Teacher's Hand-book, to ... Grammaire FrancaiseAmerican Book Company, 1888 |
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... étions etc. PRÉSENT . tu es chez toi Vous êtes chez vous nous y avons été PLUS - QUE - PARFAIT . j'y avais été nous y avions été etc. PASSÉ INDÉFINI . tu as été chez toi vous aviez été chez vous 1 Il est essentiel d'habituer l'élève à ...
... étions etc. PRÉSENT . tu es chez toi Vous êtes chez vous nous y avons été PLUS - QUE - PARFAIT . j'y avais été nous y avions été etc. PASSÉ INDÉFINI . tu as été chez toi vous aviez été chez vous 1 Il est essentiel d'habituer l'élève à ...
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... étions fatigués ( fati- nous avions été fatigués ( fati- guées ) guées ) fatigué fatigué fatiguée fatiguée vous étiez vous aviez été fatigués fatigués fatiguées fatiguées J ils étaient fatigués elles étaient fatigués j'étais à la ...
... étions fatigués ( fati- nous avions été fatigués ( fati- guées ) guées ) fatigué fatigué fatiguée fatiguée vous étiez vous aviez été fatigués fatigués fatiguées fatiguées J ils étaient fatigués elles étaient fatigués j'étais à la ...
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... étions meilleurs nous aurions plus d'amis si vous étiez meilleur ( s ) vous auriez plus d'amis s'ils étaient meilleurs ils auraient plus d'amis si elles étaient meilleures elle auraient plus d'amis je serais parti ( e ) 2 hier si j ...
... étions meilleurs nous aurions plus d'amis si vous étiez meilleur ( s ) vous auriez plus d'amis s'ils étaient meilleurs ils auraient plus d'amis si elles étaient meilleures elle auraient plus d'amis je serais parti ( e ) 2 hier si j ...
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... étions impatients d'arri- 4. Sans moi , vous étiez perdu ( s ) . 5. Soyez juste ( s ) et vous serez indulgent ( s ) . 6. Ce sont eux qui seront nom- més généraux . 7. Sois patient . 8. Le cheval étant trop fatigué , je fus obligé de ...
... étions impatients d'arri- 4. Sans moi , vous étiez perdu ( s ) . 5. Soyez juste ( s ) et vous serez indulgent ( s ) . 6. Ce sont eux qui seront nom- més généraux . 7. Sois patient . 8. Le cheval étant trop fatigué , je fus obligé de ...
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... étions - nous soumis ( es ? etc. PRÉSENT . es - tu prudent ( e ) ? PASSÉ INDÉFINI . ai - je eu ordre ? ai - je été soumis ( e ) ? avons - nous eu ordre ? avons - nous été soumi ( s ) ? PLUS - QUE - PARFAIT . avais - je eu ordre ? avais ...
... étions - nous soumis ( es ? etc. PRÉSENT . es - tu prudent ( e ) ? PASSÉ INDÉFINI . ai - je eu ordre ? ai - je été soumis ( e ) ? avons - nous eu ordre ? avons - nous été soumi ( s ) ? PLUS - QUE - PARFAIT . avais - je eu ordre ? avais ...
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Expressions et termes fréquents
1re conj 4e conj Adjectifs numéraux ai-je allé Anglais attendu auraient moins d'amis aurions avais avez avez-vous aviez avions avons bâti des maisons besoin blessé ée Brooklyn cabriolet CONDITIONNEL PASSÉ confiseur conjugaison DÉFINI déjeuner sans retard désiré de repos Deuxième conjugaison dollars enfants enrhumé est-ce États-Unis êtes êtes-vous étiez étions étudié Exercice fallu fatigué fatiguée fausse espérance fleurs fussiez Futur génies créateurs German homme homme d'honneur IMPARFAIT INDICATIF PRÉSENT INFINITIF Infinitif passé interrupteur j'ai j'aurais j'avais j'étais j'eusse jusqu'à 10 heures l'Amérique leçon lire les journaux malades jusqu'à 10 marbriers médecin mil huit cent n'ai n'aurait n'avez n'envoie occupai à lire oiseaux ont-ils pables PASSÉ INDÉFINI pétri le pain plaint(s PLUS-QUE-PARFAIT poli le marbre possible qu'ils aient PREMIÈRE CONJUGAISON prés promesse prudent prudent prudente puni les coupables rasé de frais réjouis repenti saisi les malfaiteurs serions servions sœur sommes soumis(e Subj Subjonctif SUBJONCTIF PLUS-QUE-PARFAIT Troisième conjugaison vend verbes
Fréquemment cités
Page 124 - Est-ce donc sans motif qu'agit la Providence ? Et crois-tu donc distrait le Dieu qui t'a frappé ? Le coup dont tu te plains t'a préservé peut-être, Enfant, car c'est par là que ton cœur s'est ouvert. L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert.
Page 124 - Tvirenue. jReine du monde, ô France ! ô ma patrie ! Soulève enfin ton front cicatrisé. Sans qu'à tes yeux leur gloire en soit flétrie , De tes enfants l'étendard s'est brisé...
Page 124 - S'est retrempée en toi sous la main du malheur. Pourquoi veux-tu haïr ta jeune expérience, Et détester un mal qui t'a rendu meilleur? O mon enfant ! plains-la, cette belle infidèle, Qui fit couler jadis les larmes de tes yeux; Plains-la ! c'est une femme, et Dieu t'a fait, près d'elle, Deviner, en souffrant, le secret des heureux. Sa tâche fut pénible ; elle t'aimait peut-être ; Mais le destin voulait qu'elle brisât ton cœur.
Page 135 - Conclure, part. prés.: concluant, part. passé: conclu, j'ai conclu je conclus tu conclus il conclut nous concluons vous concluez ils concluent je concluais...
Page 124 - Et qu'à ce triste prix tout doit être acheté. Les moissons pour mûrir ont besoin de rosée; Pour vivre et pour sentir, l'homme a besoin des pleurs; La joie a pour symbole une plante brisée, Humide encor de pluie et couverte de fleurs.
Page 111 - I do not go away, etc. je ne m'en vais pas tu ne t'en vas pas il ne s'en va pas nous ne nous en allons pas vous ne vous en allez pas ils ne s'en vont pas INTERROGATIVE NEGATIVE.
Page 123 - L'HOMME NOIR. — Monsieur, je ne suis point apothicaire. LE GÉNÉRAL. — Et qu'êtes-vous donc, Monsieur? L'HOMME NOIR. — Monsieur, je suis pharmacien. LE GÉNÉRAL. — Eh bien, monsieur le pharmacien, votre garçon a dû vous dire... L'HOMME NOIR. — Monsieur, je n'ai point de garçon. LE GÉNÉRAL. — Qu'était donc ce jeune homme? L'HOMME NOIR. — Monsieur, c'est un élève. LE GÉNÉRAL. — Je voulais donc vous dire, monsieur, que vos drogues... L'HOMME NOIR. — Monsieur, je ne vends...
Page 33 - Quel architecte leur a enseigné à choisir un lieu ferme, et à bâtir sur un fondement solide ? Quelle mère tendre leur a conseillé d'en couvrir le fond de matières molles et délicates, telles que le duvet et le coton? Et lorsque ces matières manquent, qui leur a suggéré cette ingénieuse charité qui les porte à s'arracher avec le bec autant de plumes de l'estomac qu'il en faut pour préparer un berceau commode à leurs petits...
Page 123 - Là finit la discussion. Le général honteux d'avoir fait tant de solécismes et d'être si peu avancé dans la connaissance de la langue pharmaceutique, se troubla, oublia ce qu'il avait à dire, et paya tout ce qu'on voulut.