Je ne voulois alors expliquer qu'un seul mouvement ; et , dans tout cet ouvrage , une de mes plus grandes attentions a été de démêler extrêmement les idées, pour ne pas embarrasser l'esprit des ignorants , qui étaient mes véritables marquises.... Histoire des ouvrages des sçavans - Page 418de Henri Basnage (sieur de Beauval) - 1699Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1790 - 482 pages
...que ce qu'on y met. Je ne voulois alors expliquer qu'un seul mouvement ; et dans tout cet çuvrage , une de mes plus grandes attentions a été de démêler extrêmement les idées pour ne pas embarrasser l'esprit des ignorans, qui étoient mes véritables marquises. Il est vrai qu'un peu auparavant... | |
| Bernard Le Bouyer de Fontenelle - 1820 - 424 pages
...comme dans un marché , que ce qu'on y met. Je ne voulois alors expliquer qu'un seul mouvement ; et , dans tout cet ouvrage , une de mes plus grandes attentions...de démêler extrêmement les idées, pour ne pas embarrasser l'esprit des ignorants , qui étaient mes véritables marquises. Il est vrai qu'un peu... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1825 - 472 pages
..., comme dans un marché, que ce qu'on y met. Je ne voulais alors expliquer qu'un seul mouvement; et dans tout cet ouvrage, une de mes plus grandes attentions...été de démêler extrêmement les idées pour ne pas embarrasser l'esprit des ignorans, qui étaient mes véritables marquises. 11 est vrai qu'un peu auparavant... | |
| Bernard Le Bouyer de Fontenelle - 1826 - 428 pages
...comme dans un marché , que ce qu'on y met. Je ne voulois alors expliquer qu'un seul mouvement ; et , dans tout cet ouvrage , une de mes plus grandes attentions...de démêler extrêmement les idées, pour ne pas embarrasser l'esprit des ignorants , qui étoient mes véritables marquises. Il est vrai qu'un peu... | |
| Bernard Le Bouyer de Fontenelle - 1829 - 482 pages
...comme dans un marché, que ce qu'on y met. Je ne voulais alors explif quer qu'un seul mouvement; et dans tout cet ouvrage, une de mes plus grandes attentions...été de démêler extrêmement les idées pour ne pas embarrasser l'esprit designorans, qui étaient mes véritables marquises. Il est vrai qu'un peu auparavant... | |
| Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - 1846 - 778 pages
...comme dans un marché, que ce qu'on y met. Je ne voulais alors expliquer qu'un seul mouvement; et, dans tout cet ouvrage , une de mes plus grandes attentions...de démêler extrêmement les idées, pour ne pas embarrasser l'esprit des ignorants, qui étaient mes véritables marquises4. » Je termine ici ces... | |
| Pierre Flourens - 1847 - 262 pages
...Leibnitz. » dans un marché, que ce qu'on y met. Je » nevoulaisalorsexpliquerqu'unseulmou» vement; et, dans tout cet ouvrage, une de » mes plus grandes attentions a été de démê» 1er extrêmement les idées, pour ne pas » embarrasser l'esprit dos ignorants, qui » étaient... | |
| Pierre Flourens - 1856 - 446 pages
...dans « un marché, que ce qu'on y met. Je ne voulais « alors expliquer qu'un seul mouvement; et, dans « tout cet ouvrage, une de mes plus grandes...démêler extrêmement les « idées , pour ne pas embarrasser l'esprit des « ignorants , qui étaient mes véritables mart( quises2. » La vie de Fontenelle... | |
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