enq aroub on sibolic assowup ESTET DE JEAN RACINE zovigno conto's sparis, 5 septembre 1660. Tebnoar ailgysoin us erumo appel (gaus trend V L'ODE est faite et je l'ai donnée à M. Vitart pour la faire voir à M. Chapelain 2. S'il n'étoit point si tard, j'en ferois une autre co cople pour vous; mais il est dix heures du soir, et d'ailleurs je crains furieusement le chagrin où vous met votre maladie, , et qui vous rendroit peut-être assez difficile pour ne rien trouver de bon, dans mon ode. Cela m'embarrasseroit, et l'autorité que vous avez sur moi pourroit produire en cette rencontre un aussi mauvais effet qu'elle en produit de bons en toutes les autres. Néanmoins, comme il y a espé smolis i091076 20GOY CONTROL 2015 I 29 M. Le Vasseur, si intime ami alors de mon père, et environ du même âge, étoit parent de M. Vitarts sh 2 dry? Cette ode étoit la Nimphe de la Seine, M. Vitart, son oncle, la porta à Chapelain. rance que cette maladie ne durera pas, je vous enverrai demain une copie. Je crains encore que vos que! notes ne viennent tard. Quoi qu'il en soit, je vais vous écrire par avance une stance et demie. Ce n'est pas que je les croie les plus belles; mais c'est qu'elles sont sur l'entrée de la reine: Qu'il vous faisoit beau voir en ce superbe jour, * Tout l'or dohit se Vanite le Tage, Tout ce que l'inde sur ses bords OV Vit jamais b jamais briller de trésors or sembloit être sur mon rivage. Qu'etoit-ce toutefois de ce grand appareil, Dès qu'on jetoit les yeux sur en lyde l'éclat nomparelle isi Dont vos seules beautés vous avoient entouréë? 1 shade TOYS 210Y SUp ativos 19. Je sais bien que Junon parut moins belle aux dieux, 30 073109HuR 91100 parim org tiorog Tobi e Et moins digné adorée 49 anca s born, the up les cieux Lorsqu'en nouvelle reine elle entra dans Il odimos, entomo legatum asi endn il Quoique Racine paroisse si content de ces vers, He conserva pás Tes premiers. Oh critiqa apparemment les discords, mot qui lui plaisoit, et par lequel il vouloit miter Malherbe. La stance suivante est telle qu'elle subsiste aujourd'hui. micfaged & BITOG Peut-être trouverez-vous d'autres strophes qui ne vous paroîtront pas moins belles. Je ne sais si vous avez connoissance de quelques lettres qui font un grand bruit. Elles sont de M. le cardinal de Retz. Je les ai vues, mais en des mains dont je ne pouvois les tirer. On craint à Paris quelque chose de plus fort, comme un interdit: Gela passe ma portée. Adieushib reclina ons ist mit al Je vous envoie mon sonnet, c'est-à-dire un nouveau sonnet; car je l'ai tellement changé hier au 1 Racine fit en même temps le sonnet qu'il appelle dans la lettre suivante son triste sonnet, à cause des réprimandes qui lui vinrent de Port-Royal lorsqu'on y apprit qu'il faisoit des vers. Le voici Sonnet sur la naissance d'un enfant de madame Vitart, tante de Racine, lyk en ongits viest Il est temps que la nuit termine sa Déjà tout l'horizon s'aperçoit de ses feux, Il échauffe déjà dans sa pointe premièreja se on ense soir, que vous le méconnoîtrez : mais je crois que vous ne l'en approuverez pas moins. En effet, ce qui le rend méconnoissable est ce qui vous le doit rendre plus agréable, puisque je ne l'ai si défiguré que pour le rendre plus beau et plus conforme aux règles que vous me prescrivîtes hier, qui sont les règles mêmes du sonnet. Vous trouviez étrange que la fin fut une suite si différente du commencement: cela me choquoit de même que vous; car les poëtes ont cela des hypocrites, qu'ils défendent toujours ce qu'ils font, mais que leur conscience ne les laisse jamais en repos. J'avois bien reconnu ce défaut, quoique je fisse tout mon possible pour rer que ce n'en étoit pas un la force de vos montrer Et toi, fille du Jour, qui nais devant ton père. Ca Belle Aurore, rougis, ou te cute cache à no yeux, Cette nuit, un soleil est descendu des cieux, Dont le nouvel éclat efface ta lumière. Tôi, qui dans ton matin parois déjà si grand, olak auch Le sonnet paroît bien l'ouvrage d'un très jeune homme; mais cette réflexion si juste est remarquable |