Les aïeux de FigaroL. Hachette, 1868 - 300 pages |
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... tombe avec grâce et se relève , se redresse d'un bond , toujours gentil- homme avec cet affreux Stalinon , le grave ... tomber dans un piége honteux , sans le moindre respect pour la dignité du chef de famille ; l'autre n'ayant d'autre ...
... tombe avec grâce et se relève , se redresse d'un bond , toujours gentil- homme avec cet affreux Stalinon , le grave ... tomber dans un piége honteux , sans le moindre respect pour la dignité du chef de famille ; l'autre n'ayant d'autre ...
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... tombe . » Rappelle - toi le Par- ménon du Plokion , dans Ménandre ; le cervus bonæ frugi , dit Aulu - Gelle , attaché de cœur à la famille , à la maison où il sert , et plaignant l'homme auquel il appartient « avec l'émotion généreuse d ...
... tombe . » Rappelle - toi le Par- ménon du Plokion , dans Ménandre ; le cervus bonæ frugi , dit Aulu - Gelle , attaché de cœur à la famille , à la maison où il sert , et plaignant l'homme auquel il appartient « avec l'émotion généreuse d ...
Page 95
... . A la bonne heure ! CORBULON . Son bonnet tombe .... HILAIRE . Il l'a perdu ? CORBULON . Non , les gueux l'ont pris . HILAIRE . Et rendu ? CORBULON . D'aucune sorte . HILAIRE . Ah quelle perte ! Ce bonnet m'avait coûté EN ITALIE . 95.
... . A la bonne heure ! CORBULON . Son bonnet tombe .... HILAIRE . Il l'a perdu ? CORBULON . Non , les gueux l'ont pris . HILAIRE . Et rendu ? CORBULON . D'aucune sorte . HILAIRE . Ah quelle perte ! Ce bonnet m'avait coûté EN ITALIE . 95.
Page 108
... tombe , la posada nous reçoit tous pêle- mêle , hommes et femmes , maîtres et valets , mules et muletiers , dans la salle immense qui est à la fois la cuisine , le réfectoire , le parloir et l'écurie de la maison ; une simple cloison ...
... tombe , la posada nous reçoit tous pêle- mêle , hommes et femmes , maîtres et valets , mules et muletiers , dans la salle immense qui est à la fois la cuisine , le réfectoire , le parloir et l'écurie de la maison ; une simple cloison ...
Page 118
... tombés face contre terre ont le nez gros , les autres l'ont ca- mard . » Ainsi parle Citron jusqu'au bout de la pièce ... tombe est le frère de la jeune fille aimée par le meurtrier . Cette jeune fille est exé- crée par son père qui ne ...
... tombés face contre terre ont le nez gros , les autres l'ont ca- mard . » Ainsi parle Citron jusqu'au bout de la pièce ... tombe est le frère de la jeune fille aimée par le meurtrier . Cette jeune fille est exé- crée par son père qui ne ...
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Expressions et termes fréquents
Agnelet amoureux Arlequin auteurs avaient barbier Barbier de Séville beau Beaumarchais Boccace bouffon c'était carrosse Casina chose CINTIO Cléandre Cléostrate Clizia cœur comédie de l'art comédiens comique CORBULON coups Crispin d'autres DAMÈTE Dancourt devant Dieu dieux dire disait donne drame drôles dupe Éaque enfin Ésaü esclaves espagnol famille femme Figaro fille fils fourbe François Ier Frontin gaieté Gargullo gens Gil-Blas Gourville gracioso Grèce HILAIRE homme honnête Italiens j'ai jeune Jodelet jolies jouait jour l'Arioste l'esclave l'homme laquais Lisette Louis XIV Machiavel main maison maître Marivaux masque MÉNALQUE Ménandre ment Molière monde montre n'avait Nicomaque Olympion Pantomalus parle Pasquin passer Pathelin pauvre père personnage peuple pièce plaisir Plaute plébéien poëte premier prince Prologue qu'un répond rien rire Rome Sage Scapin Scaramouche scène seigneur serviteurs servitude seul siècle sort soubrette Stalinon Tabarin Tartufe TEMOLO Térence tête teur théâtre trouve Turcaret valet vieillard vieux voilà vrai Xanthias
Fréquemment cités
Page 221 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 186 - Oui, toujours des marquis, que diable voulez-vous qu'on prenne pour un caractère agréable de théâtre ? le marquis aujourd'hui est le plaisant de la comédie. Et comme dans toutes les comédies anciennes on voit toujours un valet bouffon qui fait rire les auditeurs, de même dans toutes nos pièces de maintenant, il faut toujours un marquis ridicule qui divertisse la compagnie.
Page 277 - J'aurais bien pu me remonter; je commençais même à comprendre que pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore.
Page 245 - Blas , me répondit-il : sache que, pour un homme de mon humeur, il n'ya point de situation plus agréable que la mienne. Le métier de laquais est pénible, je l'avoue, pour un imbécile ; mais il n'a que des charmes pour un garçon d'esprit. Un génie supérieur, qui se met en condition , ne fait pas son service matériellement comme un nigaud. Il entre dans une maison pour commander, plutôt que pour servir. Il commence par étudier son maître ; il se prête à ses défauts , gagne sa confiance...
Page 293 - C'est le peuple. Le peuple, qui a l'avenir et qui n'a pas le présent; le peuple, orphelin, pauvre, intelligent et fort; placé très bas, et aspirant très haut; ayant sur le dos les marques de la servitude et dans le cœur les préméditations du génie...
Page 293 - ... ayant sur le dos les marques de la servitude et dans le cœur les préméditations du génie ; le peuple, valet des grands seigneurs, et amoureux, dans sa misère et dans son abjection, de la seule figure qui, au milieu de cette société écroulée, représente pour lui, dans un divin rayonnement, l'autorité, la charité et la fécondité. Le peuple, ce serait Ruy Blas.
Page 229 - Que je suis las d'être valet \ Ah ! Crispin, c'est ta faute : tu as toujours donné dans la bagatelle ; tu devrais présentement briller dans la finance. Avec l'esprit que j'ai, morbleu ! j'aurais déjà fait plus d'une banqueroute.
Page 221 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 260 - ... point d'autre finesse que de venir se repaître de ce qui arrivera. Ce sont des émotions d'âme que ce peuple demande; les plus fortes sont les meilleures ; il cherche à vous plaindre si on vous outrage, à s'attendrir pour vous si on vous blesse, à frémir pour...
Page 281 - A moi, monsieur? Non, s'il vous plaît; moi, gâter par un vil salaire le bon service que j'ai fait ! ma récompense est de mourir chez vous. Jeune, si j'ai failli souvent, que ce jour acquitte ma vie!