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que vous alliez toujours vêtus de blanc : mais qu'il faut qu'en tous vos ornements (c'est-à-dire, qu'en tout ce que vous ferez) on voie toujours reluire un éclat de candeur et de netteté spirituelle; afin que vous puissiez dire avec Isaïe: Que mon âme se réjouisse au Seigneur, qui m'a revêtu d'une robe de saiut, et couvert d'un habit de joie (1 Is., LXI, 10), sachant et tenant pour certain, que ce qui nous paraît du pain n'est pas du pain, mais le corps de Jésus-Christ, et que ce qui nous paraît du vin, n'est pas du vin, quoique le goût le veuille ainsi, mais le sang de Jésus-Christ. C'est pour cela que David disait autrefois: Afin qu'avec l'huile l'homme embellisse son visage et que du pain il fortifie son cœur (Ps. CIII, 17). Fortifiez donc vos cœurs par l'usage de ce pain, et le recevez comme étant spirituel; que la joie remplisse vos âmes; et plaise à Dieu qu'un jour à découvert et sans voiles, et avec une conscience pure, elles puissent contempler en Dieu même cette majesté qu'elles ne voient ici que comme en un miroir, avançant ainsi de clarté en clarté vers Jésus-Christ Notre-Seigneur, à qui soit honneur, puissance et gloire dans tous les siècles des siècles ! Ainsi soit-il.

V. CATÉCHÈSE sur la premièr Epitre catholique

de saint Pierre, ch. II: Vous étant donc dépouillés de toute sorte d'impureté, de tromperie et d'esprit de médisance, etc.

Jusqu'ici, grâces à Dieu, nous vous avons suffisamment parlé du baptême, du chrême et de la réception du corps et du sang de Jésus-Christ. Il faut maintenant passer au reste, et achever de vous apprendre ce qui est nécessaire pour l'édification de vos âmes.

Vous avez vu que le diacre présentait au prêtre de l'eau pour laver ses mains (1), et à tous les autres prêtres qui étaient autour de l'autel. Croyez-vous qu'il ne donnât cette eau que pour nettoyer quelques ordures du corps? Ce n'est point cela: car nous avons soin de nous tenir propres avant que d'entrer dans I'Eglise; mais c'est pour marquer seulement que vous devez vous purifier de tous péchés el de tous dérèglements: parce que comme les actions sont représentées par les mains, on marque, en les lavant, l'innocence et la pureté des œuvres. N'avez-vous pas pris garde à ce que dit David, marquant en figure la cérémonie que nous pratiquons? Je laverai mes mains avec les justes, Seigneur, et je m'approcherai de votre autel (Ps. XXV,7). Le soin donc que nous prenons de laver nos mains, marque celui que nous devons avoir de tenir notre âme pure et exempte de péché. Le diacre dit ensuite tout haut: Embrassezvous tous, et aussitôt nous donnons tous le baiser (2). N'allez-pas vous imaginer que ce soit là comme le baiser que se donnent des amis qui se rencontrent dans les rues: ce 'n'en est pas un de cette nature, c'est un baiser qui unit étroitement les âmes, et par lequel

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on se promet réciproquement un oubli géné ral de toutes injures. Ce baiser donc ou ce salut signifie une parfaite réconciliation des cœurs, et qu'on a étouffé tout ressentiment et toute animosité. C'est pourquoi JésusChrist disait: Lorsque vous présentez un don à l'autel, si vous vous souvenez que votre frère a quelque sujet de se plaindre de vous, laissez là votre don devant l'autel, et allez auparavant vous réconcilier avec votre frère, puis vous reviendrez offrir votre don (Matth., V. 23). Je vous le répéte donc encore, ce baiser est une marque de réconciliation, et par conséquent il est saint. Ce qui fait dire à saint Paul Saluez-vous mutuellement par un saint baiser, et à saint Pierre, par un baiser de charité (Rom., XVI, 16; I. Cor., XVI, 20; 11 Cor. XIII, 12; I. Pierre, V) [et d'amour ]. Après cela le prêtre élevant sa voix dit tout haut, Elevez vos cœurs, Sursum corda. Car c'est véritablement en ce moment redoutable qu'il faut élever nos cœurs à Dieu, et non pas les abaisser vers la terre, pour s'appliquer à des affaires temporelles. Et c'est aussi pour cela que le prêtre s'adresse indifféremment à tous les assistants, et leur ordonne avec autorité de bannir en ce temps-là toutes

les pensées du monde et toutes les inquiétudes domestiques, afin de nenous appliquer qu'au Dieu du ciel et à l'amour qu'il a pour les hommes. Vous répondez: Nous les avons au Seigneur; marquant ainsi, que nous consentons à ce qu'il nous a dit. Mais donnez-vous de garde, mes frères, de prononcer cela des lèvres seulement, pendant que votre cœur sera tout occupé des soins de cette vie et rempli des vanités du siècle. Il est vrai que nous ne devrions jamais perdre Dieu de vue: mais si notre misère et notre infirmité naturelle ne nous permettent pas d'y penser toujours, tâchons du moins en ce temps-là de faire tous nos efforts pour nous appliquer uniquement à lui. Le prêtre ajoute: Rendons graces au Seigneur; et en vérité nous ne pouvons jamais assez lui en rendre, de ce qu'étant indignes, comme nous sommes, d'un don si précieux, il ne laisse pas de nous en faire part; et de ce qu'étant ses ennemis, il ne se contente pas de nous réconcilier avec lui, mais il nous donne encore l'esprit d'adoption pour nous faire devenir ses enfants. Vous répondez aussi : Cela est juste et raisonnable; et nous ne faisons en effet que ce qui est bien raisonnable et bien juste quand nous rendons grâces à Dieu. Mais (pour lui) quand il nous fait de si grands biens, c'est une action non pas de justice, mais qui surpasse toute justice; c'est pure grâce et pure miséricorde. Nous faisons mention dans la suite, du ciel et de la terre. de la mer, du soleil, de la lune, des astres et des créatures tant brutes que raisonnables, et tant visibles qu'invisibles, des anges, des archanges, des principautés, des trônes, des chérubins qui couvrent leur visage de leurs ailes, leur disant avec David: Glorifiez tous le Seigneur avec moi. Nous faisons aussi mention de ces chérubins qu'lsaïe voyait autour du, trône de Dieu, qui se couvraient le visage avec deux de leurs ailes, dont deux autres

leur cachaient les pieds, et qui volaient avec les deux autres, en disant : Saint, Saint, Saint, le Seigneur Dieu des armées. Quand nous récitons cette hymne sacrée que les séraphins chantent sans cesse devant Dieu, c'est pour entrer en communion avec la milice du ciel par cette divine psalmodie; et après nous être ainsi sanctifiés par des cantiques spirituels, nons prions ce Dieu și miséricordieux et si bon, qu'il lui plaise d'envoyer son SaintEsprit sur ces dons, afin qu'il fasse le pain corps de Jésus-Christ, et le vin sang de Jésus-Christ: car quand le Saint-Esprit descend sur quelque chose, il la sanctifie et la change. Après avoir accompli ce sacrifice spirituel, ce culte non sanglant, sur l'hostie propitiatoire, nous prions Dieu pour la paix générale des églises, pour la tranquillité du monde, pour les rois, pour les gens de guerre, pour nos alliés, pour les affligés et les malades, et en un mot, pour tous ceux qui ont besoin de quelque secours (en disant à Dieu ): Nous vous prions tous, Seigneur, et nous vous offrons ce sacrifice; pour nous souvenir aussi de ceux qui sont morts avant nous, et premièrement des patriarches, des prophètes, des apôtres et des martyrs, afin que par leur intercession et par leurs prières, il plaise à Dieu de recevoir favorablement les nôtres.

Nous prions ensuite pour les saints pères et les évêques défunts, et enfin pour tous ceux qui ont vécu avant nous (1); étant persuadés que leurs âmes reçoivent un grand soulagement des oraisons qu'on fait dans ce saint et redoutable sacrifice qui est sur l'autel. C'est ce que je vais vous faire comprendre par un exemple; car je sais qu'il y en a beaucoup qui doutent s'il est avantageux pour les morts d'en faire mémoire en ce sacrifice, soit qu'en sortant de ce monde leurs âmes se soient trouvées chargées ou exemptes de péchés. Imaginez-vous qu'un roi aura banni quelques-uns de ses sujets qui l'avaient offense; leurs parents viennent avec une soumission profonde, des couronnes en leurs mains, demander pardon et grâce pour eux. N'arrivera-t-il pas (souvent) que ce spectacle l'apaisera; et que s'il ne pardonne entièrement à ces exilés, il accordera du moins quelque soulagement et quelque modération à leurs peines? Ainsi quand nous prions pour les morts dans ce sacrifice, ce n'est pas une couronne de notre façon, mais Jésus-Christ même immolé pour nos péchés que nous offrons à son Père pour obtenir par lui les effets de sa miséricorde, aussi bien pour eux que pour nous. Nous venons ensuite à la prière que notre Sauveur a luimême enseignée à ses disciples. Et dans la pureté de notre conscience nous appelons Dieu notre Père, en lui disant : Notre Père, qui éles aux cieux. O merveilleux amour de Dieu pour les hommes ! Après que nous l'avons abandonné et que nous nous sommes laissé tomber dans les derniers désordres, il a bien voulu les oublier, et nous faire encore tant de grâce que de souffrir d'être appelé

(1) Prière et sacrifice pour tes morts.

notre Père: Notre Père, qui étes aux cieur. Et qu'est-ce qu'il faut entendre par les cieus, sinon ceux qui portent en eux l'image du Père céleste, et dans lesquels il habite? Que votre nom soit sanctifié. Le nom de Dieu est toujours saint, soit que nous le disions ou que nous ne le disions pas. Mais parce que fort souvent les pécheurs le profanent selon ces paroles rapportées par saint Paul: Vous étes cause que mon nom est blasphémé parmi les nations (Rom., II, 24; Is., LII, 50; Ezéch.. XXX, 20, nous demandons que ce nom soit sanctifié en nous, non comme s'il ne commençait que par là d'être saint, mais qu'il soit sanctifié en nous c'est-à-dire, quand nous serons sanctifiés nous-mêmes et que nous ferons des œuvres dignes de sanctification. Que votre règne arrive. C'est à une âme innocente et pure à qui il appartient de dire avec confiance: Que votre règne arrive. Celui qui aurait pratiqué cette leçon de saint Paul : Ne souffrez pas que le péché règne en votre corps mortel (Rom., VI, 14), et qui sera purifié en ses pensées, en ses actions et en ses paroles, pourra dire (hardiment) à Dieu : Que votre règne arrive. Que votre volonté soit faite sur la terre comme elle l'est dans le ciel. Les esprits bienheureux, les saints anges de Dieu font toujours sa volonté, comme il est dit dans les psaumes: Anges du Seigneur, bénissez-le tous, vous qu'il a faits si puissants, qui exécutez ses volontés (Ps. CII, 21). C'esdonc comme si vous faisiez ainsi votre prièt re: Que votre volonté, Seigneur, s'accomplisse en moi sur la terre, de même que les anges la font dans le ciel. Donnez-nous aujourd'hui notre pain supersubstantiel. Le pain commun n'est pas supersubstantiel; mais ce saint pain est un véritable pain supersubstantiel, puisqu'il fortifie la substance de notre âme. Il n'arrive point à ce pain ce qui arrive aux viandes communes; mais il est distribué par toute votre substance pour l'utilité de l'âme et du corps. Par ce mot, aujourd'hui, il faut entendre chaque jour. C'est saint Paul qui explique ainsi ce terme, pendant ce temps, dit-il, qui s'appelle aujour d'hui. Et pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés (Hébr., III, 13). Il est certain que nous avons très-souvent offensé Dieu par nos paroles et par nos pensées, et que nous faisons beaucoup d'actions qu'il condamne. Si nous disons que nous sommes sans péché, dit saint Jean, nous sommes des menteurs (Jean, 1, 8). C'est donc une manière de contrat que nous faisons avec Dieu, quand nous Jui demandons de nous pardonner nos fantes, de même que nous pardonnons celles de notre prochain. Et si nous faisons réflexion sur le grand avantage qui nous revient de si peu de chose, il n'y a point à balancer ni à prendre des délais pour nous exempter de pardonner les uns aux autres. C'est bien peu de chose sans doute que les fautes qu'on fait contre nous; elles sont si légères et méritent si peu d'attention, qu'on ne doit pas avoir de peine à les oublier; mais tout ce que nous faisons contre Dieu est bien d'une autre im

portance, et l'on n'en peut obtenir le pardon que de sa miséricorde. Prenez donc garde que pour n'avoir pas pardonné à votre prochain des fautes qui sont toujours petites, vous ne vous rendiez indigne du pardon de tant d'autres et de si grandes, dont vous êtes chargés envers Dieu. Ne nous induisez pas en tentation. Est-ce que Dieu nous voudrait enseigner par ces paroles à le prier que nous ne fussions jamais tentés? Mais s'il était ainsi, pourquoi serait-il dit ailleurs que celui qui n'a point été tenté est comme un homme de rebut (cela se rapporte à Tob., XII, 13, ou à Eccli., XXXIV, 9 et 11)? Et encore en un autre endroit: Mes frères, regardez comme le sujet d'une extrême joie les diverses tentations qui vous arrivent (Jacq., I, 2). C'est donc peut-être qu'entrer en tentation signifie (ici) y succomber. Car la tentation ressemble

un torrent impétueux et très-difficile à passer. Ceux qui comme de bons nageurs y résistent vigoureusement, en deviennent les maîtres, et il ne les emporte point; ceux qui s'abandonnent lâchement à son impétuosité, il les entraîne et les fait périr. Judas, par exemple, se rendit à la tentation de l'avarice; au lieu de la combattre il se laissa submerger, et il y perdit en même temps l'âme et le corps. Saint Pierre au contraire entre assez avant dans la tentation, il y va jusqu'à la lâcheté de renier son maître; mais il se roidit ensuite, il fait effort contre le torrent pour n'en être pas entraîné, et vient enfin à le surmonter. Voyez en un autre lieu tout le chœur des saints qui rendent grâces à Dieu de les avoir délivrés des tentations. Vous nous avez éprouvés, Seigneur ; vous nous avez fait épurer par le feu, comme on y épure l'argent; vous nous avez fait tomber dans les piéges de nos ennemis: vous avez appesanti sur nous le joug de l'affliction; vous nous avez soumis à Ja cruauté des hommes; 'nous avons passé par l'eau et par le feu; et après tout cela, vous nous avez mis dans un lieu de rafraîchissement (Ps. LXV, 9). Remarquez comme ils parlent avec confiance de ce qu'ils ont passé par les tentations, et de ce qu'ils n'y sont point demeurés. Vous nous avez amenés dans le rafraichissement. Etre amené dans le rafraîchissement, c'est être délivré de la tentation. Mais délivrez-nous du malin. Ce malin est le démon, notre ennemi, dont nous demandons d'être délivrés. Si cette deman

de: Ne nous laissez point entrer en tentation, signifiait n'être point du tout tenté, il n'aurait point ajouté: Délivrez-nous du malin. Puis l'oraison finie, vous dites Amen. Et cet Amen, qui signifie Ainsi soit-il, sert de conclusion et comme de sceau à toute cette priè re que nous tenons de la propre bouche de Dieu. Le prêtre dit ensuite: Les choses saintes aux saints. Ces choses saintes sont les dons qui sont sur l'autel, et qui ont été sanctifiés par l'arrivée du St-Esprit. Et comme vous êtes pareillement devenus saints par la grâce du même Esprit, ces dons célestes vous conviennent aussi comme à des saints. Vous répondez: Il n'y a qu'un seul Saint et un seul Seigneur qui est Jésus-Christ. Et il est vrai que

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lui seul est saint par sa nature; et si vous êtes saints aussi, ce n'est pas par votre nature, c'est seulement par participation, par l'exercice et par la prière. Vous entendiez après cela qu'avec un chant mélodieux et divin on vous invitait à la communion des mystères sacrés, par ces paroles : Goûtez et voyez combien le Seigneur est doux (Psaume XXXIII, 8). N'en laissez pas juger à vos sens, mais soumettez-vous à une foi sincère et exempte de toute incertitude: car ce n'est pas du pain et du vin qu'on vous recommande de goûter, mais l'antitype du corps et du sang de Jésus-Christ (1). Quand vous approcherez donc de cette sainte table. n'ayez pas les mains étendues, ni les doigts écartés; mais faisant de votre main gauche une espèce de trône sous la droite, comme celle qui doit recevoir le Roi, recevez dans le creux de celle-ci le corps de Jésus-Christ en disant Amen ; et communiez ensuite, après avoir sanctifié vos yeux par l'attouchement de ce divin corps. Mais gardez-vous bien de rien laisser perdre de ce que vous recevrez : car ce serait comme si vous aviez perdu quelque partie de vos membres. Et en effet, dites-inoi, je vous prie, si quelqu'un vous avait donné quelques morceaux d'or, ne les conserveriez-vous pas avec grand soin, de crainte d'en perdre la moindre chose? Et combien devez-vous donc être plus soigneux de ne laisser pas tomber la moindre partic de ce qui est incomparablement plus précieux que tout l'or et toutes les pierreries du monde? Après la communion du corps de JésusChrist, approchez-vous aussi du calice de son sang; non pas en étendant les mains, mais le corps courbé vers la terre en posture de respect et d'adoration; et en disant encore Amen, soyez sanctifiés par le sang de Jésus-Christ que vous recevez. Pendant même que vos lèvres sont encore un peu mouillées, consacrez-en de la main le front, les yeux et les autres organes de vos sens; et enfin en attendant l'oraison, rendez grâces à Dieu de vous avoir rendus dignes de participer à de si grands mystères. Souvenezvous bien de ces instructions; n'offensez personne; que le schisme ne vous sépare jamais de la communion; que le péché ne vous la fasse jamais interdire; que le Dieu de paix vous sanctifie si parfaitement, que vos âmes et vos corps conservent toute leur pureté pour l'avénement de Notre-Seigneur Jésus-Christ, à qui soit honneur, gloire et puissance avec le Père et le Saint-Esprit dans toute l'éternité. Ainsi soit-il.

CHAPITRE PREMIER.

Saint Ambroise sur les nouveaux baptisés.

Après vous avoir entretenus de ce qui regarde les mœurs (environ l'an 370), en vous exposant les actions des patriarches, et quei

(1) Sur le mot d'antitype, mal expliqué par les protes tants, et qui signifie en plusieurs endroits, comme en cc. lui-ci, non pas figure, mais communication et impression de l'essence. Foyez le cardinal du Perron, de l'Eucharistie, liv. II, ch. 1, liv. 1, ch. 15, et autres endroits.

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