Les nouvelles françoises: ou, Les divertissemens de la princesse Aurelie, Volume 2Chez D. Mouchet, 1722 |
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Page 26
... maniere fi extraordinaire . J'éxécutai pourtant mon dessein , & par là , Seigneur , j'eus l'hon- neur d'être connu de vous ! Nous allions nous battre cet enne- mi de mon père & moi , n'ayant pour fecond qu'un Gentil - hom- me qui étoit ...
... maniere fi extraordinaire . J'éxécutai pourtant mon dessein , & par là , Seigneur , j'eus l'hon- neur d'être connu de vous ! Nous allions nous battre cet enne- mi de mon père & moi , n'ayant pour fecond qu'un Gentil - hom- me qui étoit ...
Page 45
... en avoir vû quel quefois ; mais parmi ces lettres , deux petits papiers qui étoient pliez fans fufcription , & d'une autre maniere que celle dont il avoit de coûtume de plier les fiens , tentérent merveilleufement Françoifes . 45.
... en avoir vû quel quefois ; mais parmi ces lettres , deux petits papiers qui étoient pliez fans fufcription , & d'une autre maniere que celle dont il avoit de coûtume de plier les fiens , tentérent merveilleufement Françoifes . 45.
Page 110
... de fa maîtreffe & non pas fon Rival , & comme il ne pouvoit parler , il voulut que ce fut de- vant lui que fon confident l'en- tretint de la maniere qu'ils en étoient auparavant demeurez d'accord ; ce fut à peu près IIO Les Nouvelles.
... de fa maîtreffe & non pas fon Rival , & comme il ne pouvoit parler , il voulut que ce fut de- vant lui que fon confident l'en- tretint de la maniere qu'ils en étoient auparavant demeurez d'accord ; ce fut à peu près IIO Les Nouvelles.
Page 194
... maniere toutefois qu'elle lui laiffoit toû- jours lieu de croire qu'elle en étoit bien aife : & de cette forte , ce Prince ne fe pouvant garentir d'un appas fi dangereux , tomba dedans à la fin ; mais de forte qu'il ne 194 Les Nouvelles.
... maniere toutefois qu'elle lui laiffoit toû- jours lieu de croire qu'elle en étoit bien aife : & de cette forte , ce Prince ne fe pouvant garentir d'un appas fi dangereux , tomba dedans à la fin ; mais de forte qu'il ne 194 Les Nouvelles.
Page 195
... maniere que fi fon ef poir diminuoit , fon respect aug- mentoit . Quelquefois rentrant en lui - même , il fe demandoit quel étoit fon deffein , & fouvent il s'en faifoit la guerre fecrete- ment ; mais plus fouvent encore il fe trouvoit ...
... maniere que fi fon ef poir diminuoit , fon respect aug- mentoit . Quelquefois rentrant en lui - même , il fe demandoit quel étoit fon deffein , & fouvent il s'en faifoit la guerre fecrete- ment ; mais plus fouvent encore il fe trouvoit ...
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Les nouvelles Françoises, ou les divertissemens de la Princesse ..., Volume 2 Jean Regnault de Segrais Affichage du livre entier - 1722 |
Les nouvelles françoises, ou Les divertissemens de la princesse ..., Volume 2 Jean Regnault de Segrais Affichage du livre entier - 1657 |
Les nouvelles françoises: ou, Les divertissemens de la princesse ..., Volume 2 Jean Regnauld de Segrais Affichage du livre entier - 1741 |
Expressions et termes fréquents
affez agréable aifé aimer Ainfi ajoûta Amant Aronde auffi auffi-tôt avanture avoient avoit ayant Bajazet bien-tôt Bourgogne c'eft c'eſt c'étoit caufe cauſe ceffe charmes chofe choſe Comte de Clermont confeil confidération confolation connoître coûtume croyoit cruel Dame deffein déja devoit difcours Duc de Bourgogne Duc de Clarence efprit eſt étoient étoit faifoit falloit fans doute fçavoir fe trouva femble fentir feroit fervir feule Floridon foit fon amour fon maître fon pere fon Rival fonger fouffrir fouhaiter foupçon fouvent Frontenie fuis fujet grace homme interêts j'ai l'efprit laiffer long-tems maiſon maîtreffe Mathilde ment mifere Montafilant Montrofe Montroſe mort n'avoit n'eft n'eſt paffer paffion paroles penfée perfonne plaifir plûtôt poffible pouvoit Prefentes prefque Prince Princeffe Princeſſe puiffe puifque raifon réfolution reux rien ſes Silerite ſon Sultane tems thilde toûjours trifte vouloit voulut voyoit
Fréquemment cités
Page 426 - Eh bien ! parjure et déloyal, jure maintenant que tu n'aimes que moi, lui dit-elle en lui montrant les deux lettres de Floridon qu'elle tenait encore ouvertes. Fais autant de serments pour justifier mon ennemie, que tu m'en as fait de faux pour me faire croire que tu m'aimais. Perfide et trompeur! Pouvais-je m'imaginer que sous ces traits si innocents tu cachasses une âme si double et si traîtreuse? Ingrat! tu ne respires que par ma bouté!...