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lement de Paris. M. de Circourt en est sei-chant de Mirecourt; bailliage de cette ville, gneur haut, moyen et bas justicier. La cour souveraine de Nancy. Il en est parlé paroisse a pour patron S. Martin. dans la confirmation de la fondation du prieuré de Deuilly, en 1044 sous le nom de Girandi-curtis. L'église a pour patron saint-Brice. On peut voir le pouillé de Toul, par le R. P. Benoit Picart. Bailliage de Derney; cour souveraine de Lorraine.

Badonvillers, Bodonis-villare, est annexe de Girauvilliers. Ce village situé sur une hauteur, est en partie Champagne et en partie Barrois, à une lieue et demie de Gondrecourt. L'église a pour patron saint Martin.

Le ban de Gironcourt comprend Au

GIRAUVOISIN ou GIRARDVOISIN. -Girauvoisin, ou plus communément doncourt, Dommartin-aux-bois, AugeGérardvoisin, Gerardi-Vicinium, village du diocèse de Toul, à deux lieues et demie de S. Mihiel, une et demie de Commmercy. La paroisse a pour patron S. André et S. Christophe.

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mont, Thiebouzet, Mabomenil, Neymons, la Rue, Usmin, le Void de Girancourt, Barbon-fin, et les Granges de Renonnes et d'Alsimont, avec un moulin sur le finage.

GIRONVILLE.

Gironville, village du diocèse de Toul, répondant à Bouconville, à une lieue de Commercy, qu'il a au couchant. Dans le titre de confirmation de l'abbaye de Bouxières-aux-Dames, de l'an 942 il est dit que Gironville est sur la Meuse, dans le comté de Beden, dont le chef-lieu est Void (1). Il en est encore parlé dans un titre de l'abbaye de St. Mihiel, de l'an 1106 sous le nom de Gyronis-Villa.

Le patron de l'église paroissiale, est saint Barthelemi. Gircourt est près du L'église a pour patron, saint Léger. Il village de Dompaire; l'abbaye de Senones y a environ soixante habitans dans ce lieu. avait autrefois des biens considérables dans Il est de la baronnie de la Marche, office l'un et dans l'autre de ces lieux. Elle pos- de Bouconville, recette et bailliage de sédait Dompaire dès avant l'an 1111, elle Commercy, cour souveraine de Nancy. y avait foire et marché en 1105; et l'em- GIROUEZ. (le ruisseau de)- Le ruispereur Henri V en 1105, confirma la do-seau de Girouez prend sa source au vilnation qu'en avait faite à ce monastère, lage de Cousances-aux-Bois, bailliage de une puissante dame nommée Cunegonde. Bar, passe à celui de Grimaucourt, enL'évêque de Metz Etienne de Bar, en suite au couvent des augustins de Girouez, 1124 confirme le droit de foire et mar- et entre dans une petite rivière qui se jette ché dans le même lieu de Dompaire. dans la Meuse au-dessous de Vadonville, entre Commercy et Sampigny. Ce ruis-` seau est bordé de frênes, de tilleuls et de peupliers.

GIREFONTAINE. Girefontaine, village enclavé dans la Comté, à huit lieues de la Marche, une et demie au nord de Constans-en-Bassigny. Il est de la paroisse) Givricourt, petit de Jasney, village comtois; bailliage de village de la châtellenie d'Albestroff, établi la Marche, présidial de Langres, parle-par le cardinal de Givry évêque de Metz, ment de Paris.

GIRONCOURT. Gironcourt, village du diocèse de Toul. Il est situé sur la Vraine, deux lieues et demie au cou

GIVRICOURT.

mort en 1612 el dont il porte le nom. Ce village est annexe de Munster-Lor

(1) Histoire de Lorraine, t. 1, p. 350. Preuv.

raine, dont il est séparé par un ruisseau, Le prieuré reconnait pour sa première qui vient de Torchéville, et va se jeter fondatrice et bienfaitrice, Cunegonde dame dans la Sarre à Sarralbe. La plus grande de Viviers, qui a fait de fort grands biens récolte de ce lieu se fait en pommes de terre. Givricourt est du diocèse de Metz, bailliage de Vic, parlement de Metz; à dix lieues de cette dernière ville, sept de Sarrebourg et de Vic.

à l'abbaye de Senones; elle vivait du temps d'Etienne de Bar, évêque de Metz, et d'Antoine abbé de Senones; c'est-àdire, dans l'intervalle qui s'écoula depuis l'an 1110 qui est la première année d'Etienne de Bar, jusqu'en 1156 qui est Glonville, la dernière de l'abbé Antoine.

Le dernier prieur régulier de Mervaville,

GLONVILLE, Flin, Vatiménil et le prieuré de Mervaville. nommé en latin Tillonisvilla, ou Dilonisvilla, dans le titre de l'abbaye de Moyen- fut dom Claude Jaquinot, qui l'a posmoutier, village du diocèse de Toul, sédé en règle jusqu'à sa mort, arrivée à situé assez près de la Meurthe, un peu Nancy en 1753. On a obtenu de son conau-dessus de Deneuvre et de Baccarat (1). sentement en cour de Rome, en 1751 L'église paroissiale est dédiée sous l'in- la suppression du titre de prieuré de Mervocation de saint Maurice et de saint vaville, et son union au prieuré de Breuil, George. Seigneurs, le roi et M. d'Anglure, proche Commercy. de Magnière. Bailliage de Lunéville, cour souveraine de Nancy.

On croit que le nom de Mervaville, vient de Mirabilium-villa, à cause des fréAnnexe, Flin ou Flun, ci-devant chef quens miracles que Dieu y opérait par d'un doyenné qui est aujourd'hui trans-l'intercession de la sainte Vierge, à laféré à Deneuvre. Patron, saint Martin. L'ermitage de la Magdeleine, ou l'hôpital avait autrefois deux cents francs de

rente.

Vatiménil, autre annexe de Glonville, en latin Valteri manila. Patron saint JeanBaptiste, seigneur l'évêque de Metz. Parlement de Metz.

Dans la banlieue de Glonville, se voit le prieuré de Mervaville, dépendant de l'abbaye de Senones, fondé vers l'an 1224, puisqu'en cette année, Eudes de Sorcy évêque de Toul, témoigne que ce prieuré avait été commencé du temps de ses prédécesseurs, et n'était pas encore achevé (2). Il exhorte les fidèles à le mettre en sa perfection, et veut que l'abbaye de Sesur le fond de laquelle il est construit, en jouisse avec les mêmes franchises dont elle jouit dans les autres prieurés situés dans le diocèse de Toul.

nones,

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quelle le prieuré est dédié : l'église en était fort belle et bien voûtée; mais la nef tomba de pure caducité, le 26 janvier 1758, il ne reste que le chœur et la croisée qui sont d'un fort bon goût.

Il y avait autrefois un village autour du prieuré; mais il n'en reste aujourd'hui que les ruines, et les maisons des fermiers du prieuré.

Le duc Thiébaut II dans son testament de l'an 1312 donne au prieuré de Notre-Dame de Mervaville, dix sols de petits tournois.

Le village de Mervaville subsistait encore en 1614 et 1615 comme il parait par les enquêtes et procédures faites en ces années par les députés du duc Henri II et du seigneur évêque de Metz. Ce village fut ruiné apparemment pendant les deux siéges du château de Moyen qui en est proche, en 1654 et 1659.

GODONCOURT. Voyez MONTU

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répondant au bailliage de Pont-à-Mousson, | Champagne donne en accroissement de ficf diocèse de Metz, souveraineté de Lorraine, au comte de Bar, la seigneurie de Gonenclavé dans le pays messin. Ne serait-ce drecourt, tenue auparavant par Jean de pas Goddinga-villa, palais royal dénommé Gondrecourt. dans un titre de Charlemagne, de l'an xi et v de son règne. Voyez diplomatique, 1. 4, p. 285. Goin est accompagné d'un fief nommé la Horgne; l'église de Goin est du patronage de l'abbaye Saint-Martin devant Metz; cette abbaye ne subsiste plus; les biens en ont été donnés à la primatiale de Nancy.

La maison de Goin portait d'azur à la croix d'argent, cantonnée de quatre fleurs de lys d'or

GONDRECOURT-LE-CHATEAU. Prieuré au méme lieu, et prieuré de sainte Salaberge.

En 1238 (1), le comte de Vaudémont promet de mettre hors de ses mains GoBdrecourt, sans le consentement du comte de Bar.

Cette ville fut cédée avec toutes ses dépendances, à Edouard Ier du nom comte de Bar, par le roi Philippe-le-Bel, au mois d'avril 1507, et cela à la recommandation d'Edouard, roi d'Angleterre (2) D'autres disent que Gondrecourt fut réuni au domaine de Champagne au temps du mariage de Jeanne avec Philippe-le-Bel, lequel donna l'an 1304, pour récomGondrecourt est une petite pense à Thiébaut de Bar, évêque de Liéville de Lorraine, ayant titre de doyenné ge, la terre de Gondrecourt, qui devait ecclésiastique, du diocèse de Toul. Ce passer après la mort de ce prélat, aux doyenné a dans son étendue vingt-cinq comtes de Bar; il la lui donna sous l'ocures, dix annexes, une abbaye, deux bligation d'en faire hommage au roi de prieurés, une maison religieuse, sept cha-France, à cause de son comté de Champelles, deux hôpitaux ou léproseries et pagne (3). cinq hermitages.

Pour le civil, Gondrecourt à titre de prévôté sous le bailliage de la Marche ; et cette prévôté comprend environ 32 villages ou hameaux. On lui donne le nom de Gondrecourt-le-Chateau, pour le distinguer des forges de Gondrecourt et de Gondrecourt en Voivre.

Le comte de Bar jouissait de Gondrecourt aussi bien que de la Mothe, lorsqu'il l'engagea en 1304, à Ferri IV duc de Lorraine avec la Mothe.

Gondrecourt-le-Château avait reçu des ducs de Bar, entr'autres priviléges, celui de recevoir de ces ducs la justice sur les lieux. Il y a eu un bailliage sédentaire, jusqu'en 1711, et avant le changement de 1751, il y avait encore une prévôté royale, dont l'étendue était considérable; sa dépendance est à présent au bailliage de la Marche qui en est très-éloigné.

Gondrecourt est situé sur la rivière d'Ornain aux confins de la Champagne, à cinq lieues de Ligni, de Neuf-Château et de Joinville, trois de Vaucouleurs, à huit lieues de St.-Mihiel au midi et à sept de Bar-le-Duc au levant d'hiver. Elle a été autrefois possédée par des seigneurs partite culiers.

Quelques-uns croyent que Gondrecourt a pris son nom de Gondoïn, père de Bodon Leudin évêque de Toul et de Ste. Salaberge; Gondoïn était, dit-on, seignenr de Meuse et de Gondrecourt.

En 1219 (1), Gondrecourt était à une dame de Rinel, et en 1272, le comte de

(1) Histoire de Lorraine, tome 2 › P. 1109.

Notes.

On distingue Gondrecourt en ville hauet en ville basse. Dans la première sont les ruines du château et de la chapelle castrale de S. Blaise ; l'auditoire et les prisons sont auprès de là. Au dehors de la ville il y a une chapelle de malades, ou une léproserie. Je trouve au 27 février 1511, une confirmation des priviléges des habitans de (1) Peut-être en 1288.

(2) Benoît histoire de Toul, p. 87.
(3) Longuerue, description de la France l. 2,

P. 183.

Gondrecourt, mais aucune spécification de ces priviléges.

En 1307, le roi Philippe-le-Bel, à la prière d'Edouard roi d'Angleterre, donne à Edouard comte de Bar, neveu dudit roi d'Angleterre, le château de Gondrecourt avec toutes ses dépendances, pour le tenir par ledit comte de Bar et ses successeurs en hommage-lige.

En 1368 (1), la chronique de Metz dit que Gondrecourt fut pris par les Messins. Colart Desarmoises y commandait avec ses gentilshommes. Colart Desarmoises eut la | tête tranchée à Metz et treize gentilshommes furent pendus.

et hommages de la duchesse de Lorraine pour la même seigneurie.

Ensuite Saladin d'Anglure se pourvut au parlement et obtint en 1491, un arrêt pour être remis en possession des terres et seigneuries de Gondrecourt et de Lifou-leGrand (1). Le duc René II y forma opposition, Saladin consentit de faire examiner l'affaire par des commissaires, qui firent un accommodement, au moyen duquel René fut maintenu dans la jouissance de Gondrecourt; René ratifia cet accord en 1497, et l'année suivante il reprit cette terre du roi Louis XII (2).

En 1574, le duc Antoine assigna pour En 1456 (2), pendant la détention du douaire à la princesse René de Bourduc René I entre les mains du duc Philippe bon son épouse, 7,000 livres tournois de de Bourgogne, on mit en dépôt entre les rente, et pour assurance lui donna les châmains de Philippe, Gondrecourt et quel-teaux d'Einville-au-Jar et de Gondrecourt ques autres terres, pour obtenir un répit en avec tous leurs meubles. faveur de René,

Le 10 septembre 1467 (5), ceux de Metz s'étant jetés dans le Barrois, y brûlèrent Gondrecourt et plusieurs autres bourgs et villages. René II, duc de Lorraine et de Bar, s'en plaignit vivement, et demanda à ceux de Metz, cent mille écus de dédommagement. On tint une assemblée à Anci sur Moselle pour terminer ces différens ; mais on n'y conclut rien, sinon qu'on se pourvoirait devant le roi de France, son parlement et les évêques de Metz, de Toul et de Verdun, etc.

En 1559, au mois d'avril, fut passé le fameux traité de Rumilli, entre le roi François Ier et Antoine duc de Lorraine, par lenait que la terre et châtellenie de Gondrequel le roi entre autres prétentions, soutecourt relevait de sa couronne, et que le duc de Lorraine lui en devait faire hommage; se plaignant par la bouche de son procu→ reur général, que ledit duc faisait relever St.-Mihiel, les appels des jugemens rendus par-devant ses juges des grands jours de à Gondrecourt, au préjudice du ressort de Chaumont.

Le bon duc Antoine étant venu trouver Le roi Louis XII en 1475 (4), ayant le roi François Ier à Rumilli, reconnut donné à magnifique et noble seigneur Sala- qu'il était son homme-lige pour les terres din d'Anglure, seigneur d'Estoges, la sei- du duché de Bar, qui sont situées au cougneurie de Gondrecourt, pour sa vie seu- chant de la Meuse vers le royaume de lement, avec la terre de Lifou-le Grand; le France, et que si ses officiers avaient fait duc René II, à qui Gondrecourt apparte- quelque entreprise au préjudice des droits nait, comme comte de Vaudémont, n'ayant du roi, il les désavouait. Mais à l'égard de pas admis cette donation, Saladin y re-la ville de Gondrecourt, il ne reconnut nonça volontairement; après quoi le roi point qu'elle fut dans le royaume, ni assise Louis XII adressa en 1482, une commis-dans le ressort de Chaumont, ni qu'elle sion au bailli de Vitri, pour recevoir les foi eut jamais subi sa juridiction. Il est même

(1) Hist. de Lorr. t. 2, p. cxxx.

Hist. de Lorr. t. 3, p. cxxx.

(3) Ibid. p. 948.

(4) Ibid. t. 2, p. 1109 et t. 3, p. cclxxviii.

X,

(1) Séguier, v. 81, p. 39.

(2) Titr. de Lorr. à la Ste. chapelle de Paris, Gondrecourt.

remarquable qu'il n'en est plus parlé dans j abandonné ; et après y avoir reposé quales reprises du duc Antoine. Au reste le traité tre heures, elles s'avancèrent vers le Neufde Rumilli n'a pas eu d'exécution, comme château. La terre de Gondrecourt était n'ayant pas été libre. possédée en 1656, par le maréchal de

Quelques années après en 1552, le l'Hôpital. prince Nicolas de Lorraine, comte de Le prieuré de Gondrecourt dépendant Vaudémont, régent de Lorraine, ayant de l'abbaye de saint Evre, fut fondé apfait remontrer au roi Henri II, que les vil-paremment dans le onzième siècle, puisles de Bar-le-duc, Gondrecourt, Châtil-que Pibon évêque de Toul, qui a goulon, la Marche et Conflans étaient tenues verné cette église depuis 1070 jusques en en fief libre du royaume de France, non 1107, lui donna quelques biens, et que sujettes à aucun service, sans que les édits Ricuin évêque de la même église en 1112, et ordonnances des rois y aient jamais eu confirme ce que Gautier de Gondrecourt et lieu ni cours, ni que les habitans desdites ses prédécesseurs avaient donné à ce prieuvilles ayent été tenus d'aucune imposition, ré. Mais on ignore le nom de son fondateur, à autre qu'au duc de Lorraine et de Bar: si ce n'est ce Gautier de Gondrecourt dont Sa Majesté ordonna que toutes instances et on vient de parler. poursuites commencées à cet égard, de- Les pères récollets se sont établis sur le ́meurassent en surséance pendant la mino- penchant de la montagne de Gondrecourt rité du duc Charles III, son gendre pré-en un lieu assez încommode (1). tendu. Et en 1553, le même roi déclara le duché de Bar, exempt du ban et arrière ban, et autres impositions mises en France.

Plusieurs années après, c'est - à - dire en 1671 le 25 janvier, intervint un traité entre le roi Charles IX, et le duc de Lorraine Charles III, touchant la mouvance de Châtillon, la Marche, Gondrecourt, etc. (1)

Prieuré de Réchicourt ou de sainte
Salaberge (2).

A quelque distance de Gondrecourt on voit le prieuré de sainte Salaberge ou de Réchicourt, dépendant du monastère de St. Jean de Laon, fondé et bâti par sainte Salaberge, fille du seigneur Gondoin, dont nous avons parlé ci-devant. On pourrait croire que ce prieuré près de Gondrecourt, est situé au lieu où sainte Salaberge avait d'abord projeté de bâtir une abbaye, qu'elle jugea ensuite plus à propos de transférer à Laon pour éviter

Et en 1559, le même duc Charles III par son testament, donne au prince François comte de Vaudémont son fils, la terre et seigneurie de Gondrecourt, avec quantité d'autres terres. En 1632, le même comte François de Vaudémont, par les inconvéniens auxquels elle aurait été son testament, donna au prince NicolasFrançois son fils, évêque de Toul et cardinal, frère du duc Gharles IV, le château, ville, terre et seigneurie de Gondrecourt (2).

Le château de Gondrecourt a été ruiné en 1633, de même que les autres châteaux du pays, par ordre de la France. En 1641 les troupes du roi s'étant présentées devant Gondrecourt, trouvèrent le château

Séguier, v. 81, t. 2, p. 1185 et 1159.
Hist. de Lorr., t. 3, p. 195.

exposée entre les deux royaumes de Bourgogne et de Lorraine ou d'Austrasie; mais le prieuré de Réchicourt est à une plus grande distance de Luxeu, que ne l'était l'abbaye que voulait fonder sainte Salaberge, c'est-à-dire 40 milles de Langres, car de Gondrecourt à Luxeu la distance est beaucoup plus grande.

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