Œuvres, avec des remarques grammaticales [&c.] par m. Bret, Volume 41788 |
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Œuvres, avec des remarques grammaticales [&c.] par m. Bret, Volume 5 Molière Affichage du livre entier - 1788 |
Œuvres, avec des remarques grammaticales [&c.] par m. Bret, Volume 1 Molière Affichage du livre entier - 1788 |
Œuvres, avec des remarques grammaticales [&c.] par m. Bret, Volume 2 Molière Affichage du livre entier - 1788 |
Expressions et termes fréquents
ACTE ADRAST affez affurément ainfi ALCMEN amour AMPHITRY AMPHITRYON auffi auroit avoit befoin bleffe c'eft C'eſt charmante chofe choſe ciel CLEANT CLEANTHIS cœur Comédie connoître courroux DAMIS DAPHNÉ deffein dévot difcours dire DORINE doux efprit Eft-ce ELMIRE ENTRÉE DE BALLET EROXEN eſt êtes étoit faffe fans doute favoir fcène fecond fecret femble femme fens fent feroit fervir feul fieur FILENE fille foins foit fonge font fouffrir fous fouvent fuis fuivante GÉRONTE grace HALI homme ISIDOR j'ai j'en JACQUELINE jufqu'à JUPITER l'efprit l'Impofteur laiffe Léandre LICARSI lorfque LUCAS LUCINDE LYCAS m'en Madame PERNELLE MARIAN MARTIN Médecin Meffieurs Mélicerte MERCURE MIRTIL Molière Monfieur n'eft n'eſt n'étoit NAUCRATES Obfervations ORGON paffe parle paroître PEDRE penfe perfonne plaifir plaît Plaute préfent puiffe puifque raifon rien s'eft SCÈNE PREMIÈRE SGANAR SGANARELLE Sofie SOSIE Tartuffe tems tendreffe TIRENE traître trouve VALERE veut veux voilà vois yeux
Fréquemment cités
Page 327 - L'amour qui nous attache aux beautés éternelles N'étouffe pas en nous l'amour des temporelles : Nos sens facilement peuvent être charmés Des ouvrages parfaits que le ciel a formés. Ses attraits réfléchis brillent dans vos pareilles; Mais il étale en vous ses plus rares merveilles...
Page 284 - Ces gens, dis-je, qu'on voit d'une ardeur non commune Par le chemin du Ciel courir à leur fortune, Qui, brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au...
Page 271 - Ne seraient-ils point ceux qui parlent mal de nous ? Ceux de qui la conduite offre le plus à rire, Sont toujours sur autrui les premiers à médire...
Page 278 - Le soir elle eut un grand dégoût, Et ne put, au souper, toucher à rien du tout, Tant sa douleur de tête était encor cruelle ! ORGON Et Tartuffe? DORINE . Il soupa, lui tout seul, devant elle; Et fort dévotement il mangea deux perdrix, Avec une moitié de gigot en hachis.
Page 437 - Sosie, à quelle servitude Tes jours sont-ils assujettis! Notre sort es"t beaucoup plus rude Chez les grands que chez les petits. Ils veulent que pour eux tout soit, dans la nature, Obligé de s'immoler : Jour et nuit, grêle, vent, péril, chaleur, froidure, Dès qu'ils parlent, il faut voler. Vingt ans d'assidu service N'en obtiennent rien pour nous; Le moindre petit caprice Nous attire leur courroux. Cependant notre...
Page 358 - Mais on trouve avec lui des accommodements. Selon divers besoins, il est une science D'étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le mal de l'action Avec la pureté de notre intention.
Page 285 - L'apparence du mal a chez eux peu d'appui, Et leur âme est portée à juger bien d'autrui; Point de cabale en eux, point d'intrigues à suivre; On les voit pour tous soins, se mêler de bien vivre.
Page 371 - C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu.
Page 239 - Molière avait faite contre les hypocrites ; mais, quoiqu'elle eût été trouvée fort divertissante, le \ roi connut .tant de conformité entre ceux qu'une véritable dévotion met dans le chemin du ciel, et ceux qu'une vaine ostentation des bonnes œuvres n'empêche pas d'en commettre de mauvaises, que son extrême délicatesse pour les choses de la religion ne...
Page 211 - Il fait noir comme dans un four. Le ciel s'est habillé ce soir en Scaramouche ' , et je ne vois pas une étoile qui montre le bout de son nez.