Les nouvelles françoises: ou, Les divertissemens de la princesse Aurelie, Volume 2Chez D. Mouchet, 1722 |
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... l'ame dans la confusion , & alterent fi fouvent la candeur & la fincerité des moeurs . Mais la fortune qui l'avoit poursuivi avec tant d'opiniâtreté , vint l'at- taquer jufqu'en fon fort , & ne ... l'amour de fa Patrie à 16 Les Nouvelles.
... l'ame dans la confusion , & alterent fi fouvent la candeur & la fincerité des moeurs . Mais la fortune qui l'avoit poursuivi avec tant d'opiniâtreté , vint l'at- taquer jufqu'en fon fort , & ne ... l'amour de fa Patrie à 16 Les Nouvelles.
Page 7
... l'amour de fa Patrie à ces glorieufes con- quêtes où il eut tant de part . Guil- laume , que le Roy fon pere af- fectionnoit plus qu'aucun , l'avoit fuivi en Angleterre , le Prince Henry étoit demeuré en Nor- mandie avec la Reine fa ...
... l'amour de fa Patrie à ces glorieufes con- quêtes où il eut tant de part . Guil- laume , que le Roy fon pere af- fectionnoit plus qu'aucun , l'avoit fuivi en Angleterre , le Prince Henry étoit demeuré en Nor- mandie avec la Reine fa ...
Page 11
... l'ambition qui te tour- mente , découvre - moi ton cœur ; que peus - tu fouhaiter où je ne puiffe efperer de te faire parve- nir ? Si je te voyois attaché au- près de quelque maîtreffe , je croi- rois que l'amour pourroit caufer ton ...
... l'ambition qui te tour- mente , découvre - moi ton cœur ; que peus - tu fouhaiter où je ne puiffe efperer de te faire parve- nir ? Si je te voyois attaché au- près de quelque maîtreffe , je croi- rois que l'amour pourroit caufer ton ...
Page 12
... l'affection que j'ai pour toi , puiffe refufer ton fer- vice ; mais ce ne peut être l'amour qui caufe ton chagrin : tu me fem- ble trop éloigné de cette paffion pour t'en croire atteint ; ainfi ne fçachant à quoi imputer ce qui te rend ...
... l'affection que j'ai pour toi , puiffe refufer ton fer- vice ; mais ce ne peut être l'amour qui caufe ton chagrin : tu me fem- ble trop éloigné de cette paffion pour t'en croire atteint ; ainfi ne fçachant à quoi imputer ce qui te rend ...
Page 23
... l'a fait connoître de même . Le riche Teffon qui demeure à deux ou trois lieuës d'ici , eft fon oncle étant frere de ... amour ; mais jugez - en feu- lement par fa naiffance . Le pro- pre jour que j'arrivai d'Angle- terre , je trouvai ...
... l'a fait connoître de même . Le riche Teffon qui demeure à deux ou trois lieuës d'ici , eft fon oncle étant frere de ... amour ; mais jugez - en feu- lement par fa naiffance . Le pro- pre jour que j'arrivai d'Angle- terre , je trouvai ...
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Les nouvelles Françoises, ou les divertissemens de la Princesse ..., Volume 2 Jean Regnault de Segrais Affichage du livre entier - 1722 |
Les nouvelles françoises, ou Les divertissemens de la princesse ..., Volume 2 Jean Regnault de Segrais Affichage du livre entier - 1657 |
Les nouvelles françoises: ou, Les divertissemens de la princesse ..., Volume 2 Jean Regnauld de Segrais Affichage du livre entier - 1741 |
Expressions et termes fréquents
affez agréable aifé aimer Ainfi ajoûta Amant Aronde auffi auffi-tôt avanture avoient avoit ayant Bajazet bien-tôt Bourgogne c'eft c'eſt c'étoit caufe cauſe ceffe charmes chofe choſe Comte de Clermont confeil confidération confolation connoître coûtume croyoit cruel Dame deffein déja devoit difcours Duc de Bourgogne Duc de Clarence efprit eſt étoient étoit faifoit falloit fans doute fçavoir fe trouva femble fentir feroit fervir feule Floridon foit fon amour fon maître fon pere fon Rival fonger fouffrir fouhaiter foupçon fouvent Frontenie fuis fujet grace homme interêts j'ai l'efprit laiffer long-tems maiſon maîtreffe Mathilde ment mifere Montafilant Montrofe Montroſe mort n'avoit n'eft n'eſt paffer paffion paroles penfée perfonne plaifir plûtôt poffible pouvoit Prefentes prefque Prince Princeffe Princeſſe puiffe puifque raifon réfolution reux rien ſes Silerite ſon Sultane tems thilde toûjours trifte vouloit voulut voyoit
Fréquemment cités
Page 426 - Eh bien ! parjure et déloyal, jure maintenant que tu n'aimes que moi, lui dit-elle en lui montrant les deux lettres de Floridon qu'elle tenait encore ouvertes. Fais autant de serments pour justifier mon ennemie, que tu m'en as fait de faux pour me faire croire que tu m'aimais. Perfide et trompeur! Pouvais-je m'imaginer que sous ces traits si innocents tu cachasses une âme si double et si traîtreuse? Ingrat! tu ne respires que par ma bouté!...