| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1803 - 1014 pages
...point critique et capital. Obligé d'entreprendre un voyage fatal, J'ai perdu malgré moi ma maîtresse de vue ; Je ne sais, qui plus est, ce qu'elle est devenue. Nous nous sommes écrits d'abord exactement, Et ses lettres suivoient les miennes promptement ; Mais elle a tout-à-coup... | |
| 1810 - 672 pages
...critique et capital. Obligé d'entreprendre un voyage fatal , J'ai perdu malgré moi ma maîtresse de vue ; Je ne sais, qui plus est , ce qu'elle est devenue. Nous nous sommes écrits d'abord exactement , Et ses lettres suivoient les miennes prompti'inent ; Mais elle a tout... | |
| 1810 - 636 pages
...critique et capital. Obligé d'entreprendre un voyage fatal , J'ai perdu malgré moi ma maîtresse de vue ; Je ne sais, qui plus est, ce qu'elle est devenue. Nous nous sommes écrits d'abord exactement, Et ses lettres suivoient les miennes prompicmein ; Mais elle a tout à... | |
| 1824 - 798 pages
...point critique et capital. Obligé d'entreprendre un voyage fatal , J'ai perdu malgré moi ma ma<tresse de vue ; Je ne sais, qui plus est , ce qu'elle est devenue. Nous nous sommes écrits d'abord exactement , Et ses lettres suivoient les miennes piomptement; Mais elle a tout à... | |
| 1845 - 508 pages
...point critique et capital. Obligé d'entreprendre un voyage fatal, J'ai perdu malgré moi ma maîtresse de vue : Je ne sais , qui plus est , ce qu'elle est devenue. Nous nous sommes écrit d'ahord exactement , Et ses lettres suivaient les miennes promptement : Mais elle atout à coup... | |
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