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D.

DAMARIS, femme de saint Denys l'Aréopagite, p. 363.

DAMASE, pape. Il fait saint Jérôme son secrétaire, p. 547. Il l'engage à revoir le Nouveau Testament sur le texte grec, p. 554. Saint Jérôme consulte le pape Damase sur le mot hypostase, p. 582 et 583. Lettres de saint Jérôme au pape Damase sur cinq questions, p. 558, 559; sur les séraphins, p. 566; sur l'hosanna, 570; sur la parabole de l'enfant prodigue, p. 571. Mort du pape Damase en 384, P. 547.

DANGER. Maxime de saint Cyprien, p. 563.

DANIEL. Saint Chrysostôme met le commencement des soixante-dix semaines de Daniel à la vingtième année d'Artaxerxès Longue-Main, p. 358.

DANSES. Elles sont les jeux du démon, p. 231. DAPHNÉ, faubourg d'Antioche, où le temple d'Apollon est brûlé par le feu du ciel, p. 91.

DARDANUS, préfet des Gaules. Saint Jérôme lui écrit vers l'an 414, p. 560.

DÉCENTIUS, évêque, consulte le pape Innocent. sur divers points de discipline, p. 518 et suiv. DÉCISION de Théophile d'Alexandrie sur la discipline ecclésiasque, p. 445 et suiv.

DEMETRIADE, vierge. Saint Jérôme lui écrit en 414, p. 642. Pélage lui écrit, p. 542.

DEMETRIUS, évêque de Pessinonte, va à Rome. pour la défense de saint Chrysostôme, p. 127. DEMETRIUS, moine, prie saint Chrysostôme d'écrire sur la componction, p. 23.

DEMETRIUS, évêque d'Alexandrie, condamne Origène, p. 456.

DÉMON. Imagination de croire qu'une mort violente fait devenir un homme démon, p. 54. Ce n'est point le démon qui gouverne le monde, p. 74. Deux catéchèses et trois homélies de saint Chrysostôme sur le Démon, p. 73 et suiv. Au moment de la séparation de l'âme d'avec le corps les démons se présentent à nous avec tout le détail de nos fautes, p. 446. Les démons rugissaient devant les reliques des martyrs, p. 608.

DENYS L'AREOPAGITE (SAINT) était citoyen d'Athènes, p. 363.

DENYS, évêque de Diospolis, baptise les catéchumènes de saint Jérôme, p. 611.

DESESPOIR. Ne jamais désespérer de la miséricorde de Dieu, p. 265.

DIACRE. Fonctions du diacre dans la liturgie, p. 409. Saint Jérôme rabaisse extrêmement les diacres, p. 682. Les diacres lisaient l'Evangile à la messe, p. 699. A Rome, on ordonnait les prêtres sur le témoignage des diacres, ibid. Les diacres s'y tenaient debout pendant que les prêtres étaient assis, ibid. Les diacres assistaient au concile, mais ils s'y

tenaient debout, p. 719. Devoirs et fonctions du diacre, p. 730.

DIANE. La ville d'Ephèse était dédiée à cette déesse, p. 313.

DIAPSALME. Explication de ce mot, p. 563.
DICTINNIUS, évêque d'Espagne, p. 510.

DIDIER, prêtre, prie saint Jérôme de traduire le Pentateuque, p. 551. Il écrit à saint Jérôme, qui lui répond et l'invite à faire un voyage à Jérusalem, p. 619.

DIDYME (L'AVEUGLE). Il est regardé comme l'oracle de son siècle, p. 449. Il compose, à la prière de saint Jérôme, trois livres de commentaires sur Osée, cinq sur Zacharie et trois sur Michée, p. 548. Rufin prend des leçons de Didyme, p. 449.

DIEU. Vanité des anoméens, qui prétendaient avoir une idée parfaite de la divinité, p. 42. La nature de Dieu est inconnue aux Principautés, aux Puissances et aux Dominations, p. 43. Le Fils de Dieu, à l'exclusion de toute créature, connaît la nature du Père, p. 43.

DIFFÉRENDS (LES) survenus entre les ecclésiastiques doivent être jugés par les évêques de la province, sans préjudice de l'Eglise romaine, p. 507.

DIMANCHE. C'était le jour ordinaire des ordinations, p. 528, 534.

DIODORE de Tarse. Saint Chrysostôme fait son éloge à Antioche en 392, p. 140, 141.

DIOGÈNE, homme de qualité. Saint Chrysostôme exilé lui écrit: il le remercie de ses présents, p. 131; il le prie de les envoyer aux missionnaires de Phénicie, ibid.

DIOGENE le philosophe. Il refuse les présents d'Alexandre-le-Grand, p. 20.

DIOPHANTE, prêtre d'Antioche. Saint Chrysostôme lui écrit, p. 133.

DIOSCORE, évêque des Arméniens, p. 345. DIOSCORE, homme de qualité. Il loge saint Chrysostôme à Cucuse, p. 10.

DIOSCORE, solitaire de Nitrie, l'un des grands frères, p. 488. Son histoire, ibid.

DIVORCE. Sentiment de saint Chromace sur le divorce, p. 434. C'est un adultère de se remarier après le divorce, p. 512.

DIZONIEN, sous-diacre, p. 516.

DOCÈTES, hérétiques, combattus par saint Chrysostôme, p. 336.

DOMESTIQUES. Employer tous ses soins pour leur salut, p. 267.

DOMITIEN, prêtre et économe de l'Eglise de Constantinople, p. 136.

DONATION, Il est défendu aux clercs de rien donner par donation ou par testament à ceux qui ne sont pas chrétiens catholiques, lors même qu'ils seraient

leurs parents, p. 721. Il leur est permis de disposer du bien qui leur est venu par donation ou par succession, p. 726.

DONATISTES. Saint Pammaque en réunit quelques-uns, p. 505. Saint Augustin l'en congratule, ibid.

DOROTHÉE, solitaire près d'Alexandrie, p. 484. Il succède à Elie dans le gouvernement d'un monastère de filles de la ville d'Atribie en Egypte, p 449. DROSIS (SAINT), martyr. Saint Chrysostôme fait son éloge, p. 93.

ECCLÉSIASTIQUE. Saint Jérôme cite le livre de l'Ecclésiastique tantôt sous le nom de Salomon et tantôt sous celui de Jésus, fils de Sirach, p. 653. Portrait d'un ecclésiastique mondain, p. 588. Quelles sont les obligations d'un parfait ecclésiastique, p. 604 et suiv. Il est défendu par une loi des empereurs de rien léguer aux ecclésiastiques, p. 604. Divers règlements touchant les ecclésiastiques, p. 706, 720, 725, 730.

ECLIPSE. Celle qui arriva à la mort de JésusChrist n'était pas une éclipse naturelle, p. 29.

ECRITURE SAINTE. Son utilité, p. 102. Il n'y a pas même une lettre d'inutile, p. 195. Ne rien ajouter au sens de l'Ecriture, et n'en rien retrancher, p. 198. Les prophètes ont parlé sous l'inspiration du Saint-Esprit, p. 151. Tous les livres de l'Ecriture sainte ont été composés sous cette inspiration, p. 650. C'est le même Esprit qui, dans l'Ancien Testament, a inspiré les prophètes, et dans le Nouveau les apôtres, p. 480, 481. Différence qu'il y a entre l'autorité des Livres saints et celle des auteurs ecclésiastiques, p. 650. Canon des livres de l'Ancien et du Nouveau Testament, p. 480, 481, 512, 651 et suiv. Style de l'Ecriture, p. 650. Ses différents sens, ibid. Obscurité de l'Ecriture, ibid. L'Esprit Saint ne s'est pas embarrassé du style dans les écrivains. La lecture de l'Ecriture sainte est recominandée aux prêtres, aux moines, aux filles et aux femmes, p. 656. On a besoin d'un maître pour apprendre l'Ecriture sainte, p. 620. Version de l'Ecriture faite sous Ptolémée trois cents ans avant JésusChrist, p. 364. Variétés de leçons de l'Ecriture, p. 353 et 354. Lecture de l'Ecriture sainte, p. 213. Sentiment de saint Chrysostôme sur ce sujet, p. 158, 364 et suiv.; de saint Jérôme, p. 656 et suiv. Livres de l'Ecriture perdus par la négligence ou par l'impiété des Juifs, p. 217. Doctrine de saint Chrysostôme sur l'Ecriture sainte, p. 347 et suiv.

EDESSE, ville de Mésopotamie. Le corps de saint Thomas y était en 402, p. 256.

EGLISE. Sentiment de saint Chrysostôme sur l'Eglise, p. 391 et 392. Sentiment de Rufin, p. 481. Sentiment de saint Jérôme, p. 684. Ce Père semble exclure de l'Eglise les pécheurs, ibid. La puissance de l'Eglise a été supérieure à celle des tyrans, p. 196 et 391. Il n'y a qu'une Eglise dans laquelle il n'y a qu'une foi et qu'un baptême, p. 468 et 682. Rufin soumet tous les sentiments à l'autorité de l'Eglise, p. 481. L'Eglise romaine est la véritable Eglise hors de laquelle il n'y a point de salut, p. 580.

E.

EGLISES, temples. Saint Jérôme condamne les vains ornements des églises, p. 605. S. Chrysostôme engage à bâtir des églises dans les plus petits villages, p. 265. Consécration des églises. Modestie qu'il faut garder dans les églises, p. 195. Les fidèles se lavaient les mains et la bouche, lorsqu'ils venaient à l'église, p. 233. Les femmes y étaient séparées des hommes par une clôture de bois, p. 242. Saint Chrysostôme s'élève contre l'immodestie dans les églises, p. 265, 266, 302, 303.

ELLÉBICHUS, général de cavalerie et d'infanterie en 383. Il va informer de la sédition d'Antioche, p. 65, 69.

ELPIDE, abbé en Cappadoce, p. 484.

ELPIDE, prêtre. Il travaille à la conversion des infidèles du mont Aman, p. 135.

ELPIDE. L'empereur Théodose voulait marier Olympiade avec lui, p. 129.

ELPIDUS OU ELPIDIUS, évêque de Laodicée. Il est dépouillé de son Eglise à cause de saint Chrysostôme, p. 516. Il défend le Saint contre ses ennemis. p. 8.

EMBRASEMENT de la grande église et du palais de Constantinople attribué malicieusement aux amis de saint Chrysostôme, p. 10.

ENERGUMÈNES. Prières pour eux dans la liturgie, p. 410.

ENFANTS. L'éducation des enfants, p. 91; regarde surtout les mères, p. 169. Les former encore plus à la vertu qu'aux sciences, p. 318. Les enfants rendront compte des péchés qu'ils auront commis depuis l'âge de dix ans, p. 430. Salomon et Achaz ont eu des enfants à onze ans, p. 561. Histoire d'une femme devenue grosse par un enfant de dix ans, ibid. ENFER. Eternité des peines de l'enfer, p. 16. ENNEMIS. C'est une sotte fierté que de ne faire aucune démarche pour les gagner, p. 172.

ENOCH. Ne pas examiner trop curieusement ni en quel lieu, ni comment il a été transporté, p. 355. ENTERREMENTS. C'était une tradition ecclésiastique de chanter des hymnes et des psaumes aux enterrements, p. 698.

EPIPHANE (SAINT). Il vient à Jérusalem et loge chez Jean de Jérusalem, p. 497. Il parle contre Origène, p. 498; se brouille avec Jean de Jérusalem, ibid.; ordonne Paulinien prêtre, p. 498; écrit au pape Sirice sur ses difficultés avec Jean de Jérusalem, p. 499. Rufin regarde saint Epiphane comme un homme susceptible de toute sorte de préjugés à cause de sa simplicité, p. 458.

EPIPHANIE. La nuit de l'Epiphanie, les fidèles allaient puiser de l'eau pour la garder toute l'année, p. 80. Saint Chrysostôme l'appelle la première fête de l'année, p. 85.

EPISCOPAT. Difficultés et périls de l'épiscopat, p. 262. Fuir l'épiscopat, quand on est incapable, p. 39. Les travaux de l'épiscopat sont bien au-dessus de ceux de l'état monastique, p. 41. Générosité épiscopale à l'égard des pécheurs incorrigibles, p. 263. Celui qui est honoré du ministère épiscopal a besoin de force et de prudence pour l'exercer, p. 36. Saint Jérôme met l'épiscopat, la prêtrise et le diaconat au nombre des traditions apostoliques, P. 458.

EPITRES CATHOLIQUES. Les Syriens n'en admettaient que trois, p. 203.

ESDRAS. Vigilance cite le quatrième livre d'Esdras, p. 608.

ESPAGNE. Le pape Innocent combat les abus et le schisme d'Espagne, p. 506, 509, 510.

ESPRIT-SAINT. Sa divinité établie contre les macédoniens, p. 86. Péché contre le Saint-Esprit, p. 230. Sans le Saint-Esprit, nous n'aurions ni ordinations ni prêtres, p. 83. Si le Saint-Esprit n'était pas dans l'Eglise, les néophytes ne seraient pas purifiés, p. 85. Le Saint-Esprit est de même nature que le Père et le Fils, p. 661.

ETERNITÉ DES PEINES de l'autre vie. Sentiment de saint Jérôme, p. 685.

ETIENNE de Libye. Sa patience admirable, p. 489.

ETOILE. Celle qui apparut aux mages n'était pas une étoile ordinaire, p. 215, 359. Elle leur apparut longtemps avant la naissance de Jésus-Christ, p. 215.

ETRANGERS. Comment ils étaient reçus dans les monastères, p. 474.

ETRENNES. Saint Chrysostôme prêche contre les étrennes, p. 53.

EUCHARISTIE. Sentiment de saint Chrysostome sur l'Eucharistie, p. 396 et suiv. Sentiment de saint Jérôme, p. 673. Sentiment de l'auteur de la lettre å Césaire, p. 139, 140. Présence réelle établie, p. 44, 81, 82, 187, 196, 232, 247, 248, 299, 314, 396 et suiv. Les objections contre la présence réelle, p. 401 et suivant. Les fidèles recevaient l'Eucharistie dans leurs mains, p. 3, 187 et 405. Ils la baisaient, la faisaient toucher à leurs yeux, p. 415. Ils devaient être à jeun, et l'on regardait comme un crime de communier après avoir mangé, p. 415. On administrait la sainte Eucharistie aux fidèles d'un lieu élevé, p. 699; en la recevant entre leurs mains, ils répondaient amen, ibid. On la donnait aux enfants après leur baptême, p. 617. Comme la chair du Verbe est le manger des parfaits, son sang est aussi leur boisson, p. 476. L'Eucharistie est commune aux riches et aux pauvres, p. 112. Les riches ne mangent pas un autre corps que les pauvres, ibid. et 399. Se préparer à l'Eucharistie par la pénitence du carême, p. 71; par la réconciliation avec ses ennemis, p. 71, 72. Miracle arrivé à Constantinople au sujet de l'Eu

charistie, p. 3. On défend de la donner aux morts, p. 714 et 720.

EUDOXIE, impératrice. Elle est choquée d'un discours de saint Chrysostôme, p. 6. Elle le fait rappeler de son exil et lui écrit, ibid. Elle s'irrite de nouveau contre lui, p. 7, 8. Paul de Cratée la menace de la colère de Dien, p. 8. Elle n'a point été excommuniée par le pape Innocent, p. 527.

EUGÈNE, évêque de Phrygie, va à Rome pour la défense de saint Chrysostôme, p. 127.

EULISIUS, évêque de Bostres, p. 134. EULOGE, prêtre. Grâce extraordinaire que Dieu lui avait accordée, p. 475.

EULOGIES, pains bénits, p. 520.

EULOGIUS, évêque à qui saint Chrysostôme écrit, p. 132.

EULYSIUS de Synnades, p. 526.
EUMENIUS, évêque, p. 516.

EUSEBE de Constantinople. Il accuse de simonie. Antonin, évêque d'Ephèse, p. 3 et 492. Il se laisse corrompre, p. 4.

EUSEEE de Césarée. Rufin traduit son Histoire ecclésiastique, p. 459.

EUSEBE, évêque de Crémone, obtient de saint Jérôme un commentaire sur saint Matthieu, p. 570. EUSEBE, diacre, souffre beaucoup pour l'Eglise,

p. 135.

EUSEBE, diacre d'Aquilée, p. 448, 493.
EUSEBE, solitaire de Nitrie, l'un des grands frères,

p. 488.

EUSEBE, père de saint Jérôme, p. 545. EUSEBE d'Emèse est l'auteur d'une homélie sur le traître Judas, p. 97.

EUSTATIE, diacre, dont le pape Innocent prend la défense, p. 515.

EUSTATHE (SAINT), évêque d'Antioche, p. 2. EUSTATHE, lecteur de l'Eglise de Césarée, p. 489. EUSTATHIENS. Saint Alexandre d'Antioche les réunit aux catholiques, p. 516.

EUSTOCHIE, fille de sainte Paule, la première de toutes les filles romaines qui se soit consacrée à Dieu par le vœu de virginité, p. 586. Saint Jérôme lui écrit sur la Virginité, vers l'an 384, p. 586 et suiv. Il lui dédie son commentaire sur Isaïe, P. 566. Il lui écrit sur la mort de sainte Paule, p. 635 et suiv. EUTHYME, solitaire de Nitrie, l'un des grands frères, p. 488.

EUTROPE propose saint Chrysostôme pour l'évêché de Constantinople, p. 2. Il se fait donner le titre de patrice et de consul, p. 118. Il tombe dans la disgrâce et se réfugie dans l'église, p. 118. Deux homélies de saint Chrysostôme à ce sujet, ibid. Eutrope décapité à Chalcédoine, p. 120.

EVAGRE, diacre de Constantinople. Rufin traduit. ses ouvrages, p. 453. Si Evagre de Pont est l'auteur des Vies des Pères, p. 470.

EVANGÉLISTES. Pourquoi il n'y en a eu que quatre, p. 212. Ils ne se contredisent point, p. 101 et

212.

EVANGÉLUS, prêtre de la secte des pélagiens,

p. 86.

EVANGÉLUS, prêtre. Saint Jérôme lui écrit sur Melchisédech, p. 559; sur les diacres, p. 644.

EVANGILE. Ce que signifie ce mot, p. 212. Saint Matthieu a écrit son évangile en hébreu, p. 212. Les fidèles ne touchaient le livre des évangiles qu'après avoir lavé leurs mains, p. 64. Les femmes et les enfants portaient le livre des évangiles suspendu à leur cou, p 431. Sentiment de saint Jérôme sur les évangiles canoniques et apocryphes, p. 653. Il revoit les quatre Evangiles sur le texte grec, p. 554. Dans toutes les Eglises d'Orient, lorsqu'on allait lire l'évangile, on allumait le luminaire en plein jour, p. 697.

EVÊQUES. Les noms d'évêque, de prêtre et de diacre étaient communs du temps de saint Paul, p. 319. Qualités que doit avoir un évêque, p. 37 et suivant. Il convient qu'un évêque n'ait ni trop de crainte, ni trop de mépris pour les calomnies dont

on le noircit, p. 40. Les évêques sont établis afin de prier et d'intercéder pour les péchés des hommes, ibid. Election des évêques, p. 38. L'ordination de l'évêque n'appartient pas aux prêtres, p. 330. Les évêques ne doivent être ordonnés ni à l'insu du métropolitain, ni par un évêque, p. 507. Les évêques d'Afrique font un règlement pour empêcher les prêtres et les évêques d'aller à la cour sous de légers prétextes, p. 537.

EXTREME-ONCTION. Les évêques et les prêtres en sont les ministres, p. 520.

EXUPÈRE (SAINT), évêque de Toulouse, distribue tous ses biens aux pauvres, porte le corps du Seigneur dans une corbeille d'osier, et le précieux sang dans une coupe de verre, p. 676. Saint Jérôme lui dédie son commentaire sur Zacharie, p. 569. Le pape Innocent écrit à Exupère, p. 510, 511.

FABIEN (SAINT), pape. Origène lui écrit, p. 613. FABIOLE (SAINTE), dame romaine. Saint Jérôme lui écrit, p. 559 et 560. Il fait son éloge funèbre, p. 635.

FAMINE arrivée sous Julien l'Apostat, p. 88. FAUSTIN, évêque de Potentia, légat du pape Zosime en Afrique, en 418, p. 537.

FAUSTINE, femme de Julien, p. 639.

FAUTES JOURNALIÈRES. Doctrine de saint Chrysostôme sur ces fautes, p. 222.

FAVORIS. Les favoris des rois sont de vrais esclaves, p. 235.

FELIX, évêque de Nocera, consulte le pape Innocent sur diverses difficultés, p. 524.

FERMENT envoyé par le Pape chaque dimanche aux prêtres des églises de la ville de Rome; ce que c'était, p. 519, 520.

FÊTES des martyrs profanées par la débauche, p. 95 et 96.

FEU. Epreuve par le feu, p. 474.

FIDÈLES. On donnait ce nom aux nouveaux baptisés, p. 74.

FILS DE DIEU. Preuves de sa divinité, p. 46. Il est consubstantiel au Père, p. 44; il a la même puissance que lui, ibid. ; il a sa propre hypostase; il est distingué du Père, quoiqu'il ait la même substance, p. 255; il est éternel comme lui; il lui est égal en honneur, p. 178.

FIRMUS, porteur d'une lettre de saint Jérôme à saint Augustin, p. 631.

FLAVIEN (SAINT), évêque d'Antioche. Il ordonne prêtre saint Chrysostôme en 386, p. 2 et 41; il le charge du ministère de la prédication, ibid.; il fait exhumer les corps des martyrs enterrés confusément parmi les hérétiques, p. 84. Saint Chrysostôme fait l'éloge de Flavien, p. 41.

FLORENT, évêque de Cahors, p. 575.

F.

FLORENT (SAINT). Personnage d'Antioche, p. 18. FLORENT de Jérusalem. Saint Jérôme lui adresse une lettre pour Rufin, p. 449; il lui écrit vers l'an 374, p. 581.

FLORENTIN, évêque de Tivoli. Il s'empare de l'Eglise de Nomentana, p. 525.

FOI. Nécessité de la foi en Jésus-Christ, p. 663. Danger qu'il y a d'abandonner les choses de la foi aux raisons humaines, p. 184. La trop grande curiosité en matière de foi est un écueil dangereux que tout fidèle doit éviter, p. 373. La foi ne vient pas de nous, elle est un don de Dieu, p. 266; elle ne suffit pas pour être sauvé, p. 298; il faut y joindre les œnvres, p. 273 et 337, et le règlement de la vie, p. 217. La foi et les miracles sont inutiles sans les bonnes œuvres, p. 704.

FONDATEURS des églises. On récitait leurs noms dans le saint sacrifice, p. 265.

FORTUNIUS. Il épouse une seconde femme pendant la captivité de la première, p. 521.

FRÈRES. Les grands frères chassés d'Egypte et persécutés par Théophile, se retirent à Constantinople, p. 5; ils présentent à l'empereur un mémoire contre lui, ibid.

FRETELLA, homme de guerre. Saint Jérôme lui écrit sur les Psaumes, p. 591.

FRUMENTIUS. Il convertit les Indiens, p. 469. FUNÉRAILLES. Description des funérailles de Ste Paule, p. 698. Les funérailles des chrétiens étaient accompagnées de prières et du chant des Psaumes, p. 56. Saint Chrysostôme désapprouve la tristesse affectée qu'on faisait paraître dans les funérailles, p. 431; menace de séparer de la communion ceux qui louaient des femmes pour y pleurer, p. 337. FURIA, dame illustre et de l'ancienne famille des Camille. Saint Jérôme lui écrit vers l'an 394, p. 6 .618 et 619.

GAINAS, général des Goths; il demande et obtient la perte d'Eutrope, p. 118, 196.

GALATES. Leur origine d'après Lactance, p. 579. Commentaire de saint Jérôme sur l'Epître aux Galates, ibid.

GALLIEN, ami de saint Jérôme, p. 645.

GALLUS (LE CÉSAR). Il est mis à mort par l'ordre de Constance, p. 33.

GARGARIE, paroisse d'Arles, p. 529.

GAUDENCE (SAINT), évêque de Bresse, député à Arcade pour saint Chrysostôme, p. 11. Saint Chrysostôme lui écrit, p. 135. Rufin lui adresse sa traduction des Recognitions, p. 465.

GAUDENCE. Saint Jérôme lui écrit sur l'éducation de Pacatule, p. 643.

GAZA. Saint Porphyre y détruit un temple d'idoles en 401, p. 623 et 624.

GÉNÉALOGIE. Saint Matthieu ne rapporte point celle de la sainte Vierge; pourquoi, p. 213. Ce que dit saint Chrysostôme de la généalogie, p. 214.

GÉNÉRATION. Celle de Jésus-Christ, soit comme Verbe de Dieu, soit comme homme, est inexplicable, p. 198.

GENÈSE. Pourquoi Dieu n'a donné le livre de la Genèse que par Moïse, et non dès le temps de Noé ou d'Abraham, p. 429.

GÉNÉTHLIOGIE. Saint Chrysostôme la combat, p. 429.

GERMAIN, prêtre de Constantinople. Il porte en Afrique une lettre du pape Innocent, p. 512. GERONCE, prêtre, solitaire du diocèse d'Apamée, p. 131, 132.

GERONTE OU GERONTIUS, évêque. Le pape Innocent lui écrit, p. 516.

GERVAIS (SAINT). Le pape Innocent dédie une église de Saint-Gervais et de Saint-Protais, p. 527.

HABACUC. On montrait du temps de saint Jérôme le tombeau de ce prophète en plusieurs endroits, p. 658.

HABITS. L'évêque, le prêtre, le diacre portaient des habits blancs dans l'administration du sacrifice, p. 699.

HÉBER, père de Phaleg. Il ne consentit point à la construction de la tour de Babel, p. 356.

HÉBREU. Saint Jérôme traduit une partie de l'Ecriture de l'hébreu, p. 550. Son livre des Noms hébreux, p. 557; celui des Lieux hébreux, ibid.; ses Questions hébraïques, ibid. et p. 558.

HÉDIBIE. Saint Jérôme lui écrit pour répondre à ses questions, p. 572 et suiv.

HÉLÈNE (SAINTE), mère du grand Constantin. Elle trouve la vraie croix de Jésus-Christ, p. 482, 483.

G.

H.

GLOIRE. La gloire qui vient de Dieu n'est point fragile ni sujette au changement, p. 170. La gloire de l'homme consiste dans la piété, dans l'équité, etc., p. 191.

GORDIEN. Il est mis à mort par l'empereur Philippe, p. 92.

GOTHS. Ils font incursion en Italie en 410, p. 506. Saint Chrysostôme travaille à leur conversion, p. 3; il écrit aux moines Goths, p. 135. L'empereur Théodose fait la paix avec les Goths en 382, p. 33, 34. GOUVERNEMENT. Parallèle entre le gouvernement spirituel et le gouvernement temporel, p. 308.

GRACE. Sentiment de saint Chrysostôme sur la grâce, p. 386 et suiv. Dieu sonde nos dispositions avant de nous conférer la grâce, p. 24. Nécessité de la grâce pour résister à la moindre tentation, p. 388. La chute de saint Pierre n'arriva pas parce que cet apôtre avait été froid envers Jésus Christ, mais parce qu'il était dénué de la grâce, p. 386, voyez note 5, ibid.; reconnaître que c'est la grâce de Dieu qui sauve, p. 214. La bonne volonté de l'homme ne lui suffit pour le bien, si elle n'est aidée de la grâce, p. 247. Sentiment du pape Innocent sur la grâce, p. 522; sentiment du pape Zosime, p. 539; sentiment de saint Jérôme, p. 665. Arguments des pélagiens contre la nécessité de la grâce, p. 666 et suiv. Erreurs sur la nécessité de la grâce réfutées par saint Jérôme, p. 616, 617, 666 et suiv. Sentiment de saint Paulin sur la grâce, p. 101.

GRÉGOIRE (SAINT), martyr et illuminateur, ou apôtre de l'Arménie. Son éloge, p. 345. Ecrits de ce Saint publiés par Maï, p. 345.

GREGOIRE DE NAZIANZE (SAINT). Saint Jérôme étudie sous lui la théologie, p. 547. GRÉGOIRE, évêque de Mérida, p. 510.

Elle fait bâtir une église à l'endroit où Jésus-Christ est monté au ciel, p. 483.

HÉLI, grand-prêtre. Il est damné, p. 358. HÉLIODORE, ami de saint Jérôme qui lui écrit vers l'an 374, p. 581 et 582, et le console sur la mort de Népotien, p. 605.

HELLADIUS, luciférien. Il dispute avec un catholique, p. 609 et suiv.

HELVIDIUS, disciple d'Auxence, arien, usurpateur du siége de Milan, p. 595. Erreurs d'Helvidius réfutées par saint Jérôme, p. 595 et 664.

HERACLIDE, évêque d'Ephèse, p. 487 et 745. HERACLIUS, comte d'Afrique. Il se révolte en 413, p. 567.

HÉRÉSIE. Se taire quand on est accusé d'hérésie, c'est confesser qu'on est hérétique, p. 457.

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