 de joie, vous n'aurez plus la force de retenir vos larmes prêtes à couler & de vous dire à vous-même : mais peutêtre que cela n'ejl pas vrai. Cette penfée a été éloignée de vous peu-à-peu & elle eft fi loin qu'elle ne fe  Journal étranger - Page 81762Affichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Samuel Richardson - 1766
...au Poete de les rompre ! C'eft alors qu'affaiffés de douleur ou tranfDERïCHARI>SOK. xiij portés de joie , vous n'aurez plus la force de retenir vos larmes prêtes à couler, 8c de vous dire à vous-mêmes : mais peutetre que cela rftfi pas vrai. Cette penfée a éte éloignée... | |
 | François Arnaud, Jean Baptiste Antoine Suard - 1768 - 594 pages
...moment où il plaira au poète de les rompre J C'eft alors ' qu'affaiffé de douleur ou tranfporté de : joie, vous n'aurez plus la force de retenir vos...vous-même : mais peutêtre que cela nejl pas vrai. Cette pen- - ! fée a été éloignée de vous peu-à-peu, & elle efl fi loin qu'elle ne fe préfen- •'... | |
 | François Arnaud - 1768
...au moment où il plaira au poëte de les rompre ! C'eft alors qu'affairTé de douleur outranfporté de joie, vous n'aurez plus la force de retenir vos larmes prêtes à couler &C de vous dire à vous-même : mais peutêtre que cela, nejt pas vrai. Cette penfée a été éloignée... | |
 | abbé Prévost - 1784
...moment où il plaira au poëte de les rompre? C'eft alors qu'affaiiïesde douleur, ou tranfportés de joie, vous n'aurez plus la force de retenir vos larmes prêtes à couler, ôc de vous dire à vous-mêmes : mais peut-être que cela n'eft pas vrai. Cette penfée a été éloignée... | |
 | François Arnaud - 1804
...moment où il plaira au poète de les rompre ! C'est «lors qu'affaissé de douleur ou transporté de joie , vous n'aurez plus la force de retenir vos larmes prêtes à couler et de vous dire à vous - même : Jhais peut - être que cela ri est pas vrai. Cette pensée a été... | |
 | Denis Diderot - 1821
...au moment où il plaira au poète de les rompre ! C'est alors qu'affaissé de douleur ou transporté de joie, vous n'aurez plus la force de retenir vos larmes prêtes à couler, et de vous dire à vous-même : Mais peut-être que cela n'est pas vrai. Cette pensée a été éloignée... | |
 | Octave Mirbeau. Préfaces de Pierre Michel - 2003 - 2693 pages
...au moment où il plaira au poète de les rompre ! C'est alors qu'affaissé de douleur ou transporté de joie, vous n'aurez plus la force de retenir vos larmes prêtes à couler et de vous dire à vous-même : Mais peut-être que cela n'est pas vrai. Cette pensée a été éloignée... | |
 | Octave Mirbeau, nouvelle présentée par Pierre Michel - 2007 - 52 pages
...au moment où il plaira au poète de les rompre ! C'est alors qu'affaissé de douleur ou transporté de joie, vous n'aurez plus la force de retenir vos larmes prêtes à couler et de vous dire à vous-même : Mais peut-être que cela n'est pas vrai Cette pensée a été éloignée... | |
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