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CXVI, A M. Dirois. Sur l'affaire portée à la Pénitencerie; sur un projet de défense de la Déclaration du Clergé; et sur les lettres du cardinal Ubaldini, opposées aux sentimens de Bellarmin.

Page 303 CXVII. A dom Mabillon. Sur l'affaire de Molinos, l'ordination des Anglais, et le rétablissement de la coupe en Angleterre et en Allemagne.

306 CXVIII. De dom Mabillon. Sur le rétablissement de la coupe, et quelques faits historiques.

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CXIX. A un de ses Diocésains, réfugié en Hollande. Il l'exhorte à revenir à l'Eglise.

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DÉCLARATION donnée à M. de Bordes, sur plusieurs points relatifs à son changement de croyance.

CXX. De milord Perth. Sur sa conversion.

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CXXI. Du même. Sur les suites de sa conversion, et le mérite des Ecrits de M. l'Evêque de Meaux. 318 CXXII. Du même. Sur les fruits qu'il a retirés des ouvrages de M. de Meaux; sa fermeté dans la foi, et les mauvaises couleurs. qu'on vouloit donner à sa conversion. 319 CXXIII. Du même à Bossuet. Il lui témoigne l'estime qu'il faisoit de son mérite, sa reconnoissance, et la sincérité de sa conversion. 329 CXXIV. De Bossuet à milord Perth. Il relève les circonstances admirables de sa conversion, lui marque combien il est touché de l'aveuglement de l'Angleterre, et le désir qu'il a d'y voir reflearir la foi. 324 CXXV. De milord Perth. Grands sentimens de ce néophyte; espérance qu'il a de la conversion des Anglais; son respect pour les Pères de l'Eglise, le Clergé de France, et Bossuet. 327 CXXVI. ▲ un Juif retiré en Angleterre. Il le sollicite de rentrer dans le sein de l'Eglise, qu'il avoit quittée après sa conversion,

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CXXVII. A un Réfugié. Il lui montre le tort qu'il a de regarder comme une raison légitime de son changement, la persécution qu'il prétend que l'Eglise fait souffrir aux Protestans; répond à ses difficultés sur l'Eucharistie, et lui prouve le besoin que les chrétiens ont d'une autorité vivante et parlante qui termine leurs contestations. CXXVIII. A M. Hermant, docteur de Sorbonne. Sur quelques re¬

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cherches d'érudition que ce docteur avoit faites pour le prélat. 338

CXXIX. A dom Ruinart, Bénédictin. Il le prie de faire des recherches sur une leçon de saint Ambroise.

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CXXX. Réponse de dom Ruinart. CXXXI. De milord Perth. Sur l'état des affaires de la religion dans les trois royaumes, et particulièrement en Ecosse. CXXXII. A M. de Rance. Sur la promotion de M. le Camus, évêque de Grenoble, au cardinalat.

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CXXXIII. A M. l'abbé Nicaise. Il lui parle de quelques auteurs et de différens ouvrages. 354

CXXXIV. De milord Perth. Sur son fils qui venoit en France. 355 CXXXV. Du même. Il rend au prélat de grandes actions de grâces, pour la réception qu'il a faite à son fils. Il lui marque combien il est difficile de lui procurer des mémoires authentiques sur l'origine et les progrès de l'hérésie en Angleterre. 356 CXXXVI. Du même. Sur la manière dont le livre de l'Exposition lui est parvenu, sur l'état des catholiques d'Ecosse, et les moyens d'étendre la foi.

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360 CXXXVII. A M. l'évêque de Saintes. Il répond à différentes questions sur les Protestans qui ne reviennent pas sincèrement à l'Eglise. 367 CXXXVIII. A M. de Rancé. Sur le chantre de l'église de Meaux, qui vouloit se retirer à la Trappe. CXXXIX. A un disciple du P. Malebranche. Sur les funestes conséquences du livre de la Nature et de la Gráce. CXL. De milord Perth. Sur l'opposition de certains religieux à l'exécution du projet d'établir un évêque en Ecosse. 381 CXLI. A M. de Rancé. Sur le Commentaire du P. Mege, contraire à plusieurs des sentimens de cet abbé. CXLII. Au même. Il l'instruit de la publication du Commentaire du P. Mege, et de ce qu'il convenoit de faire dans cette circon

stance.

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387 CXLIII. Au même. Il lui témoigne qu'il trouve à propos que le Commentaire de cet abbé sur la Règle de saint Benott, paroisse avec les approbations ordinaires, plutôt qu'avec la sienne. 388 AVERTISSEMENT sur les Pièces suivantes. 390 PROPOSITION: Qu'on peut dire que la satisfaction que Jésus-Christ fait par ses souffrances, à la justice divine, supplée à la satisfaction que les damnés lui font pour leurs péchés. 391 OBSERVATIONS de M. l'Evêque de Meaux sur cette Proposition. Ibid. RÉPONSE de l'auteur de la Proposition. (D. Lami, Bénédictin). 393

CXLIV. De Bossuet à dom Lami. Sur sa Démonstration de la Proposition susdite.

CXLV. Au même. Sur le même sujet.

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CXLVI. De dom Lami. Sur le même sujet, et sur une Refutation

de Spinosa.

CXLVII A dom Lami. Sur le même sujet.

Ibid.

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CXLVIII. De dom Lami. Il envoie à Bossuet de nouveaux éclaircissemens sur sa Démonstration. SENTIMENT DE M. L'EVÊQUE DE MEAUX sur la Démonstration au sujet de la satisfaction de Jésus-Christ, avec les REMARQUES de dom Lami.

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LETTRES de diverses personnes sur le même sujet.

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CXLIX. A M. Lefevre d'Ormesson. Sur la source du mérite des bonnes œuvres, et la manière dont la charité opère. CL. A dom Mabillon. Il lui demande des éclaircissemens sur l'étendue de la persécution dans l'Occident. 446 CLI. A M. de Rancé. Sur le retard de la publication du Commentaire de cet abbé, et l'armement du prince d'Orange. 448 CLII. A dom Mabillon. Sur une lettre du cardinal Colloredo, et les menaces qu'on faisoit contre l'Eglise catholique et contre la France.

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CLIII. A M. l'abbé Renaudot. Il lui témoigne le désir de le voir admis dans l'Académie française.

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CLIV. De M. l'abbé Renaudot. Sur la lettre suivante. CLV. De milord Perth. Ses dispositions au milieu des souffrances que sa fidélité pour son Roi lui attiroit.

Ibid.

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CLVI. A milord Perth. Bossuet le félicite du bonheur qu'il a de souffrir pour la foi et pour son prince, lui témoigne le désir qu'il a de travailler au salut de l'Angleterre.

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CLVII. A M. de Rancé. Sur son Commentaire de la Règle de saint

Benoit.

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CLVIII. Au même. Sur les égaremens du ministre Jurieu, l'exemp tion de Jouarre, et un nouveau Commentaire de la Règle de saint Benott, par un Bénédictin. CLIX. A dom de Montfaucon, Bénédictin. Sur son livre concernant l'Histoire de Judith.

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462 CLX. A M. Santeul, chanoine régulier de Saint-Victor. Il loue la pièce de vers que ce poète avoit composée pour s'excuser des reproches qui lui avoient été faits, lui parle de ses hymnes de saint Bruno, et d'un poème fait contre sa Pomone.

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CLXI. A M. de Rance. Sur la défense que cet abbé avoit faite aux

religieuses des Clairets, de lire l'ancien Testament. Page 465 CLXII. A M. Santeul. Sur le présent que ce poète lui avoit fait d'une de ses pièces, et sur la manière dont on peut se servir de la fable.

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467 CLXIII. Au même. Sur une de ses pièces, et sur un sermon prêché à Saint-Victor. CLXÍV. A M. l'abbé Renaudot. Sur l'arrivée de milord Perth. 469 CLXV. Au P. Mauduit, prêtre de l'Oratoire. Sur deux Psaumes en vers, que ce Père lui avoit envoyés; sur les Interprètes protestans, et les sources où le prélat avoit puisé pour composer ses notes sur les Psaumes.

470 CLXVI. A M. de Rancé. Sur les dispositions du Roi pour la Trappe, et le triste état des affaires. 471 CLXVII. A M. Nicole. Sur les maux causés à la religion en France par les Protestans, et sur Richard Simon. 472 CLXVIII. Au maréchal de Bellefonds. Sur la mort de son fils. 474 CLXIX. A M. le cure de Doué. Si les ecclésiastiques doivent être nommés avant les seigneurs, au catalogue des morts. CLXX. A mademoiselle Dupré. Sur la mort de M. Pelisson. CLXXI. A mademoiselle de Scudery. Sur le même sujet. AUTRE LETTRE sur le même sujet.

475 Ibid.

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CLXXII. A M. Nicole. Il lui témoigne qu'il préfère les notes courtes dans les explications de l'Ecriture sainte; et fait mention de quelques fautes qui s'étoient glissées dans ses notes sur Salomon.

483 CLXXIII. A milord Perth. Sur la liberté qui lui étoit accordée de sortir d'Angleterre, et les grâces que Dieu lui avoit faites dans sa prison.

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CLXXIV. A ***. Il dépeint au naturel le livre de Simon, et le caractère de cet écrivain. CLXXV. De M. de la Broue, évêque de Mirepoix. S des éclaircissemens que demandoit Bossuet, touchant les Albigeois ; erreurs de M. Dupin, et sur M. de Saint-Pons. CLXXVI. De Leibniz. Sur l'essence des corps.

sur les

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RÉFLEXIONS du même sur l'avancement de la métaphysique réelle, et particulièrement sur la nature de la substance expliquée par la force. 490

RÉPONSE du même aux objections contre l'explication de la nature du corps, par la notion de la force..

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CLXXVII. A Leibniz. Jugement que Bossuet porte de ses écrits

sur l'essence du corps.

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CLXXVIII. De Leibniz. Sur la réponse de Bossuet.
CLXXIX. Du même. Sur les avantages de la dynamique, et les di-

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vers jugemens qu'on portoit de son systême. CLXXX. A M. de Rancé. Vœux qu'il forme pour l'abbaye de la 507 Trappe. CLXXXI. Au P. Caffaro, Théatin. Il se plaint d'une lettre en forme de Dissertation, sur la comédie, publiée sous le nom de ce Père.

508 CLXXXII. Du P. Gaffaro. Il s'excuse sur la publication de la lettre 529 qui portoit son nom, et promet de se rétracter.

MAXIMES ET RÉFLEXIONS SUR LA COMÉDIE.

I. Occasion et dessein de ce traité : nouvelle Dissertation en faveur de la comédie.

II. A quoi il faut réduire cette question.

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III. Si la comédie d'aujourd'hui est aussi honnête que le prétend l'auteur de la Dissertation.

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IV. S'il est vrai que la représentation des passions agréables ne les

excite que par

accident.

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V. Si la comédie d'aujourd'hui purifie l'amour sensuel en le faisant aboutir au mariage.

VI. Ce que c'est que les mariages du théâtre.

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VII. Paroles de l'auteur, et l'avantage qu'il tire des confessions. 549 VIII. Crimes publics et cachés dans la comédie. Dispositions dangereuses et imperceptibles : la concupiscence répandue dans

tous les sens.

éviter.

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IX. Qu'il faut craindre en assistant aux comédies, non-seulement le mal qu'on y fait, mais encore le scandale qu'on y donne. 557 X. Différence des périls qu'on cherche et de ceux qu'on ne peut 558 XI. Si on a raison d'alléguer les lois en faveur de la comédie. 559 561 XII. De l'autorité des Pères. XIII. Si l'on peut excuser les laïques qui assistent à la comédie, sous le prétexte des canons qui la défendent spécialement aux ecclésiastiques. Canon mémorable du concile u de Tours. XIV. Réponse à l'objection, qu'il faut trouver du relâchement à l'esprit humain : que celui qu'on lui veut donner par la représentation des passions est réprouvé même par les philosophes: beaux principes de Platon.

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