 Jamais tu n'auras paru si aimable à mes yeux. Mais, hélas! les craintes que tu m'as déjà fait voir m'en annoncent de nouvelles. Non, tu n'auras pas le cœur de me satisfaire! Tu appréhendes de perdre le peu d'instants qui forment le cours de notre...  Mercure de France au dix-neuvième siècle - Page 191780Affichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Nicolas Toussaint Lemoyne Desessarts - 1780 - 448 pages
...de me fatisfaire ; tu appréhendes de perdre ce peu d'inftans qui forment le cours de notre irie : voilà ce qui te retient.... Tu ne m'as Jamais aimée , tu n'as jamais fenti pouf moi ces faillies impétueufes que l'amour infpire. Je n'ai jamais lu dans tes yeux cette ardeur... | |
 | 1787 - 870 pages
...appréhendes de perdre ce peu d'inftans qui forme le cours de notre vie : voilà ce qui te retient... tu n'as jamais fenti pour moi ces faillies impétueufes que l'amour infpire. Je n'ai jamais lu dans tes yeux cette ardeur que l'on ne peut cacher , & qui annoncent combien le cœur eft enflammé... | |
 | Charles Letourneau - 1868 - 256 pages
...tu n'auras pas le cœur de me satisfaire. Tu appréhendes de perdre ce peu d'instants qui forment le cours de notre vie. Voilà ce qui te retient. Tu ne m'as jamais aimée. Tu n'as jamais senti pour moi ces saillies impétueuses que l'amour inspire. Je n'ai jamais lu dans tes yeux cette... | |
 | 1781 - 444 pages
...n'auras pas le cœur de me » Satisfaire; tu appréhendes de perdre ce peu » d'inftans qui forment le cours de notre vie: » voilà ce qui te retient .... Tu ne m'as ja» mais aimée , tu n'as jamais fenti pour moi » ces faillies impétueufes que l'amour infpire.... | |
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