Bibliothèque françoise, ou Histoire de la littérature françoise ... des livres, publiés en françois, depuis l'origine de l'imprimerie ...Chez P. J. Mariette [&] H.-L. Guerin, 1756 |
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Bibliothèque françoise, ou Histoire de la littérature françoise ..., Volume 18 Claude-Pierre Goujet Affichage du livre entier - 1756 |
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Expressions et termes fréquents
adreffa affez Aignan ainfi auffi avoit Benferade Brégy c'eft C'eſt Cardinal Chapelain Chapelle CHARLES CHARLES COTIN CHARLES COYPEAU D'ASSOUCY chofe choifis Chrétien CLAUDE compofa Confeiller Corneille Cotin COYPEAU D'ASSOUCY d'Affoucy dédié Defpréaux déja Difcours diverſes efprit eftime Epigramme Epître eſt étoient étoit faifoit fainte fans fatyriques fçavoir feconde felon fes Poëfies feul fieur foit font fous le nom fouvent François fuiv fujet galantes GILLES MÉNAGE grace Hiftoire Ibid imprimé JACQUES JACQUES CASSAGNES JEAN jufqu'à l'Abbé l'Académie Françoife l'Auteur l'avoit l'efprit l'Hiftoire laiffa Latins Lettres Louis LUILLIER Madame de Villedieu Mademoiſelle Madrigal Mayret Ménage Moliere mort Mufes n'eft n'étoit paffa pages Paraphrafe parle Parnaffe PAUL PELLISSON Pelliffon Penfées penfion perfonne Pfeaumes PHILIPPE QUINAULT Philofophie piéces Pierre Corneille plaifir plufieurs Poë Poëfies diverfes Poëme Poëte poëtique prefque premiere profe Quinault raifon Recueil Satyre Sercy Sieur Sonnets Stances tems Théâtre tion Titon du Tillet tome 17 Tragédie
Fréquemment cités
Page 301 - J'en boirais moins que ne fait un moineau. Je tirerai pourtant de mon cerveau Plus aisément, s'il le faut, un rondeau, Que je n'avale un plein verre d'eau claire A la fontaine. De ces rondeaux un livre tout nouveau A bien des gens n'a pas...
Page 157 - Je sais ce que je vaux, et crois ce qu'on m'en dit. Pour me faire admirer je ne fais point de ligue : J'ai peu de voix pour moi, mais je les ai sans brigue ; Et mon ambition pour faire plus de bruit, Ne les va point quêter de réduit en réduit : Mon travail sans appui monte sur le théâtre ; Chacun en liberté l'y blâme ou l'idolâtre. Là, sans que mes amis prêchent leurs...
Page 143 - Clitandre , et y sema les incidents et les aventures avec une très vicieuse profusion , plus pour censurer le goût du public que pour s'y accommoder. Il paroît qu'après cela il lui fut permis de revenir à son naturel. La Galerie du Palais , la Veuve, la Suivante, la Place Royale, sont plus raisonnables.
Page 157 - Mon travail fans appui monte fur le théâtre ; Chacun en liberté l'y blâme ou l'idolâtre. Là , fans que mes amis prêchent leurs fentimens , J'arrache quelquefois leurs...
Page 315 - C'eft de cette maniere qu'il fit fes humanités, d'où il pafla à l'étude de la philofophie, dans laquelle il fit un progrès extraordinaire. Pour le délafler quelquefois de fa trop grande application , fon père lui donna des maîtres de mufique & d^ danfe ; mais il ne put réuffir ni dans l'une, ni dans l'autre.
Page 273 - Protecteur auroit pu lui faire, il le quitta pour aller jouer la Comédie en campagne. Son talent fupérieur pour les rôles Comiques, & principalement pour celui de Crifpin, qu'il imagina & qu'il adopta, foutenu d'un cfprit agréable, & rempli de faillies, le firent connoître de toute la Cour.
Page 390 - Rien ne nous a/Tervit comme la Renommée. On perd bien du repos pour faire un peu de bruit , Et ce bruit ne vaut pas la peine qui le fuit. Pour moi, je ne fuis point la dupe de la Gloire; Je vous cede ma place au Temple de Mémoire, &c.
Page 298 - Deux sonnets partagent la Ville, Deux sonnets partagent la Cour, Et semblent vouloir à leur tour Rallumer la guerre civile. Le plus sot et le plus habile En mettent leur avis au jour, Et ce qu'on a pour eux d'amour A plus d'un échauffe la bile. Chacun en parle hautement Suivant son petit jugement, Et s'il y faut mêler le nôtre, L'un est sans doute mieux rêvé, Mieux conduit, et mieux achevé, Mais je voudrais avoir fait l'autre.
Page 21 - ... nez empêchoit qu'on ne le pût bien voir au visage. Dans cette incertitude, nous prîmes la liberté de l'accoster et de lui demander : Est-ce vous, monsieur d'Assouci? Oui, c'est moi , messieurs , me voici, N'ayant plus pour tout équipage Que mes vers, mon luth , et mon page. Vous me voyez sur le pavé , En...
Page 277 - Est-on surpris si je m'étonne Que de deux mille emplois qu'il donne, Mon fils n'en ait pas encore un?