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plusieurs ouvrages d'Origène, p. 450, 451. Ces traductions font du bruit à Rome, p. 452, 453. Saint Jérôme traduit les homélies d'Origène sur saint Luc, p. 450, et deux homélies du même Père sur le Cantique des cantiques, p. 452.

ORONCE, évêque. Annien le pélagien lui adresse son prologue sur la traduction des homélies de saint Chrysostôme, p. 211.

OROSE, prêtre espagnol. Il assiste à l'assemblée des prêtres à Jérusalem au sujet de l'hérésie de Pélage, p. 501. Jean de Jérusalem accuse Orose d'erreur, ibid. Saint Augustin envoie Orose en Palestine

pour consulter saint Jérôme sur la question de l'origine de l'âme, p. 633.

OTRÉE, évêque d'Arabisse. Il avait quantité de reliques indubitables, p. 134.

OUTRAGES. Souffrir patiemment les outrages de nos plus proches, p. 175.

OUVRAGE IMPARFAIT SUR SAINT MATTHIEU. Ce qu'on en dit, p. 209 et suiv.

OXYRRHYNQUE, ville de la Thébaïde. Elle renfermait autant et plus de monastères qu'il n'y avait de maisons, p. 474.

P.

PACATULE. Saint Jérôme écrit sur son éducation, p. 643.

PACOME (SAINT). Lettre de saint Jérôme sur la règle de saint Pacôme, p. 646.

PAIX. Quand il faut la donner dans les mystères, p. 519.

PALINODIE ou profession de foi attribuée à Rufin, p. 462.

PALLADE, évêque exilé, p. 134.

PALLADE, évêque d'Hellénopole en Bithynie et confesseur. Histoire de sa vie : Pallade embrasse la vie solitaire dans la Palestine en 386, p. 484. Il va å Nitrie, ibid. Il vient à Alexandrie en 379, p. 485. Il va à Nitrie, ibid. Est fait évêque d'Hélénopole vers l'an 400, ibid. Il est accusé d'origénisme; il se retire à Rome; il souffre pour la cause de saint Chrysostôme, ibid. et p. 486. Autre voyage de Pallade, p. 486. Il est transféré de l'évêché d'Hélénopole à celui d'Aspone en 417, ibid. Ecrits de Pallade son Histoire Lausiaque, ce qu'elle contient de remarquable, p. 486 et suiv. Editions qu'elle a eues, p. 487. Quel est le Pallade qui a écrit la Vie de saint Chrysostôme P. 492.

PALLADE, préfet du prétoire d'Italie, en 418. PAMMAQUE (SAINT), sénateur romain, ami de saint Jérôme, p. 452. Il fait condamner l'erreur de Jovinien vers l'an 390, p. 503, 504. Il fait de grandes aumônes après la mort de sa femme, p. 504. Il embrasse la vie monastique, ibid. et p. 505. Il réunit quelques donatistes, p. 505. Lettre de saint Augustin à Pammaque, ibid. Saint Jérôme lui écrit au sujet de la lettre de saint Epiphane, p. 603. Lettres de Pammaque à saint Jérôme, p. 505. Saint Jérôme lui écrit contre les erreurs de Jean de Jérusalem, p. 610 et 611; contre Origène, p. 612. Il lui adresse son Apologie contre Rufin, p. 613 et suiv. Autre lettre de saint Jérôme, p. 623. Mort de Pammaque en 410, p. 505. Il n'a point été prêtre, ibid. Ce qui reste de ses lettres, p. 506.

PAMBON (SAINT), p. 460. Il défend la foi catho

lique à Alexandrie du vivant de saint Athanase, p. 488.

PAMPHILE (SAINT). Il fait l'apologie d'Origène, p. 451. Rufin la traduit, p. 451 et 465. Cette traduction fait du bruit à Rome, p. 452. Saint Jérôme conteste l'apologie d'Origène à saint Pamphile, p.612,614.

PANSOPHE, évêque de Pisidie. Il dit la messe à la place de saint Chrysostôme, p. 4. Il va à Rome pour sa défense, p. 127.

PAPPUS, évêque de Syrie. Il va à Rome pour la défense de saint Chrysostôme, p. 127. On lui rend son Eglise, p. 516.

PAQUE. Chrétiens qui la faisaient avec les Juifs, p. 49. Le chrétien fait la pâque toutes les fois qu'il s'approche de la table sainte, p. 49. JésusChrist, dans son dernier repas, a mangé la pâque lés gale avec ses disciples, p. 360. Les Juifs ne peuvent immoler légitimement l'agneau pascal, p. 81. Cet agneau n'était que la figure de celui qui s'immole sur nos autels, ibid.

PARADIS TERRESTRE. Il a été créé avant le ciel et la terre, p. 657. Réfutation du sentiment de ceux qui le placent dans le ciel, p. 354.

PASTEUR. On lisait le livre du Pasteur dans quelques Eglises de la Grèce, p. 655. Rufin le met au nombre des livres ecclésiastiques, p. 481.

PASTILLES. Saint Chrysostôme en usait après la communion, p. 6.

PATRICE, secrétaire. Il va dire à saint Chrysostôme de sortir de l'église, p. 9.

PATROCLE, évêque d'Arles. Priviléges que lui accorde le pape Zosime, p. 528, 529, 535.

PATRUIN, évêque espagnol, p. 509, 510.

PAUL (SAINT), apôtre. Dieu, en l'appelant, ne lui a imposé aucune nécessité, p. 87. Quand saint Paul a changé de nom, p. 363. Il a prêché en Espagne, p. 243, 363 et 359. Pourquoi Néron lui fit trancher la tête, p. 88, 89. Il fut enterré sur le chemin d'Ostie, p. 660. Utilité des lettres de saint Paul, p. 39. Panégyriques de saint Paul par saint Chrysostôme,

p. 86 et suiv. Zèle de ce Père pour la gloire cet Apôtre, p. 287. Son respect pour ses chaînes, p. 315. Il a souffert le martyre à Rome, p. 659. Saint Augustin désapprouve le sentiment de saint Jérôme sur la répréhension de saint Pierre par saint Paul, p. 626 et 631.

PAUL (SAINT), premier ermite. Saint Jérôme écrit sa Vie, p. 592.

PAUL, évêque d'Héraclée. Saint Chrysostôme le prie de réunir Eusèbe de Valentinople avec Antonin d'Ephèse, p. 4.

PAUL DE SAMOSATE. Ses erreurs, p. 429. PAUL, diacre. Saint Chrysostôme l'envoie à Rome, p. 128.

PAULE (SAINTE). Saint Jérôme lui explique le psaume CXVIII, p. 563. Il la console sur la mort de Blésille, p. 590. Il lui écrit en 392, p. 592. Mort de sainte Paule, p. 635. S. Jérôme fait son éloge, ibid. PAULIN (SAINT), évêque de Nole. Saint Paulin lui écrit trois lettres, p. 619 et suiv.

PAULIN, évêque d'Antioche. Il ordonne saint Jérôme prêtre, p. 546.

PAULIN, diacre. Il accuse Célestin d'hérésie. Le pape Jovien le cite à Rome. Il refuse d'y aller, p. 533. On lui attribue un traité sur les Bénédictions des Patriarches, p. 477.

PAULINE, fille de sainte Paule, et femme de saint Pammaque, p. 504.

PAULINIEN, frère de saint Jérôme. Saint Epiphane l'ordonne prêtre, ce qui cause une division avec Jean de Jérusalem, p. 498, 499. Paulinien tire de longs extraits de l'Apologie de Rufin, et les apporte à saint Jérôme, p. 457.

PAUVRES placés aux portes de l'Eglise, p. 76. Ils sont comme les médecins de nos âmes, nos protecteurs et nos bienfaiteurs, p. 114. Soulager les pauvres, surtout pendant l'hiver, p. 112. Ne point leur faire de reproches, ibid.; leur parler avec douceur, p. 159; ne pas les rejeter avec mépris, p. 228. Fournir à l'entretien des pauvres plutôt qu'à l'ornementation des églises, p. 232. Une ville doit se glorifier d'être l'asile des, pauvres, p. 112. Le nombre des pauvres écrit sur le catalogue de l'église d'Antioche montait jusqu'à trois mille, p. 238.

PAUVRETÉ. Quand on sait bien user de la pauvreté, elle est une grande richesse, p. 60.

PÉANIUS, ami de saint Chrysostôme, qui lui écrit plusieurs fois, p. 132.

PÉCHÉ. Ne craindre que le péché, p. 320. Effets funestes du péché, p. 181. Les péchés sont plus grands ou moindres, suivant les différentes circonstances de temps, d'âge et de personnes, p. 243. S'abstenir du péché par crainte des hommes ou par honte, si l'on ne peut encore le faire par charité, p. 320. Pleurons nos péchés non à cause que nous devons être punis, mais parce que nous avons offensé Dieu, p. 417. Pourquoi Dieu permet que les justes tombent dans le péché, p. 345. Erreur de Pélage, qui dit que l'homme peut être parfait et sans péché sans le secours de Dieu, p. 616 et 666. Quel est le péché contre le Saint-Esprit, p. 571 et 572.

PÉCHÉ ORIGINEL. Il est nié par Pélage, p. 597; et par Célestin, p. 544. Sentiment de saint Chrysostôme sur le péché originel, p. 383.

PÉLAGE. Qui il était, p. 541. Ses écrits, ibid., p. 542 et 543. Les conciles de Carthage et de Milève écrivent au pape Innocent sur les erreurs de Pélage, p. 521; réponse du Pape, p. 522, 523. Pélage écrit au Pape et lui adresse une confession de foi, p. 530. Le pape Zosime s'y laisse surprendre, p. 530 et 531.

PÉLAGIENS. Origine de l'hérésie pélagienne, p. 462 et 543. Les pélagiens commettent des violences en Palestine, p. 501, 524 et 548. Ils accusent le clergé de Rome de prévarication dans le jugement rendu contre Pélage et Célestin, p. 523. Le pape Zosime condamne les pélagiens, p. 538, 539. Dialogue de saint Jérôme contre les pélagiens, p. 617.

PÉLAGIE (SAINTE), martyre. Saint Chrysostôme fait son éloge, p. 92.

PÉNITENCE. Sentiment de saint Chrysostôme sur la pénitence, p. 416 et suiv. Homélie de ce Père sur ce sujet, p. 76 et suiv. Sentiment de saint Jérôme, p. 576. Grands exemples de pénitence, p. 76. La confession, les larmes, l'aumône, l'humilité et la prière sont les cinq portes de la pénitence, p. 76, 77. La force de la pénitence dépend moins du temps que de la ferveur, p. 77. Si vous péchez toujours, faites tous les jours pénitence, p. 78. La véritable pénitence ne consiste pas dans les paroles, mais dans les œuvres, p. 78. Il faut mener une vie contraire à ses déréglements, p. 217. On accordait toujours la pénitence aux mourants, p. 511.

PÉNITENCE PUBLIQUE. Les clercs n'y étaient point soumis du temps de saint Jérôme, p. 677. Canon du concile de Carthage qui défend de leur imposer les mains pour les mettre en pénitence, p. 735. Exemple remarquable de pénitence publique dans la personne de sainte Fabiole, p. 635. Pénitents absous le jeudi saint, p. 520.

PENTADIE, veuve de Constantinople et diaconesse, p. 9. Saint Chrysostôme lui dit adieu, allant en exil, ibid. Elle est persécutée à cause de lui, P. 132.

PENTECOTE. Saint Chrysostôme l'appelle la métropole des fêtes, p. 394. Homélie de ce Père sur la Pentecôte, p. 85.

PERSE. La foi y faisait de grands progrès du temps de saint Chrysostôme, p. 47.

PERSECUTIONS. La persécution de nos passions est plus dangereuse que celle des tyrans, p. 265. PÉTRONE (SAINT), évêque de Boulogne. On lui attribue la Vie des Pères, p. 471.

PHARETRIUS, évêque de Césarée. Il oblige saint Chrysostôme d'en sortir, p. 131.

PHÉNICIE. Saint Chrysostôme exilé y envoie des ouvriers évangéliques. p. 131. Il écrit aux prêtres et aux moines de Phénicie, p. 133.

PHENIX, jeune homme, p. 17.

PHILIPPE, empereur. Saint Babylas lui refuse l'entrée de l'église, p. 92.

PHILIPPE, prêtre de Constantinople. Saint Chry-
sostôme lui écrit, p. 136.

PHILIPPE, prêtre, disciple de saint Jerôme, au-
teur d'un commentaire sur Job, p. 564. Temps de
sa mort, p. 565.

PHILIPPE, prêtre, légat du pape Zosime en
Afrique, en 418, p. 537.

PHILOGONE (SAINT), évêque d'Antioche. Saint
Chrysostome fait son éloge, p. 44.

PHILOROME (SAINT). Il fait à pied le voyage de
Rome, p. 490.

PHOCAS (SAINT), martyr å Synope. Saint Chry-
sostôme reçoit de ses reliques; il fait son éloge,
p. 93.

PHOTIN, disciple de Marcel d'Ancyre. Ses erreurs,
p. 421.

PHOTIN, évêque de Macédoine, condamné par les
Papes, p. 515. Saint Innocent consent à le recon-
naître pour évêque, ibid.

PHOTINIENS, hérétiques. Le pape Innocent les
fait chasser, p. 525, 526.

PIAMON, vierge très-vertueuse, p. 489.

PIERRE (SAINT), apôtre. Il vient à Rome pour y
combattre Simon le Magicien, p. 660. Il y souffre le
martyre, ibid. Il y est crucifié la tête en bas, p. 363
et 660. Saint Chrysostôme appelle saint Pierre le
coryphée du chœur apostolique, p. 202. Primauté de
saint Pierre, p. 394. Saint Pierre est repris par saint
Paul, p. 631. Sentiment de saint Chrysostôme sur cette
répréhension, p. 117, 118. Sentiment de saint Jé-
rôme, p. 626.

POLYGAMIE. Elle était permise du temps des pa-
triarches, p. 163 et 420.

POMPES. Les pompes du diable auxquelles on re-
nonce dans le baptême sont le théâtre, le cirque,
etc.

PONTIFES. Au temps de la Passion il y avait plu-
sieurs pontifes contre les dispositions de la loi, p. 361.
PORPHYRE (SAINT). Il est ordonné prêtre par
Jean de Jérusalem, qui lui confie la garde de la sainte
Croix, p. 497.

PORPHYRE, saint personnage d'Antioche, p. 18.
PORPHYRE, prêtre d'Antioche, homme de mœurs
impures, usurpateur du siége d'Antioche, p. 137,
526. Il persécute les prêtres de cette ville, p. 138.
PORPHYRE, philosophe païen, écrit contre les
chrétiens, p. 255. Ses livres sont cités par Sévérien
de Gabales, p. 207.

POSIDOINE, solitaire. Il ne mangeait ni pain ni
autre chose que quelques dattes, p. 487.

POSSÉDES. Il n'est permis ni aux prêtres ni aux
diacres de leur imposer les mains sans la permission
de l'évêque, p. 520.

POSSIBILITÉ des commandements, p. 668.
POTAMIENNE (SAINTE), p. 488.

PRAYLE, évêque de Jérusalem. Il écrit au pape
Zosime en faveur de Pélage, p. 530.

PRECEPTES sévères. Les accomplir par amour,
p. 701. Leur accomplissement n'est point impossi-
ble, p. 78.
PREDESTINATION. Sentiment de saint Chrysos-

tôme à ce sujet, p. 389 et 390. Sentiment de saint
Jérôme sur la prédestination et la réprobation, p. 668
et 669.

PRÉDICATEUR. Péril extrême pour un prédica-
teur qui cache la moindre des lois divines, p. 95.
PRELATURE. Elle était autrefois considérée
comme une charge et non comme un honneur, p. 262.
PRÉSENCE RÉELLE. Voy. Eucharistie.

PRESIDIUS, diacre. Saint Jérôme le recommande
à saint Augustin, p. 625. Il est nommé évêque,
ibid.

PRÉTEXTAT, sénateur romain. Il meurt en 384,
p. 589.

PRÈTRE. Il n'est rien de plus grand que la di-
gnité des prêtres, mais il n'est rien aussi de plus
terrible que sa chute, p. 706. Un prêtre doit être versé
dans la loi de Dieu, p. 707. Les prêtres sont chargés
d'enseigner et président dans l'Eglise : ils ne sont
inférieurs à l'évêque que par l'ordination,
p. 330.
Leurs qualités, ibid. Saint Jérôme semble égaler les
prêtres aux évêques, p. 680. Respect dû au prê-
tre, p. 164, 322. Ne point médire de lui, P. 322.
Mépriser les prêtres, c'est mépriser Dieu, p. 331.
Les prêtres, à l'exclusion même des anges, ont reçu
le pouvoir de lier et de délier, p. 416. Quelle doit être
la pureté d'un prêtre, p. 40, 416. Les prêtres in-
dignes seront punis pour les péchés du peuple,
ibid. Prêtres persécutés pour leur amitié envers
saint Chrysostôme, p. 128.

PRIÈRE. Avantages de la prière, p. 116. Condi-
tions de la prière, p. 175. Joindre les bonnes cu-
vres à la prière, ibid. Quelles sont les prières
que Dieu exauce, p. 177. Vertu de la prière faite
en commun, p. 43 et 199. Prière avant le repas,
p. 45; et après le repas, p. 45 et 170. Prière pen-
dant la nuit, p. 697. Prière pour les ennemis, p. 83.
On peut prier en tout lieu, p. 170, 171 et 187. Les
prières des martyrs ne peuvent nous sauver si nous
négligeons la vertu, p. 116. Les prières des saints
sont très-puissantes pour nous procurer des grâces,
mais nous devons les aider de notre part, p. 182,
et y joindre un changement de vie, ibid. Prières
dans le saint sacrifice: pour les morts, p. 412; pour
les évêques, p. 306; pour les prêtres, ibid.; pour
les rois, etc., ibid. Prière que les solitaires fai-
saient à Dieu en sortant de table, p. 234. Coutume
des fidèles de laver leurs mains avant la prière,
P. 304.

PRIMAUTÉ DE PIERRE (SAINT). Elle est recon-
nue par saint Chrysostôme, p. 392.

PRINCIPIE, vierge. Saint Jérôme lui écrit vers
l'an 398 et vers l'an 412, p. 641.

PRISONNIERS. Deux lettres de saint Chrysos-
tôme aux évêques et aux prêtres prisonniers, p. 128.
PROBA, dame romaine. Rufin lui écrit plusieurs
lettres, p. 459. Saint Chrysostôme lui écrit aussi,
p. 134.

PROBUS (SEXTUS PETRONIUS), consul en 371,

p. 618.

PROBUS, fils du consul, p. 618.

PROCESSIONS dans les calamités, p. 201, 342.

Elles se faisaient quelquefois au milieu de la nuit. PROCULE, veuve de Constantinople. Saint Chrysostôme lui dit adieu, allant en exil, p. 9.

PROCULUS, évêque de Marseille. On examine dans le concile de Turin ses prétentions touchant la préséance sur les évêques de la seconde province Narbonnaise, p. 508. Le pape Zosime n'a aucun égard à ces prétentions, p. 535. Proculus se soutient dans le droit que le concile de Turin avait accordé à sa personne, ibid. et 536. Le pape Zosime le dépose, p. 537. Saint Jérôme parle de Proculus avec éloge, ibid.

PROFUTURUS, ami de saint Augustin, qui le recommande à saint Jérôme, p. 626.

PROPHÈTES. D'où vient leur obscurité, p. 198,

199.

PROVIDENCE. Elle est plus visible que le soleil;

QUINTILIEN, ami de saint Jérôme, p. 546.

RAISON NATURELLE. Si nous en faisons un bon usage, elle peut seule étouffer les vices qui naissent dans notre âme, p. 147. Le raisonnement est dangereux en matière de foi, p. 329.

RECONCILIATION. Il est de notre devoir de prévenir par la réconciliation ceux qui nous ont offensés, p. 266, 267. La réconciliation doit précéder la participation aux saints mystères, p. 222.

Q.

qui la nie est un fou, p. 74. Trois livres de saint Chrysostôme sur la Providence, p. 25 et suiv. Ce Père établit la Providence contre ceux qui la niaient, p. 317.

PSATHYRIENS, secte d'ariens. Pourquoi ils sont ainsi nommés, p. 259.

PSAUMES. Tous les psaumes ne sont pas de David. Ils sont écrits en vers iambiques, alcaïques et saphiques, p. 652. Tout le monde, hommes, femmes et enfants, chantaient des psaumes, p. 180. C'était un usage dans l'Eglise d'Antioche de réciter tous les soirs le psaume CXL, et tous les matins le psaume LXII, p. 188. Si David a composé tous les psaumes, p. 192.

R.

REGARDS. Jésus-Christ ne condamne pas en général tous les regards, p. 222.

RELIGION CHRETIENNE. Ses preuves, p. 243, 266, 267, 289 et suiv.

RELIQUES. Leur culte est attaqué par Vigilance, p. 606, 607, 608. Les chrétiens n'adorent ni les reliques des martyrs ni les anges, mais ils les honorent, p. 607. On couvrait les reliques des martyrs d'étoffes précieuses, ibid. L'évêque de Rome offrait des sacrifices à Dieu sur les os vénérables de saint Pierre et de saint Paul, p. 608. La translation des reliques se faisait avec beaucoup de pompe et de solennité, p. 608 et 687. Vertu des reliques, p. 93 et 687. Pourquoi Dieu nous a laissé les reliques des martyrs, ibid. Reliques de saint Phocas à Constantinople, p. 93, et de saint Ignace à Antioche, ibid. Reliques de saint Babylas, p. 88 et 91, et de saint Julien, martyr, p. 92. Reliques des martyrs d'Egypte envoyées par toute la terre, ibid. Elles sont regardées comme la sûreté des villes, ibid.

REMEDES. Ceux que donnent les Juifs ne sont que des enchantements, p. 51.

REMOBOTHES, espèce de moines fort déréglés, p. 693.

PUISSANCE SÉCULIÈRE. En quoi elle diffère de la puissance ecclésiastique, p. 196, 392, 393.

REPAS. Celui d'un chrétien doit être précédé de la prière et de la lecture des livres saints, p. 697. REPROBATION. Ismaël et Esau sont la figure de la réprobation du peuple juif, p. 574. Sentiment de saint Jérôme sur la réprobation, p. 668.

RÉPUDIATION, Pourquoi la loi mosaïque la permettait, p. 108.

REPUTATION. On arrive au ciel par la bonne et la mauvaise réputation, p. 592.

RESTITUTA, femme romaine, p. 524. RESTITUER le bien qu'on a pris ou qu'on possède injustement, p. 296.

RESURRECTION. Preuve de la vérité de la résurrection de Jésus-Christ, p. 251. L'espérance de ressusciter doit nous faire tout souffrir, p. 89. Le corps qui meurt est celui qui ressuscitera, p. 304. Profession de foi de Rufin sur la résurrection de la chair, p. 454. L'Eglise d'Aquilée, en récitant le Symbole, ajoutait un mot à l'article de la résurrection, et au lieu de dire la résurrection de la chair, elle disait de cette chair, p. 454. Homélie de saint Chrysostôme sur la Résurrection des morts, p. 83; sur la Résurrection du Sauveur, ibid.

RHADAGAISE ravage l'Italie en 405, p. 639. RHETICE (SAINT), évêque d'Autun. Son commentaire sur le Cantique des cantiques. Saint Jérôme y trouve des fautes, p. 561.

RICHES. Ils ne sont que les dispensateurs de leurs biens, p. 244. Leurs inquiétudes sont plus fâcheuses que celles des pauvres, p. 268. Saint Chrysostôme déclame contre la sûreté des riches, p. 298 et 306.

RICHESSES. Vanité des richesses et des grandeurs

humaines, exemple, p. 119, 120. Richesses et pauvreté bonnes ou mauvaises selon l'usage, p. 116. Ce n'est que l'abus des richesses que Dieu condamne, P. 194.

RIDEAUX du sanctuaire. On les tirait un peu avant la communion, p. 414.

RIPARIUS, prêtre espagnol à qui saint Jérôme écrit, p. 644.

ROMAIN (SAINT), diacre de Césarée en Palestine, et martyr à Antioche, p. 93. Saint Chrysostome fait son éloge, ibid.

ROME. Sou siége et son sac par Alaric, p. 505, 506 et 507. Pélage y découvre son hérésie, p. 543. Rome, source des Eglises d'Italie, des Gaules, des Espagnes, etc., p. 518. Evêchés proches de Rome, p. 521. L'Eglise de Rome est sainte: on y voit les trophées des apôtres et des martyrs, p. 618.

RUFIN, prêtre d'Aquilée. Sa patrie, sa naissance vers l'an 346, p. 448. Rufin se retire dans un monastère, ibid. Il y est baptisé en 371, ibid. Il lie amitié avec saint Jérôme en 371 et 372, p. 448. Il va en Orient en 374, p. 348 et 349. Saint Jérôme lui écrit, p. 580 et 581. Il est persécuté pour la foi, p. 449. Il se retire à Jérusalem en 377, ibid. Il traduit en latin quelques ouvrages, ibid. Il reçoit la visite de saint Jérôme, p. 450. Il va à Edesse, ibid. Il traduit quelques écrits, ibid. Autres traductions de Rufin, ibid. et 451. Commencement des divisions entre Rufin et saint Jérôme, p. 451. Rufin va à Rome en 397, et traduit l'Apologie de saint Pamphile, p. 451, 452. Ses traductions font du bruit dans Rome, p. 452. Sa lettre au pape Athanase, ibid. Profession de foi pour Rufin, ibid. et p. 453. Lettre d'Anastase contre Rufin en 401, p. 453. Apologie de Rufin en 399 et 401, ibid. Analyse de cette Apologie, ibid. et suiv. Ecrits de saint Jérôme contre Rufin, qui y répond en 401, p. 457 et 458. Réplique de saint Jérôme, p. 458, 459. Fin des disputes entre saint Jérôme et Rufin, p. 459. Rufin traduit l'Histoire d'Eusèbe, ibid. Il va à Rome en 402 et 408, p. 450, 460. Il meurt en Sicile en 410, p. 460. Eloges donnés à Rufin, ibid. et p. 461, 462. Il faut distinguer Rufin d'Aquilée d'avec Rufin le pélagien, p. 462. Objec

SABBACE, solitaire très-vertueux, p. 489. SABELLIUS. Saint Chrysostôme le fait africain de naissance, p. 429. Ses erreurs, ibid.

SABINIEN, diacre infâme. Il s'enfuit de Rome pour éviter le châtiment de ses crimes, p. 640. Il se retire à Bethléem et y séduit une religieuse, ibid. Saint Jérôme l'exhorte à la pénitence, ibid.

SACERDOCE. Saint Chrysostôme écrit six livres sur le Sacerdoce, p. 33 et suiv. Le septième livre n'est pas de lui, p. 57. Il est de saint Ephrem, note 1. Le sacerdoce s'exerce sur la terre, mais il tire son origine du ciel, p. 37. Prérogatives du sacerdoce, ibid. SACREMENTS. L'indignité du ministre ne diminue pas la vertu des sacrements, p. 293.

S.

tion, ibid. et p. 463. Ecrits de Rufin d'Aquilée, p. 463. Il traduit plusieurs homélies d'Origène sur l'Ecriture, p. 463, 464; les livres de Josèphe, p. 464, 465; les œuvres attribuées à saint Clément, p. 465; l'Apologie de saint Pamphile, p. 465 et 466; le Pėriarchon d'Origène, p. 466; plusieurs discours de saint, Grégoire de Nazianze et de saint Basile, p. 466; les Sentences de Sixte, ibid. Exposition du Symbole par Rufin, p. 469 et suiv. Son Histoire ecclésiastique, p. 469, 470. Ce qu'il y a de plus remarquable dans cette Histoire, ihid. Vies des Pères écrites par Rufin, p. 470 et suiv. Divers sentiments sur l'auteur de cet ouvrage, ibid. Il est de Rufin et de Pétrone, p. 471, 472. Antiquité de ces Vies, p. 472, 473. Ce qu'on y trouve de plus remarquable, p. 473 et suiv. Autres Vies attribuées à Rufin, p. 475, 476. Explication des bénédictions des enfants de Jacob par Rufin, p. 476. Les commentaires sur les Prophètes Osée, Joël et Amos et sur les Psaumes ne sont pas de Rufin, p. 477 et suiv. Doctrine de Rufin sur les articles contenus dans le Symbole, p. 477, 478; sur l'origine de l'âme, p. 478; sur l'Ecriture sainte, p. 480, 481; sur l'Eglise, ibid; sur la composition du symbole, p. 481 et 482; sur l'invention de la croix, p. 482 et 483. Jugement des écrits de Rufin, p. 483. Edition de ses œuvres, ibid. et p. 484.

RUFIN, syrien de nation, pélagien, p. 462.

RUFIN, prêtre, différent de celui d'Aquilée. Saint Jérôme lui écrit, p. 561.

RUFIN, prêtre. Saint Chrysostome le presse d'aller prêcher en Phénicie, p. 134.

RUFIN, préfet du prétoire. Il est baptisé en 394, p. 716. Il est né le 27 novembre 395, p. 491.

RUFUS, évêque de Thessalonique. Le pape Innocent lui donne le soin de l'Illyrie orientale, p. 507. Il lui écrit en 412, p. 513.

RUSTIQUE, moine gaulois. Saint Jérôme lui écrit,

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SACRIFICE. Modestie et respect que l'on doit apporter au saint sacrifice, p. 80 et 82. Dispositions au saint sacrifice de la messe, p. 400 et 401. Sentiment de saint Chrysostôme sur le sacrifice de la messe, p. 399 et suiv. Sacrifice du cœur, p. 175.

SAINTS. Ils prient pour nous dans le ciel, p. 687. Sentiment de saint Chrysostôme sur l'invocation et l'intercession des saints, p. 421, 422.

SALAMINE, ville de Chypre, infectée de l'hérésie des marcionites, p. 136.

SALUSTE, prêtre de Constantinople. Il est repris de négligence par saint Chrysostôme, p. 135 et 136.

SALUT. La cause de notre salut ne vient pas de

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