosgien, ce qui lui appartenait dans l'avocatie du Val de Faulx. FAUQUEMONT.-Fauquemont,bourg

Metz, et trois de St. Avold, huit de Sarre louis, et à quatre de Boulay, ayant titre de marquisat, érigé le 4 décembre 1629, en faveur d'Elisée d'Harau court; et de prévôté bailliagère seigneuriale, créée le 11 janvier 1728. Il est du diocèse de Metz, ressortissant nuement à la cour souveraine de Nancy. Les notaires royaux ne peuvent passer des actes dans son district, suivant les arrêts du 19 décembre 1723, et 4 mars 1751.

Le Dóme, ancien prieuré conventuel de l'ordre de citeaux, de la filiation de Morimond, fut fondé pour des religieuses. Patronne, sainte Ursule. Le revenu est d'environ cent paires de rente, que ces filles tirent des terres qui sont dans le voisinage de Fauquemont s'appelle en allemand Falleur maison; elles ont de plus la métairie kembourg, ou Falkemberg; cette seigneude Viller-Fontaine, un gagnage à Semilly rie a appartenu autrefois à l'église de Metz et plusieurs arpens de bois. Mme de Flame-(2), elle fut usurpée dans le douzième ran de Vallerot, prieure de ce prieuré, en a siècle par les seigneur du pays. Etienne de fait réparer les bâtimens et les a mis en état Bar, évêque de Metz, qui a siégé depuis de loger dix religieuses; dont il y a pro-l'an 1120, jusqu'en 1163, récupéra cès verbal et visite du 26 juin mil six cent par la voix des armes Falconis montem. Les ducs de Lorraine ont depuis possédé FAULX, VAL DE FAULX. Fau ou cette seigneurie. Je ne sais ni quand ni Faulx, qui donne son nom au Val de comment ils l'ont acquise. Mais nous Faulx à deux lieues de Nancy vers le savons que l'évêque de Metz Conrade BaNord. On connait deux lieux du nom de yer, et son parent Didier Bayer ayant Faulx, Faulx saint Etienne, et Faulx été faits prisonniers en la bataille de Bulsaint Pierre, auprès du précédent, assez gnéville, le duc René I céda audit Didier près de Condé sur Moselle. Ces deux vil-Bayer, en indemnité des pertes qu'il avait lages ne font qu'une communanté du diocèse de Metz. Il y a dans ce lieu trois maisons franches, et sur le finage un ermitage appelé saint Evre. On lit qu'en 1440, ceux de Metz firent une chevauchée dans le Val de Faulx, souveraineté de Lorraine (1), (1) Hist. de Lorr., t. 2, p. 819.

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(1) Histoire de Lorraine, tome 1, page 72 Preuves.

(2) Longuerue description de la France, partie 2. p. 158.

Hist. de Lorr., t. 1, p. 64.

Ibid. t. 2, p. dexliv.
Ibid.
P. 177.

faites en ce combat, telle part et portion liv. annuellement l'eau en est bleuâtre et qu'il possédait, comme le duc de Lorraine, bonne à boire. Le bassin est entourée au château et seigneurie de Fauquemont, d'un mur qui a 19 verges de circonférence; rachetable toutes et quantes fois qu'il lui l'on juge que la source prend son complairait, pour la somme de quinze cents mencement à une petite fontaine qui est vieux florins du Rhin. au dessous du village de Redelac, à une Le 26 janvier 1357; l'empereur Char-lieue de Fauquemont, pour avoir remarqué les IV, érigea en comté la seigneurie de qu'à la moindre pluie qui tombe de ce côté Falkemberg, en faveur de Rupart, comte là par des temps d'orages, cette fontaine palatin du Rhin. Marquard Fruherus ori-augmente d'une force à faire aller quatre ginis palatinæ parte 1, p. 31.

Autrefois il n'y avait qu'une seule porte au bourg de Fauquemont, en sorte qu'on en sortait par la même porte qu'on y était entré. C'est M. le marquis de Bissy qui a fait faire la seconde porte qui est du côté de Nancy. Le bourg était anciennement fermé de bonnes et fortes murailles, flanquées de bonnes tours.

tournants.

M. l'abbé de Longuerue dit qu'au com- Remarquez aussi qu'il y a à une lieue de mencement du quinzième siècle, le duc Fauquemont, et à cent toises ou enviCharles IV, donna le quart de la seigneurie ron du village de Chemery au midi, des de Fauquemont, en échange du quart de vestiges bien distingués d'une levée ou la seigneurie d'Albe. chaussée, qui n'a pas plus de largeur que pour passer deux voitures de front, que l'on prétend avoir été faite du temps des Romains; partie de laquelle est percrue en bois de haute futaye, et même en arbreз de vieilles écorces fort anciens, qui appartiennent au duc d'Havré; et l'autre partie encore aujourd'hui fréquentée, et notamment par les voitures des voyageurs, Il y avait aussi un château au fond de la viennent du côté de la Sàre, pour aller à ville, appuyé sur les murailles, il est au-Metz. Cette même levée est encore remar— jourd'hui en ruine, et on voit plusieurs quable dans différens endroits tirant sur la maisons bâties dans les anciens fossés. On Sâre, comme auprès du village de Tennetient que ce château fut ruiné par ordre de quin, celui de Hellimer et autres; ainsi la France, et que les Suédois étant entrés que du côté de Metz dans la forêt de Redans le bourg par une vieille tour du chà-milly. teau, achevèrent de le réduire dans un état d'où il ne se relèvera jamais.

Il y a aussi un autre château ou maison seigneuriale, occupée aujourd'hui par le seigneur du lieu.

qui

La maison de Fauquemont descend des cadets de Limbourg, par Henri, fils de Henri IV (2) duc de Limbourg, et marquis d'Arlon, mort en 1221, leur postérité se continua de mâle en mâle jusqu'à Renaud seigneur de Fauquemont et de Mont-Joię, de saint Vite, de Burgenbac et d'autres terres, décédé en 1552.

La paroisse est à deux coups de fusil de la ville du côté de Nancy, et a pour patron saint Vincent: à présent on fait l'office ordinaire dans une chapelle ou église qui Renaud avait épousé Marie de Bauterest dans la ville. sem, dont il laissa trois fils et six filles. Remarquez que sur le ban de Fauque-L'aîné des fils se nommait Valeran tué l'an mont, à 180 verges dudit lieu, il y une 1319, à la défense du château de Fauquefontaine appelée Blaubronen, située au mont, avant la mort de son père. Thierri bord de la Niede allemande, sur une mon-le puiné lui succéda; mais il périt pareilticule d'environ vingt pieds de hauteur,lement dans la guère contre les Liégeois sur laquelle est constrait un moulin à deux tournants, qui ont été laissés à bail par le seigneur du même lieu, moyennant 1000 61 et 63,

(2) Bertholet. Hist de Luxemb., tome 7, P

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