Les nouvelles françoises: ou, Les divertissemens de la princesse Aurelie, Volume 2Chez D. Mouchet, 1722 |
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Page 48
... cruel tourment Votre douceur veut que j'espere ; Mais helas ! quand je lui veux plaire , Votre rigueur en ordonne autrement : Votre douceur m'attire à foi , Votre rigueur me défefpere ; Que croirai - je , que dois - je faire ? Amour ...
... cruel tourment Votre douceur veut que j'espere ; Mais helas ! quand je lui veux plaire , Votre rigueur en ordonne autrement : Votre douceur m'attire à foi , Votre rigueur me défefpere ; Que croirai - je , que dois - je faire ? Amour ...
Page 110
... cruel , qu'au refte il avoit affez long - tems eflàyé la douceur : qu'il lui importoit d'éprouver fi cette rudeffe qui venoit de la part du Roy , ne lui feroit point plus pro- fitable . Peu à peu il faifoit goû ter fes raifons à ce ...
... cruel , qu'au refte il avoit affez long - tems eflàyé la douceur : qu'il lui importoit d'éprouver fi cette rudeffe qui venoit de la part du Roy , ne lui feroit point plus pro- fitable . Peu à peu il faifoit goû ter fes raifons à ce ...
Page 129
... cruels ennuis , il verfa un torrent de larmes , & proféra les plus triftes paroles que jamais la douleur ait fait dire à ... cruel Ri- val qui es encore plus heureux que moi dans les bras de la mort ! quelles recompenfes peus - tu me ...
... cruels ennuis , il verfa un torrent de larmes , & proféra les plus triftes paroles que jamais la douleur ait fait dire à ... cruel Ri- val qui es encore plus heureux que moi dans les bras de la mort ! quelles recompenfes peus - tu me ...
Page 137
... cruel amour , qui malgré mes difgraces fais pourtant toutes les délices de ma vie ! ; Cette reflexion ne pouvoit paf- fer dans fon efprit , fans y exci- ter de grands tumultes mais comme il panchoit déja tout à fait de l'autre côté , l ...
... cruel amour , qui malgré mes difgraces fais pourtant toutes les délices de ma vie ! ; Cette reflexion ne pouvoit paf- fer dans fon efprit , fans y exci- ter de grands tumultes mais comme il panchoit déja tout à fait de l'autre côté , l ...
Page 138
... cruel maître ne me manquera pas à ce befoin . Et dans le défefpoir où je fuis , j'en ob- tiendrai du moins cette grace , qu'il ne laiffera pas languir long- tems le Raviffeur de Mathilde . Cependant ô pere qui m'as trop aimé ! ô pere ...
... cruel maître ne me manquera pas à ce befoin . Et dans le défefpoir où je fuis , j'en ob- tiendrai du moins cette grace , qu'il ne laiffera pas languir long- tems le Raviffeur de Mathilde . Cependant ô pere qui m'as trop aimé ! ô pere ...
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Les nouvelles Françoises, ou les divertissemens de la Princesse ..., Volume 2 Jean Regnault de Segrais Affichage du livre entier - 1722 |
Les nouvelles françoises, ou Les divertissemens de la princesse ..., Volume 2 Jean Regnault de Segrais Affichage du livre entier - 1657 |
Les nouvelles françoises: ou, Les divertissemens de la princesse ..., Volume 2 Jean Regnauld de Segrais Affichage du livre entier - 1741 |
Expressions et termes fréquents
affez agréable aifé aimer Ainfi ajoûta Amant Aronde auffi auffi-tôt avanture avoient avoit ayant Bajazet bien-tôt Bourgogne c'eft c'eſt c'étoit caufe cauſe ceffe charmes chofe choſe Comte de Clermont confeil confidération confolation connoître coûtume croyoit cruel Dame deffein déja devoit difcours Duc de Bourgogne Duc de Clarence efprit eſt étoient étoit faifoit falloit fans doute fçavoir fe trouva femble fentir feroit fervir feule Floridon foit fon amour fon maître fon pere fon Rival fonger fouffrir fouhaiter foupçon fouvent Frontenie fuis fujet grace homme interêts j'ai l'efprit laiffer long-tems maiſon maîtreffe Mathilde ment mifere Montafilant Montrofe Montroſe mort n'avoit n'eft n'eſt paffer paffion paroles penfée perfonne plaifir plûtôt poffible pouvoit Prefentes prefque Prince Princeffe Princeſſe puiffe puifque raifon réfolution reux rien ſes Silerite ſon Sultane tems thilde toûjours trifte vouloit voulut voyoit
Fréquemment cités
Page 426 - Eh bien ! parjure et déloyal, jure maintenant que tu n'aimes que moi, lui dit-elle en lui montrant les deux lettres de Floridon qu'elle tenait encore ouvertes. Fais autant de serments pour justifier mon ennemie, que tu m'en as fait de faux pour me faire croire que tu m'aimais. Perfide et trompeur! Pouvais-je m'imaginer que sous ces traits si innocents tu cachasses une âme si double et si traîtreuse? Ingrat! tu ne respires que par ma bouté!...