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JUDITH. Son histoire a été regardée comme canonique par le concile de Nicée, p. 552. Elle est citée par saint Chromace, p. 495. Saint Jérôme traduit le livre de Judith du chaldéen en latin, p. 552. JUGEMENT DERNIER. Les païens, les juifs et les hérétiques le croient, p. 55.

JÉSUS-CHRIST. Il est Dieu et homme en même temps, p. 662. Il est Fils de Dieu par nature, ibid. Preuves de sa divinité, p. 47. Il n'y a en JésusChrist qu'une seule et même personne, p. 663. Jésus-Christ a été baptisé le 6 de janvier, et il a souffert la mort la trentième année de son âge, p. 659. Jésus-Christ est mort pour tous les hommes, p. 390. Si saint Chrysostôme a admis deux personnes en Jésus-Christ, p. 377, 378. Homélies de saint Jean Chrysostôme sur la Nativité et le Baptême de JésusChrist, p. 79 et suiv.

JEUNE. Le jeûne des Juifs est abominable, p. 47, et contraire à la volonté de Dieu, p. 49. Les Juifs avaient coutume les jours de jeûne de danser nupieds sur la place publique, p. 430. Le véritable jeûne consiste dans l'abstinence des péchés, p. 61, 83 et 147. Doctrine de saint Jean Chrysostôme sur le jeûne, p. 222. Le jeûne est formidable aux démons, p. 77. Défense de jeûner depuis Pâques jusqu'à la Pentecôte, p. 661. Jeûne du samedi, p. 660 et 661. Jeûne des moines de Tabène, ibid. Jeûne de saint Hilarion, ibid. Jeûne de sainte Aselle, ibid. Sentiment de saint Jérôme sur le jeûne, p. 692.

JOB. Comment le livre de Job est écrit, p. 553. Saint Jean Chrysostôme le met avant Moïse, p. 357, et parmi les descendants d'Esaü, p. 203 et 357.

JOSEPH, patriarche. Il ne vécut que cent ans, p. 367. Il est enterré à Sichem, p. 658. Du temps de saint Jérôme on y voyait encore son mausolée, ibid. Pourquoi il voulut qu'on transportât ses os dans la Palestine, p. 357.

JOSEPH (SAINT), époux de la sainte Vierge. Il a gardé une continence perpétuelle, p. 564.

JOSEPHE, historien juif. Rufin traduit en latin les Antiquités judaïques de Josèphe, et les sept livres de la Guerre des Juifs, p. 449.

JOVIA, archidiacre d'Aquilée, p. 448.

JOVINIEN. Ses erreurs, p. 597; ses mœurs, ibid. et 598. Saint Jérôme écrit contre lui, p. 597 et suiv. Le pape Sirice le condamne, p. 503 et 598. Lettre apologétique de saint Jérôme touchant les livres contre Jovinien, p. 601 et 602.

JUDA. Explication de la bénédiction de Jacob, P. 476.

JUDAS ISCARIOTE. Lieu de sa naissance; il attribuait à la magie tous les miracles qu'il avait vu faire à Jésus-Christ, p. 660. Deux homélies de saint Chrysostôme sur la trahison de Judas, p. 81 et 82.

JUGEMENT ECCLESIASTIQUE. A qui il appartient, p. 607.

JUIFS. Etat déplorable où ils se trouvaient du temps de saint Jérôme, p. 700. Traité de saint Chrysostome contre les Juifs et les Gentils, p. 46. Huit discours contre les Juifs, p. 47 et suiv. Saint Chrysostôme prêche contre les chrétiens qui assistaient à leurs fêtes, p. 42, et contre ceux qui suivaient leur calcul pour la fête de Pâques, p. 49. Les Juifs n'ont plus ni pâques ni azymes depuis la destruction de Jérusalem, p. 49. Ils ont tenté en vain de rétablir leur religion et leur temple sous les empereurs Adrien, Constance et Julien, p. 50.

JULIEN L'APOSTAT. Il consulte l'oracle d'Apollon, p. 90 et 91. Il fait transporter le corps de saint Babylas à Antioche, p. 91. Il veut rétablir le temple de Jérusalem, p. 88 et 91.

JULIEN, évêque d'Eclane. On le somme de condamner Pélage et Célestius, p. 540. Il le refuse, ibid. Il cherche à s'autoriser de saint Chrysostôme, p. 380. Il est déposé de l'épiscopat et chassé de toute l'Itap. 540.

lie,

JULIEN, moine, p. 318.

JULIEN, diacre. Saint Jérôme lui écrit, p. 582. JULIEN, homme de qualité. Saint Jérôme lui écrit, p. 639.

JULIENNE, dame romaine, célèbre par sa piété. Saint Chrysostôme lui écrit, p. 134. Le pape Innocent lui écrit, p. 513 et 514.

JUREMENTS. L'Evangile défend les jurements, p. 68. Ils sont condamnables par le respect que nous devons au nom et à la majesté de Dieu, p. 64. Coutume de jurer ou de faire jurer à sa place sur le livre des Evangiles, p. 68. Saint Chrysostôme prêche contre les jurements, p. 263 et 264.

JUREURS. Saint Chrysostôme leur conseille de s'imposer quelque pénitence, p. 64. Il menace d'exclure de l'entrée de l'église et des mystères les jureurs incorrigibles, p. 72 et 263.

JUVANTIN (SAINT), martyr. Saint Chrysostome fait son éloge, p. 92.

LÆTA, fille d'Albin, prêtre des idoles. Saint Jérôme lui écrit sur l'éducation de sa fille, p. C24. LAMPROTATUS, diacre. Il souffre beaucoup pour la défense de l'Eglise, p. 135.

LANGUE. Pourquoi tous les hommes ne parlent pas aujourd'hui la même langue, p. 199. La langue hébraïque est la plus ancienne des langues, p. 356. LAODICEENS. Saint Jérôme rejette l'Epître aux Laodicéens attribuée à saint Paul, p. 652.

LAURENT, évêque. Rufin lui adresse son Explication du Symbole, p. 467.

LAURENT évêque de Sénia ou Zeng dans la Croatie. Le pape Innocent lui écrit, p. 525.

LAUSUS, préfet de la chambre de l'empereur Théodose le Jeune. Pallade lui adresse son Histoire des Solitaires, p. 486. Vertus de Lausus, p. 487.

LAZARE. Sept discours de saint Chrysostôme sur Lazare, p. 53 et suiv. Autre homélie du même Saint sur la résurrection de Lazare, p. 94.

LAZARE, évêque d'Aix. Il écrit contre Pélage au concile de Diospolis, p. 532. Le pape Zosime le traite fort mal dans ses lettres, p. 530, 531 et 532. LÉA, veuve d'une grande piété. Saint Jérôme fait son éloge, p. 589.

LEON, acolyte de l'Église romaine. Il apporte en Afrique la condamnation des Pélagiens par le pape Zosime, p. 539.

LEONIDE, philosophe, p. 512.

LETTRES FORMEES. Ce que c'était, p. 528 et 529. L'évêque donnait des lettres de recommandation, aux clercs, p. 699.

LIBANIUS. Saint Chrysostôme étudie la rhétorique sous lui, p. 1.

LIBERTÉ. Dieu veut que nous soyons vertueux avec liberté, p. 664. Il nous laisse les maîtres de nos actions, p. 81. La vocation de Dieu ne détruit point la liberté, p. 104.

LIBRE ARBITRE. Nous avons le libre arbitre,

MACAIRE D'ÉGYPTE (SAINT). Il ressuscite un mort, p. 475.

MACAIRE (SAINT), évêque de Jérusalem. Il distingue miraculeusement la croix de Jésus-Christ de celles des larrons, p. 482.

MACAIRE d'Alexandrie. Il est vanté par Rufin, p. 449.

MACAIRE, savant, homme de distinction et d'une vie exemplaire. Il écrit sur le destin et l'astrologie judiciaire, p. 451. Il presse Rufin de lui traduire l'Apologie et les Principes d'Origère, p. 451 et 452. MACEDONIEN converti par saint Chrysostôme à Constantinople, p. 3. Sacrilége de sa femme puni miraculeusement, ibid.

L.

M.

mais dans tous les bons mouvements de la volonté humaine le secours de Dieu l'emporte, p. 540. Sentiment de saint Chrysostôme sur le libre arbitre, p. 197, 198, 385 et 386. Sentiment de saint Jérôme, p. 665 et 666.

LIEUX SAINTS profanés par les païens, p. 700. LITURGIE. Cérémonies de la liturgic tirées des ouvrages de saint Chrysostôme, p. 409 et suiv. La Liturgie qui porte son nom n'est pas de lui, P. 344. LIVANIE, veuve. Pélage lui écrit, p. 542. LIVRES CANONIQUES, p. 512.

LIVRES APOCRYPHES condamnés par le pape Innocent, p. 512. Saint Jérôme met au rang des livres apocryphes le livre de la Sagesse, l'Ecclésiastique, Judith et Tobie, p. 552.

LOI. Dieu, en formant l'homme, a gravé dans son cœur la loi naturelle, p. 66. La loi ancienne a été abolie, non à cause des péchés des Juifs, mais parce qu'elle était imparfaite, p. 51.

LOTH. Saint Chrysostôme donne un bon sens à l'offre qu'il fait de ses deux filles aux Sodomites, p. 356. Il excuse son inceste, p. 158.

LOUANGE. Celui qui loue le péché est pire que celui qui le commet, p. 272.

LUCIEN (SAINT), prêtre d'Antioche. Saint Chrysostôme fait son éloge, p. 90.

LUCIFERIENS. Ils sont réfutés par saint Jérôme, p. 609 et suiv.

LUCINIUS, Espagnol riche et vertueux. Il demande les ouvrages de saint Jérôme, p. 622, qui les lui envoie et lui écrit en 394, ibid. Lucinius meurt peu après, ibid.

LUCIUS, évêque. Saint Chrysostôme lui écrit, p. 132.

LUCULLUS. Il est le premier qui ait apporté des cerises à Rome, p. 590.

LUXE. Saint Chrysostôme déclame contre le luxe des femmes dans leurs habits, p. 251, 323 et 324.

MACÉDONIUS, évêque de la Pouille, p. 525. MACHABÉES. Saint Chrysostôme fait leur éloge le jour de leur fête, p. 94. Cette fête était fort célèbre au Ive siècle, ibid. Il les compte au nombre des martyrs, p. 343.

MAGES qui vinrent adorer Jésus-Christ. Quel était leur pays, p. 216 et 359. Saint Joseph était présent à l'adoration des mages, p. 360. Les mages reconnurent par leurs présents que Jésus-Christ était Dieu, roi et homme, p. 360. Sentiment de saint Jérôme sur les mages, p. 658, 659.

MAGICIENS. On les recherchait à Antioche, p. 267. MAGISTRATS. Pouvoir des magistrats, et obéissance qui leur est due, p. 393, 394.

exilés, p. 449. Elle bâtit à Jérusalem des monastères de filles, p. 490. Elle convertit Apranien, homme de grande réputation, p. 459. Rufin contracte une union fort étroite avec Mélanie, p. 449.

MAGNUS, avocat à Rome. Il écrit à saint Jérôme sur les auteurs profanes, p. 634. Saint Jérôme lui répond, ibid. et p. 635.

MALACHIE. Sa prophétie touchant le sacrifice de la nouvelle loi, p. 50.

MALC (SAINT). Saint Jérôme écrit son histoire, p. 594 et 595.

MANICHEENS, hérétiques. Leurs erreurs, p. 80 et 428.

MANIPULE. Il est donné aux diacres par le pape Zosime, p. 540.

MANNE. Elle était la figure du corps de JésusChrist que nous mangeons à l'autel, p. 298. MANUSCRITS. Coutume de les charger de peintures, p. 192.

MARC, prêtre de Télède, bourg de Syrie. Saint Jérôme lui écrit vers l'an 377, p. 583, 584.

MARC, chef des Photiniens, p. 525, 526.
MARCEL d'Ancyre. Ses erreurs, p. 429.

MARCELLE (SAINTE), amie de saint Jérôme. Elle s'oppose à Rufin, p. 466. Saint Jérôme lui écrit diverses lettres, p. 560, 561, 563, 571, 572, 589, 591, 613, 617, 618, 637. Il fait son éloge.

MARCELLIN, gouverneur d'Afrique. Il consulte saint Jérôme sur l'origine des âmes, p. 633. Saint Jérôme lui répond, ibid. et p. 634.

MARCIEN, évêque de Naïsse. Le pape Innocent lui écrit, p. 514.

p. 133.

MARCIEN, tribun très-charitable, MARCIONITES. Leurs erreurs, p. 428. Leurs momeries dans le baptême des morts, ibid.

MARI. Devoirs réciproques du mari et de la femme, p. 318.

MARIAGE. Sentiment de saint Chrysostôme sur le mariage, p. 417, 418. Trois homélies de ce Père sur le mariage, p. 107 et suiv. Sentiment de saint Jérôme, p. 587, 598, 599. Marcion, Valentin et Manès le défendent à leurs disciples, p. 31. Le mariage est bon, mais la virginité est meilleure, p. 41. Servitude du mariage, p. 598, 599. Si Adam fût demeuré fidèle, Dieu aurait peuplé le genre humain par quelqu'autre moyen, ibid. Convier Jésus-Christ au mariage en la personne des prêtres, p. 108. Y consulter avec plus de soin les lois de Dieu que les lois civiles, p. 109. C'est une chose indigne d'y considérer les richesses, ibid. Obligation des époux à la chasteté, ibid. La bonne intelligence est la plus grande richesse du mariage, p. 159. Imiter l'exemple des patriarches qui considéraient plus la vertu que les richesses dans les femmes qu'ils choisissaient à leurs enfants, p. 161. Le mariage ne doit point être regardé comme un empêchement à la vertu, p. 152. Indissolubilité du mariage, p. 419, 420. Mariage interdit après le vœu de virginité, p. 198. Mariage d'un homme qui avait fait enterrer vingt femmes et d'une femme qui avait eu vingt-deux maris, p. 638. Les

femmes chrétiennes qui s'allient aux païens prostituent les temples de Jésus-Christ aux idoles, p. 684.

MARIE. L'Evangile fait mention de quatre Marie, p. 537. Il y a des interprètes qui reconnaissent deux Marie Madeleine, ibid. Marie, mère de Jacques et de Joseph, est différente de la mère de Jésus-Christ, p. 596 et 597.

MARIEN, évêque. Il est député à Arcade pour saint Chrysostôme, p. 11.

MARIEN, tribun. Saint Chrysostôme lui écrit, p. 133.

MARIEN, évêque de la Pouille. Le pape Innocent lui écrit, p. 514 et 525.

MARIS, évêque. Saint Chrysostôme lui écrit, p. 132.

MARIS, prêtre et moine dans le diocèse d'Apamée, p. 132.

MARTIANAY, bénédictin de la congrégation de Saint-Maur. Il a donné une nouvelle édition des œuvres de saint Jérôme; jugement de cette édition, p. 709.

MARTYRS. Saint Chrysostôme attribue le titre et le mérite de martyrs à ceux qui souffrent pour la défense de l'Eglise, p. 128. Il fait l'éloge des martyrs d'Egypte, p. 96, et de ceux de toute la terre, ibid. et p. 95. On nommait les martyrs dans le saint sacrifice, p. 413. Tombeaux des martyrs : les empereurs font de longs voyages pour les voir, p. 311. Les démons Ꭹ sont tourmentés, et les hommes délivrés, p. 311. Les fidèles prient sur les tombeaux des martyrs, p. 84. Martyrs enterrés confusément parmi des hérétiques, ibid. Saint Flavien fait exhumer leurs corps et les fait transporter auprès d'un autel, ibid. Ce ne fut que sous le règne de Marc-Aurèle qu'on vit des martyrs dans les Gaules.

MARTYRE. Les maux supportés avec courage tiennent lieu du martyre, p. 186. Le martyre regardé comme ayant la même vertu que le baptême, p. 395. MARTYRIUS, diacre de Constantinople, p. 526. MARUTHAS (SAINT), évêque de Martyropole en Mésopotamie. Saint Chrysostôme prie sainte Olympiade de rendre à cet évêque tous les services possibles, p. 131.

MAURICE, évêque de la Pouille, p. 525.

MAXIME, évêque dans la Calabre. Le pape Innocent lui écrit, p. 525.

MAXIME, évêque de Valence. Il est accusé de plusieurs crimes, p. 540.

MAXIMES morales sur les devoirs des chrétiens, p. 701.

MAXIMIEN, évêque de Macédoine, p. 516. Le pape Innocent lui écrit, p. 518.

MAXIMILIEN, évêque de la Calabre, p. 525. MEDISANCE. Dire du bien de ceux qui médisent de nous, p. 182.

MÉDISANTS. Rejeter les médisants, à l'exemple du Prophète, p. 61. Ne pas seulement les écouter, p. 199.

MÉLANIE (SAINTE), surnommée l'Ancienne. Elle emploie ses richesses au soulagement des évêques

MELANIE (LA JEUNE), mariée à Pinien; elle veut renoncer au monde.

MELCHISEDECH, roi de Salem. Il était la figure de Jésus-Christ, p. 158. Il n'était pas le Saint-Esprit, p. 201. Ce qu'on dit sur lui, p. 559.

MELCHISEDÉCIENS. Leurs erreurs, p. 201, 429. MÉLÈCE (SAINT), évêque d'Antioche. Il baptise saint Chrysostôme et le fait lecteur, p. 1 et 2. Il l'ordonne diacre, p. 2. Saint Chrysostôme fait l'éloge de saint Mélèce, p. 90. Vénération des habitants d'Antioche pour saint Mélèce, ibid. Saint Jérôme parle de cet évêque, p. 583.

MÉNITE, homme saint et habile vivant à Alexandrie, p. 450.

MENSONGES OFFICIEUX. Il n'est pas permis d'en admettre dans l'Ecriture, p. 579, 626 et suiv. Jamais il ne faut mentir, non-seulement pour un mauvais dessein, mais même sous prétexte d'un bien, p. 473. METHONEUS, sophiste du temps de Constantin, P. 493.

MICHÉE. Sa prophétie, rapportée par saint Matthieu, ne peut convenir à Zorobabel, p. 359.

MINERVE, moine de Toulouse. Il propose des questions à saint Jérôme, p. 577, 578.

MINITIEN, évêque espagnol, p. 510.

MIRACLES. Il est plus avantageux de bien vivre et de ne point faire de miracles, que d'en faire et de vivre mal, p. 102. Souvent les miracles ont nui à ceux qui les faisaient, p. 227. Exemples de miracles, p. 293. Saint Chrysostôme rejette les miracles et les prodiges que quelques-uns disaient avoir été faits par Jésus-Christ dans son enfance, p. 360. Il croit que Judas a fait des miracles, p. 361.

MODESTE. Il est soumis pour ses crimes à la pénitence publique avant l'épiscopat, p. 525. Le pape Innocent ordonne de le déposer, ibid.

MOINE. Le devoir du moine n'est pas d'enseigner, mais de pleurer, p. 609. Trois sortes de moines en Egypte et en Mésopotamie, p. 693. Vie des cénobites d'Egypte, p. 694. Habits des moines, p. 474. Hospitalité des moines de Nitric, p. 475. Les moines de la province d'Arsinoé et ceux d'Egypte se louaient pendant la moisson, p. 475. C'était une coutume établie dans les monastères d'Egypte, de n'y recevoir que des gens

capables du travail des mains. Sentiment sur l'institution de l'état monastique, p. 693. Avant le voyage de saint Athanase en Italie, on ne connaissait pas à Rome la vie monastique, p. 695. Il n'y avait point de monastère dans la Palestine avant saint Hilarion, ibid. Sainte Paule bâtit à Bethléem un monastère pour les hommes et trois pour les filles, ibid. Exercices des monastères des filles, ibid. Loi de Valens contre les moines, p. 18. Apologie de la vie monastique, p. 18 et suiv. Moines maltraités à Antioche, p. 18. Moines qui viennent au secours d'Antioche, p. 69. Etat et vie des moines, p. 21, 22, 422, 423.

MOISE, évêque. Saint Chrysostôme lui écrit, p. 132.

MONAXIUS, préfet du prétoire d'Orient en 418, p. 540.

MONDE. Il a été créé en six jours, ne durera que six mille ans et périra par le feu, p. 657. Saint Chrysostôme croyait que la fin du monde était proche, p. 222.

MONTANISTES. Leurs erreurs, l'impiété de leurs mystères, p. 591, 592. Leur hiérarchie ecclésiastique, p. 680. Ils mettaient les secondes noces au rang des adultères, p. 683.

MONTFAUCON. Le Père de Montfaucon a donné une nouvelle édition des ouvrages de saint Chrysostôme, p. 434.

MORT. Elle est un sujet de joie pour les solitaires, p. 63. Elle ne doit point être pour le chrétien un sujet de frayeur, p. 62, 63, 141. On ne doit point pleurer avec excès la mort des personnes qui nous sont chères, p. 226.

MORTS. On faisait mémoire des morts dans la célébration des saints mystères, p. 320. On y priai pour eux, p. 412. Les moines célébraient le troisième et le quarantième jour de la mort de leurs confrères, p. 490. Les ecclésiastiques avaient soin d'enterrer les morts, p. 585. Prières pour les morts, p. 698.

MUCE (SAINT), solitaire. Ce qu'on rapporte de lui, P. 474.

MUTILATION volontaire. Ceux qui en sont coupables ne peuvent être admis dans le clergé, p. 524. MYSTÈRES. Secret des mystères, p. 519.

N.

NABUCHODONOSOR. Saint Chrysostôme le compte parmi les méchants qui ont quelquefois prophétisé, p. 358. Il croit que la statue qu'il fit dresser pour être adorée était de bois, ibid.

NAZARÉENS. Ils altèrent l'Evangile de saint Matthieu par diverses additions, p. 654.

NEBRIDIUS, préfet de Constantinople, épouse sainte Olympiade, p. 128, 129.

NEBRIDIUS, mari de Salvine, p. 635.

NÉCROMANCIE. On la cultivait dans le siècle de saint Chrysostôme, p. 429.

NECTAIRE, évêque de Constantinople. Il meurt le 27 septembre 397, p. 2.

NECTAIRE, évêque, à qui Philippe dédie son commentaire sur Job, p. 565.

NÉOPHYTES. Saint Jérôme se plaint de ce qu'on élevait de son temps des néophytes à l'épiscopat, p. 634.

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NÉPOTIEN, neveu d'Héliodore. Saint Jérôme lui écrit vers l'an 394, p. 603 et suiv. Il lui prescrit des règles pour sa conduite, p. 604 et 605. Il fait son éloge après sa mort, p. 605 et 606.

NÉRON, empereur et premier persécuteur des chrétiens, traite saint Paul de scélérat, de corrupteur, etc., et le fait mourir, p. 19 et 363. Concubine de Néron convertie par saint Paul, p. 363.

NESTORIUS, évêque de Constantinople. Expression de saint Chrysostôme qui semble favoriser l'erreur de cet hérétique, p. 376, 377, 378.

NEXOCHARIDE, philosophe, p. 512.

NICÉAS, sous-diacre d'Aquilée. Saint Jérôme lui écrit, p. 582.

NICEE. Il y avait encore du temps de saint Jérôme des personnes qui avaient assisté au concile de Nicée, p. 609.

NICOLAS, prêtre. Il va prêcher en Phénicie. Saint Chrysostôme lui écrit, p. 131.

NITRIE. Saint Jérôme visite les monastères de Nitrie, p. 548.

NOBLESSE. En quoi consiste la véritable noblesse, p. 107 et 194. Saint Chrysostôme déclame contre la vanité de ceux qui tirent leur gloire de la noblesse de leur naissance, p. 235.

NOCES. Saint Chrysostôme approuve les secondes

noces, p. 34. Désordres qui s'y commettaient de son temps, p. 162. Les montanistes mettaient les secondes noces au rang des adultères, p. 683. Sentiment de saint Jérôme sur les secondes noces,

p. 602.

NOE. Eloge de ce patriarche, p. 153. Saint Chrysostôme excuse son ivresse, p. 153 et 155. NOEL. Quand on a commencé à célébrer cette fête à Antioche, p. 79.

NOMS. Homélie de saint Chrysostôme sur les Changements de noms, p. 103. Quand l'apôtre a changé son nom de Saul en celui de Paul, ibid. Faire porter aux enfants les noms des saints au lieu de ceux de leurs ancêtres, p. 431. Les catholiques ne portent point d'autre nom que celui de JésusChrist, p. 266. L'Ecriture donne à Dieu dix noms différents dans la langue hébraïque, p. 563.

NOVATIEN. Il refusait d'accorder le pardon aux pécheurs, p. 511.

NOVATIENS. Canons de Théophile d'Alexandrie touchant les novatiens, p. 446. Le canon du concile de Nicée qui permet de les recevoir, p. 515. Les novatiens administraient le baptême de la même manière que les catholiques, ibid.

NUMENIUS, évêque envoyé en Afrique par le pape Zosime, p. 538.

0.

OCÉANUS, ami de saint Jérôme, p. 634. Saint Jérôme lui écrit pour le consulter sur la bigamie, ibid., et sur la mort de sainte Fabiole, p. 635.

ŒUVRES. Nécessité des bonnes œuvres, p. 113. Maximes de saint Jérôme sur les bonnes œuvres, p. 703.

OFFRANDES. On ne doit point nommer avant la célébration des mystères les personnes qui ont fait des offrandes, p. 519. Les fidèles apportaient leurs offrandes à l'autel, p. 699. On récitait publiquement les noms de ceux qui avaient apporté leurs offrandes, ibid.

OLIBRIUS, fils de Probus, consul, p. 618. OLIVIERS. Rufin bâtit un monastère d'hommes sur le mont des Oliviers, p. 449.

OLYMPIADE (SAINTE), veuve. Ses vertus, p. 128. Saint Chrysostôme lui dit adieu, allant en exil, p. 9. Il lui adresse des traités, p. 124, 125. Il lui écrit plusieurs lettres, p. 128 et suiv.

ONASE. Il s'élève contre saint Jérôme qui le rabaisse, p. 591.

ONCTION des malades. Elle doit être accordée non-seulement aux prêtres, mais aussi à tous les fidèles malades, excepté aux pénitents, p. 520.

OR, solitaire. Il reçoit miraculeusement le don de lire, p. 474.

ORAISON DOMINICALE. On la récitait à la messe, p. 679. Explication de l'Oraison dominicale par saint

Chrysostôme, p. 100, 221, 222; par saint Chromace, p. 495. Saint Chrysostôme lisait à la fin de cette prière : « Parce que le royaume, la gloire, la puissance vous appartiennent dans tous les siècles. Ainsi soit-il,» ibid. et p. 222. Après la consécration de l'eucharistic, on récitait l'Oraison dominicale, p. 412.

ORDINATION. N'ordonner personne qu'après un long examen, p. 331. Le pape saint Innocent semble déclarer nulles les ordinations faites par les hérétiques, p. 514, 515 et 517. A Rome on ordonnait les prêtres sur le témoignage des diacres, p. 699. II est défendu d'ordonner un clerc d'une autre Eglise sans la permission de l'évêque diocésain, p. 508. Ce n'est pas un péché peu considérable de conférer les ordres à des gens qui ne sont ni saints ni savants dans la loi de Dieu, p. 679.

ORDRE. Sentiment de saint Chrysostome sur l'Ordre, p. 418, 419. L'homme impose la main, mais c'est Dieu qui fait tout, et qui touche même la tête de celui qui est ordonné quand il l'est comme il faut, p. 418. L'évêque est le ministre de l'Ordre et le confère par l'imposition des mains, p. 678.

ORIGÈNE. Il a écrit plus qu'aucun païen; énumération de ses écrits, p. 592. Personne n'a plus profité que saint Jérôme des écrits d'Origène, p. 356. Il en a été l'admirateur, puis l'a condamné publiquement, p. 451. Les écrits d'Origène ont été corrompus par les hérétiques, p. 465 et 612. Rufin traduit

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