Les nouvelles françoises: ou, Les divertissemens de la princesse Aurelie, Volume 2Chez D. Mouchet, 1722 |
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Page 25
... n'étoit point alors dans ce Château , il fe promenoit dans la forêt , & comme on me dit qu'il reviendroit bien - tôt , afin de ne donner point de foupçon de mon deffein , je crus que j'étois obligé de demander fa femme , Tome II . C ...
... n'étoit point alors dans ce Château , il fe promenoit dans la forêt , & comme on me dit qu'il reviendroit bien - tôt , afin de ne donner point de foupçon de mon deffein , je crus que j'étois obligé de demander fa femme , Tome II . C ...
Page 58
... n'étoit que quand Clemence avoit quelque chofe à lui dire de la part de fa maîtreffe , elle l'en avertiffoit le jour d'auparavant , & il l'alloit trouver en cette maison , en quel- qu'Eglife , ou en quelqu'autre en- droit ; variant le ...
... n'étoit que quand Clemence avoit quelque chofe à lui dire de la part de fa maîtreffe , elle l'en avertiffoit le jour d'auparavant , & il l'alloit trouver en cette maison , en quel- qu'Eglife , ou en quelqu'autre en- droit ; variant le ...
Page 64
... muraille en- tretenir ceux qui étoient dans la ruë . La Ville de Caën n'étoit pas encore fi grande qu'elle l'est au- jourd'hui , & ce lieu étoit par con féquent féquent encore plus défert qu'il ne l'eft à prefent . Les Nouvelles.
... muraille en- tretenir ceux qui étoient dans la ruë . La Ville de Caën n'étoit pas encore fi grande qu'elle l'est au- jourd'hui , & ce lieu étoit par con féquent féquent encore plus défert qu'il ne l'eft à prefent . Les Nouvelles.
Page 69
... n'étoit pas une petite confolation pour lui : car comme la paffion d'a- mour dans les efprits généreux eft de telle nature qu'elle augmen te par les difficultez , fa maîtreffe lui faifoit voir tant de conftance , qu'il avoit lieu d'en ...
... n'étoit pas une petite confolation pour lui : car comme la paffion d'a- mour dans les efprits généreux eft de telle nature qu'elle augmen te par les difficultez , fa maîtreffe lui faifoit voir tant de conftance , qu'il avoit lieu d'en ...
Page 72
... n'étoit pas encore couchée non plus qu'elle , voulut s'o- pofer par fes cris à cette injufte violence ; mais cet homme qui étoit avec le Prince , lui mit un poignard fur la gorge , & la mena- ça de la tuer fi elle crioit . Ne voulant ...
... n'étoit pas encore couchée non plus qu'elle , voulut s'o- pofer par fes cris à cette injufte violence ; mais cet homme qui étoit avec le Prince , lui mit un poignard fur la gorge , & la mena- ça de la tuer fi elle crioit . Ne voulant ...
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Les nouvelles Françoises, ou les divertissemens de la Princesse ..., Volume 2 Jean Regnault de Segrais Affichage du livre entier - 1722 |
Les nouvelles françoises, ou Les divertissemens de la princesse ..., Volume 2 Jean Regnault de Segrais Affichage du livre entier - 1657 |
Les nouvelles françoises: ou, Les divertissemens de la princesse ..., Volume 2 Jean Regnauld de Segrais Affichage du livre entier - 1741 |
Expressions et termes fréquents
affez agréable aifé aimer Ainfi ajoûta Amant Aronde auffi auffi-tôt avanture avoient avoit ayant Bajazet bien-tôt Bourgogne c'eft c'eſt c'étoit caufe cauſe ceffe charmes chofe choſe Comte de Clermont confeil confidération confolation connoître coûtume croyoit cruel Dame deffein déja devoit difcours Duc de Bourgogne Duc de Clarence efprit eſt étoient étoit faifoit falloit fans doute fçavoir fe trouva femble fentir feroit fervir feule Floridon foit fon amour fon maître fon pere fon Rival fonger fouffrir fouhaiter foupçon fouvent Frontenie fuis fujet grace homme interêts j'ai l'efprit laiffer long-tems maiſon maîtreffe Mathilde ment mifere Montafilant Montrofe Montroſe mort n'avoit n'eft n'eſt paffer paffion paroles penfée perfonne plaifir plûtôt poffible pouvoit Prefentes prefque Prince Princeffe Princeſſe puiffe puifque raifon réfolution reux rien ſes Silerite ſon Sultane tems thilde toûjours trifte vouloit voulut voyoit
Fréquemment cités
Page 426 - Eh bien ! parjure et déloyal, jure maintenant que tu n'aimes que moi, lui dit-elle en lui montrant les deux lettres de Floridon qu'elle tenait encore ouvertes. Fais autant de serments pour justifier mon ennemie, que tu m'en as fait de faux pour me faire croire que tu m'aimais. Perfide et trompeur! Pouvais-je m'imaginer que sous ces traits si innocents tu cachasses une âme si double et si traîtreuse? Ingrat! tu ne respires que par ma bouté!...