Les nouvelles françoises: ou, Les divertissemens de la princesse Aurelie, Volume 2Chez D. Mouchet, 1722 |
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Page 207
... Duc de Bourgogne qui étoit un homme plus ambitieux que charitable n'avoit garde de s'attirer un fi puiffant ennemi . Il fe contentoit de laiffer vivre en fureté le Duc de Clarence ( c'est ainsi que s'ap- pelloit ce Prince qui toit réfu ...
... Duc de Bourgogne qui étoit un homme plus ambitieux que charitable n'avoit garde de s'attirer un fi puiffant ennemi . Il fe contentoit de laiffer vivre en fureté le Duc de Clarence ( c'est ainsi que s'ap- pelloit ce Prince qui toit réfu ...
Page 210
... Duc de Clarence avoit un Muficien de fon pays qui étoit en grande réputation ; il l'ame- noit fouvent à la Princeffe , parce qu'elle aimoit la Mufique : & com- me il ne chantoit d'ordinaire que : des airs Italiens ou Anglois , la ...
... Duc de Clarence avoit un Muficien de fon pays qui étoit en grande réputation ; il l'ame- noit fouvent à la Princeffe , parce qu'elle aimoit la Mufique : & com- me il ne chantoit d'ordinaire que : des airs Italiens ou Anglois , la ...
Page 214
... Duc de Clarence y étoit fort affidu , tant parce que la Princeffe fembloit s'y plaire , que parce que la compagnie fe divifant felon les loix de ces pe- tits jeux , on le mettoit prefque toûjours auprès de la Princeffe , par rapport à ...
... Duc de Clarence y étoit fort affidu , tant parce que la Princeffe fembloit s'y plaire , que parce que la compagnie fe divifant felon les loix de ces pe- tits jeux , on le mettoit prefque toûjours auprès de la Princeffe , par rapport à ...
Page 216
... Duc de Clarence crut qu'il n'y avoit perfonne plus pro- pre à faire réuffir fon deffein que lui : ne pouvant s'imaginer qu'un homme de la condition dont il paroiffoit être , put avoir d'autres pensées en cette Cour que celle d'y faire ...
... Duc de Clarence crut qu'il n'y avoit perfonne plus pro- pre à faire réuffir fon deffein que lui : ne pouvant s'imaginer qu'un homme de la condition dont il paroiffoit être , put avoir d'autres pensées en cette Cour que celle d'y faire ...
Page 218
... Duc de Clarence l'eut pû fouhaiter pour lui - même : car il frouva la Princeffe fort difpofée pour l'écouter . Elle avoit paffé la journée feule , & elle ne l'apper- çut pas plutôt qu'elle s'approcha de lui , pour lui 218 Les Nouvelles.
... Duc de Clarence l'eut pû fouhaiter pour lui - même : car il frouva la Princeffe fort difpofée pour l'écouter . Elle avoit paffé la journée feule , & elle ne l'apper- çut pas plutôt qu'elle s'approcha de lui , pour lui 218 Les Nouvelles.
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Les nouvelles Françoises, ou les divertissemens de la Princesse ..., Volume 2 Jean Regnault de Segrais Affichage du livre entier - 1722 |
Les nouvelles françoises, ou Les divertissemens de la princesse ..., Volume 2 Jean Regnault de Segrais Affichage du livre entier - 1657 |
Les nouvelles françoises: ou, Les divertissemens de la princesse ..., Volume 2 Jean Regnauld de Segrais Affichage du livre entier - 1741 |
Expressions et termes fréquents
affez agréable aifé aimer Ainfi ajoûta Amant Aronde auffi auffi-tôt avanture avoient avoit ayant Bajazet bien-tôt Bourgogne c'eft c'eſt c'étoit caufe cauſe ceffe charmes chofe choſe Comte de Clermont confeil confidération confolation connoître coûtume croyoit cruel Dame deffein déja devoit difcours Duc de Bourgogne Duc de Clarence efprit eſt étoient étoit faifoit falloit fans doute fçavoir fe trouva femble fentir feroit fervir feule Floridon foit fon amour fon maître fon pere fon Rival fonger fouffrir fouhaiter foupçon fouvent Frontenie fuis fujet grace homme interêts j'ai l'efprit laiffer long-tems maiſon maîtreffe Mathilde ment mifere Montafilant Montrofe Montroſe mort n'avoit n'eft n'eſt paffer paffion paroles penfée perfonne plaifir plûtôt poffible pouvoit Prefentes prefque Prince Princeffe Princeſſe puiffe puifque raifon réfolution reux rien ſes Silerite ſon Sultane tems thilde toûjours trifte vouloit voulut voyoit
Fréquemment cités
Page 426 - Eh bien ! parjure et déloyal, jure maintenant que tu n'aimes que moi, lui dit-elle en lui montrant les deux lettres de Floridon qu'elle tenait encore ouvertes. Fais autant de serments pour justifier mon ennemie, que tu m'en as fait de faux pour me faire croire que tu m'aimais. Perfide et trompeur! Pouvais-je m'imaginer que sous ces traits si innocents tu cachasses une âme si double et si traîtreuse? Ingrat! tu ne respires que par ma bouté!...