Mercure françias1734 |
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Expressions et termes fréquents
accor Alcuin amour Angelique Anglois année Araminte Armées du Roy auroit avoient avoit avoüer Beuf Callirhée Camp cembre cembre doubles Chant Charlemagne Charles Chevalier Chimie Comédie Comte Comté de Bourgogne connoître crême de Tartre Critique Czersk Decembre déja differentes Dissertation Dlle donne Eccard Enfans étoient étoit feuë fille fils François Françoise de Mailly Frontin Griffard J'ai Jacques Janot joüée l'action de Dieu l'Amour l'Auteur l'Eglise Lettres Lieutenant General Lisette Livre Loüis Machaire Madame Amelin Mailly Maître maniere Maréchal Maréchal des Camps Mariane marié Marquis Medailles Medecine ment Mercure mois de Juin Monlezun Monsieur Montargis mort mourut Nehalennia nombre de treize nommé Novembre Octobre Ostrogoths Ouvrage Palatinat parle paroître particuliere Pere personnes Piece premiere Prince reçû ruë Saint Scamandre Sçavans Sçavants sçavoir Sciences Seigneur seroit sieur Silesie Simon Staroste sujet tems teur tion treize à table Troupes trouve verité veuve vient Vulcain
Fréquemment cités
Page 2542 - ... même dans les régiments qui sont à sa solde, et ne voulant point souffrir dans ses États des gens qui y sont comme vagabonds et sans aveu, pendant qu'ils peuvent être employés utilement dans lesdits régiments, Sa Majesté enjoint très expressément à tous les Anglais, Irlandais, Écossais , qui sont dans sa bonne ville de Paris et dans les autres villes et lieux de son royaume, sans vacation et sans emploi, âgés depuis 18 ans environ et jusqu'à 50, et en état de porter les armes,...
Page 2342 - ... prendre lui-même son fait et cause » ; mais il trouva des défenseurs officieux, et d'abord, selon toute apparence, l'abbé Lebeuf. Encore un grand savant compromis dans cette affaire, si, comme on ne peut guère en douter, il est l'auteur de la « Lettre écrite d'Auxerre à M. Maillart, avocat au Parlement « de Paris, pour soutenir la vérité du fond de l'histoire du chien - de Montargis...
Page 2372 - Monumens accordés aux illustres scavans pendant la suite des siècles. Où l'on donne une légère idée de l'Origine et du Progrès des Sciences et des Beaux-Arts...
Page 2344 - ... pour se tirer d'affaire ; il en a une à son service aussi solide qu'étendue ; mais cette érudition même le gêne plus qu'elle ne l'aide. Il en est réduit, en somme, à des raisonnements comme celui-ci : « II est vrai que nous n'avons point « d'écrivain du siècle même de l'événement qui « en ait fait mention ; mais il est ordinaire que « les histoires les plus singulières ne sont pas « celles qui sont écrites le plutôt. On suppose « qu'elles ont tellement frappé qu'on ne les...
Page 2363 - ... souvent peindre cette intelligence toute spirituelle, et dédaigner de mettre en considération l'intérêt que les sens y ont. Tout y sert; mais je puis dire avoir vu souvent que nous avons excusé la faiblesse de leurs esprits en faveur de leurs beautés corporelles; mais que je n'ai point encore vu qu'en faveur de la beauté de l'esprit, tant prudent et mûr soit-il, elles veuillent prêter la main à un corps qui tombe tant soit peu en décadence. Que ne prend-il envie à...
Page 2344 - C'est beaucoup que malgré cette négligence « on ait retenu les noms des deux chevaliers qui « font le sujet de l'histoire. ., Pour concilier les contradictions des divers récits, l'auteur de la lettre se livre à des. suppositions très-hasardées qu'il serait superflu de reproduire. En désespoir de cause, il conclut ainsi : «Je me « contenterai, pour appuyer la réalité du fait...
Page 2442 - ... dans la lettre du 18 octobre 1727, réf. ci-dessus, p. 219-220. Cet ouvrage fut peut-être composé en 1723. Cf. la lettre du P. Bouvet au P. Souciet, 27 octobre 1725, Revue de l'Extrême-Orient, t. III, p. 67-68. 43 — Recueil de diverses pièces sur la philosophie, les mathématiques, l'histoire, avec deux lettres où il est traité de la philosophie et de la Mission chinoise, envoyées à M. Leibniz par le P. Bouvet, Kortholt, Hambourg 1734, in-8 114p. (Streit VII 3193). On peut lire, dans...
Page 2443 - TROTET (Philemon). — L'Art de bien enseigner à lire, fondé sur l'usage et sur les principes des plus sçavans grammairiens tant anciens que modernes. Ce traité servira à régler le chant.
Page 2350 - Le goût du sage roi pour tout ce qui était solide le portait à s'entourer des personnes qui représentaient le mieux la culture générale de son temps. Les artistes n'obtenaient pas de lui une moindre faveur que les clercs. Les peintres...
Page 2340 - Fut digne , en turraflant le vice , De nos cultes, de nos Autels; Atteint d'une fléche fatale, Ce Héros, filant près d'Omphale, Devient le dernier des Mortels. Mais pour comble de ta malice, Voulant tromper tous les Humains, Tu fais mafquer de la juftice Tes plus déteftables defleins. Un Jupiter, un...