Causeries du lundi, Volume 4Garnier Fréres, 1853 |
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... ment . Une absence peut - être éternelle m'affligerait cruellement et me rendrait fort malheureuse . Je n'ai point assez de vanité pour douter que les femmes des grandes villes ne m'eussent dans peu d'instants chassée de votre cœur ...
... ment . Une absence peut - être éternelle m'affligerait cruellement et me rendrait fort malheureuse . Je n'ai point assez de vanité pour douter que les femmes des grandes villes ne m'eussent dans peu d'instants chassée de votre cœur ...
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... ment de bonheur et de paix qui règne au fond de la mienne ! que ne puis - je vous apprendre à jouir tranquillement du plus délicieux état de la vie ! Les charmes de l'union des cœurs s'y joignent pour nous à ceux de l'innocence . Nulle ...
... ment de bonheur et de paix qui règne au fond de la mienne ! que ne puis - je vous apprendre à jouir tranquillement du plus délicieux état de la vie ! Les charmes de l'union des cœurs s'y joignent pour nous à ceux de l'innocence . Nulle ...
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... ment d'ivresse et de délices . De ces neuf mois de Hollande , en y resongeant , il n'aurait voulu retrancher que huit jours perdus à Rotterdam loin de son amie , huit jours donnés à je ne sais quel congrès scientifique , à des savants ...
... ment d'ivresse et de délices . De ces neuf mois de Hollande , en y resongeant , il n'aurait voulu retrancher que huit jours perdus à Rotterdam loin de son amie , huit jours donnés à je ne sais quel congrès scientifique , à des savants ...
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... ment sauvage et timide , ayant gardé de ses ancêtres le don du commandement , et y joignant ce terrible don de la fami- liarité , qui lui faisait manier et retourner grands et petits à sa guise , il aspirait par instinct à la vie ...
... ment sauvage et timide , ayant gardé de ses ancêtres le don du commandement , et y joignant ce terrible don de la fami- liarité , qui lui faisait manier et retourner grands et petits à sa guise , il aspirait par instinct à la vie ...
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... ment : mais , dans les passages que je viens de citer , il montre qu'il n'était pas dénué de cette autre imagination plus légère , et qui se sent de la poésie . J'ai parlé des accents pathétiques par lesquels il tâche d'é- mouvoir son ...
... ment : mais , dans les passages que je viens de citer , il montre qu'il n'était pas dénué de cette autre imagination plus légère , et qui se sent de la poésie . J'ai parlé des accents pathétiques par lesquels il tâche d'é- mouvoir son ...
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