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" Plutarque me sourit toujours d'une fraîche nouveauté; l'aimer, c'est m'aimer, car il a été l'instituteur de mon bas âge. Ma bonne mère, à qui je dois tout, et qui avait une affection si grande de veiller à mes bons déportements, et ne vouloir... "
Encyclopédie des sciences religieuses - Page 270
publié par - 1877
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Essai sur Amyot et les traducteurs français au XVIe siècle, précédé d'un ...

Auguste Le Barbier de Blignières - 1851 - 508 pages
...son Plutarque. C'est ainsi que Henri IV écrivait à la reine : Ma bonne mère à laquelle je doibs tout, et qui avait une affection si grande de veiller à mes bons départements, et ne voulait pas (ce disaitelle) voir en son fili un illustre ignorant, me mit ce livre...
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Henri iv écrivain

Eugène Jung, Godefroy Eugéne Yung - 1855 - 368 pages
...m'auriez rien su mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de lectures qui vous a pris. Plutarque me sourit toujours d'une fraîche nouveauté;...c'est m'aimer; car il a été l'instituteur de mon bas-âge. Ma bonne mère, à qui je dois tout, et qui avoit une affection si grande de veiller h mes...
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Henri iv écrivain

Eugène Jung, Godefroy Eugéne Yung - 1855 - 526 pages
...mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de lectures qui vous a pris. Plutarquè me sourit toujours d'une fraîche nouveauté; l'aimer,...c'est m'aimer; car il a été l'instituteur de mon bas-âge. Ma bonne mère, à qui je dois tout, et qui avoit une affection si grande de veiller à mes...
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Causeries du Lundi, Volume 11

Charles Augustin Sainte-Beuve - 1856 - 452 pages
...m'auriez rien su mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de lecture qui vous a pris. Plutarque me sourit toujours d'une fraîche nouveauté...tout, et qui avait une affection si grande de veiller i mes bons déportements, et ne vouloir pas, ce disait-elle, voir en son fils un illustre ignorant,...
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Causeries du lundi, Volume 11

Charles Augustin Sainte-Beuve - 1856 - 458 pages
...su mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de leclure qui vous a pris.Plutarque me sourit toujours d'une fraîche nouveauté; l'aimer...été l'instituteur de mon bas âge. Ma bonne mère, a qui je dois tout, et (|iii avait une affection si grande de veiller à mes bons déportemenls, et...
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Biographie universelle (Michaud) ancienne et moderne ...

Eugène Ernest Desplaces - 1857 - 672 pages
...Marie de Médias : и Plutarque me souryt toujours d'une fraische nouveauté i l'aymer, c'est m'aymer ; car il a été l'instituteur de mon bas âge. Ma bonne mère, & la quelle je dois tant, et quiavoit une aJlection si grande de veiller à mes bons déportemcnts,...
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Tableau de la littérature française au XVIIe siècle: avant Corneille et ...

Jacques Demogeot - 1859 - 522 pages
...m'auriez rien su mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de lectures qui vous a pris. Plutarque me sourit toujours d'une fraîche nouveauté...grande de veiller à mes bons déportements, et ne vouloit pas , ce disait-elle, faire de son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les mains,...
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Tableau de la littérature française au XVIIe siècle: avant Corneille et ...

Jacques Demogeot - 1859 - 524 pages
...lectures qui vous a pris. Plutarque me sourit toujours d'une fraîche nouveauté : l'aimer c'est m'aimers car il a été l'instituteur de mon bas âge. Ma bonne...grande de veiller à mes bons déportements, et ne vouloit pas , ce disait-elle, faire de son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les mains,...
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Le grand dessein de Henri IV: lu dans la séance publique annuelle des cinq ...

Louis Wolowski - 1860 - 144 pages
...que la nouvelle du plaisir de lectures qui vous aprins. Plutarque me sourit toujours d'une fresche nouveauté; l'aimer, c'est m'aimer, car il a été l'instituteur de mon bas aage. Ma bonne mère, à qui je doibs tant, et qui avoit une affection si grande de veiller à mes...
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Séances et travaux de l'Académie des sciences morales et politiques, compte ...

Académie des sciences morales et politiques (France) - 1860 - 506 pages
...que la nouvelle du plaisir de lectures qui vous à prins. Plutarque me sourit toujours d'une fresche nouveauté; l'aimer, c'est m'aimer, car il a été l'instituteur de mon bas aage. Ma bonne mère , à qui je doibs tant , et qui avoit une affection si grande de veiller à mes...
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