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contenus dans les homélies de cet hérésiarque. Il n'est cependant nommé nulle part; ce qui fait croire qu'il n'avait point encore été condamné. Le style de cet ouvrage est plus clair et plus châtié que celui des autres écrits polémiques de S. Cyrille.

9° Les douze Anathématismes contre la doctrine de Nestorius. Ils ne contiennent rien que d'orthodoxe, et furent lus au concile d'Ephèse. Quelques personnes, qui les entendaient mal, ou qui prenaient le parti de Nestorius, les attaquèrent comme favorisant la doctrine des Apollinaristes, et comme contraires à la distinction des deux natures en Jésus-Christ. Tel fut entre autres Jean d'Antioche, qui engagea André de Samosate et Théodoret de Cyr à les réfuter. S. Cyrille en donna une explication fort claire, qui satisfit les Pères du concile d'Ephèse.

10° Le saint docteur donna ensuite deux Apologies des mémes Anathématismes; l'une contre André de Samosate, et l'autre contre Théodoret de Cyr. Il se justifia dans une troisième Apologie, adressée à l'empereur, des calomnies répandues contre sa catholicité.

11o Le livre contre les Anthropomorphites. Quelques moines d'Egypte, fort grossiers et fort ignorans, auxquels on avait dit de se représenter Dieu sous une forme sensible, et cela pour leur faciliter la pratique de sa divine présence, s'imaginèrent à la fin qu'il avait un corps comme les hommes, d'où leur vint le nom d'Anthropomorphites; ils se fondaient sur ce qu'il est dit que l'homme a été créé à l'image de Dieu. Une erreur aussi absurde et aussi monstrueuse fut condamnée dès sa naissance par Théophile. Le livre dont nous parlons est précédé d'une lettre à Calosyrius d'Arsinoé. S. Cyrille convient que l'homme est fait à l'image de Dieu; mais il montre en même temps que cette ressemblance ne peut tomber sur le corps, Dieu étant un esprit qui n'a point de forme sensible. Ainsi, dit ce Père, être fait à l'image de Dieu, c'est être doué de raison, et capable de vertu. Il réfute, dans la même lettre, d'autres moines aussi peu éclairés que les premiers, lesquels s'imaginaient que l'eucharistie perdait sa consécration, quand elle était gardée jusqu'au lendemain. Il répondit, dans un autre ouvrage, à vingt-sept questions dogmatiques qui lui avaient été proposées par les Anthropomorphites.

12° Les dix livres contre Julien l'Apostat. Julien, aidé de Maxime et de quelques autres philosophes païens, avait composé un ouvrage divisé en trois livres, contre nos saints Evangiles. Quoiqu'il ne contînt rien autre chose que les objections de Celse, déjà solidement réfutées par Origène et par Eusèbe, il ne laissa pas de faire impression sur les esprits faibles. Ce fut pour arrêter le mal que S. Cyrille écrivit les dix livres dont nous parlons. Il les dédia ̧ à Théodose; ce qui donne lieu de croire qu'il avait regagné les bonnes grâces de ce prince. Il les envoya aussi à Jean d'Antioche, comme une preuve de la sincérité de sa réconciliation. Dans le premier livre, le saint docteur prouve la vérité du récit de Moïse touchant la création. Dans le second, il fait le parallèle du récit de Moïse touchant la création, et des extravagances débitées par Pythagore, Thalès, Platon, etc. pour lesquels Julien avait une admiration ridicule. Le troisième livre est employé à défendre la vérité de l'histoire du serpent qui séduisit Eve, et de la chute d'Adam : histoire qui est bien moins incroyable que tout ce qu'Hésiode a écrit de l'origine de ses prétendus dieux. Le but du quatrième est d'établir la Providence, et de montrer qu'il est indigne de Dieu d'avoir besoin de divinités subalternes pour le gouvernement de l'univers. L'utilité des préceptes du Décalogue, l'incompatibilité de la jalousie, de la colère et des autres passions avec la nature divine, et l'unité du Dieu des Chrétiens, sont le sujet du cinquième livre. Dans le sixième, S. Cyrille oppose les vertus des prophètes et des autres saints, aux vices honteux dont les anciens philosophes n'ont pas rougi de se souiller. Il justifie ensuite la coutume qu'avaient les Chrétiens de marquer leur front et leurs maisons du signe de la croix, et montre que la cessation des oracles a pour époque la venue de Jésus-Christ, dont la puissance a détruit la tyrannie du démon. Il prouve, dans le septième livre, que les plus célèbres héros du paganisme ont été fort inférieurs en vertu aux héros du christianisme. Le huitième et le neuvième livres font voir que Jésus-Christ a été prédit par les

prophètes, et que les deux Testamens ne diffèrent point quant à la substance. Enfin, S. Cyrille prouve, dans le dernier livre, que S. Jean et les autres évangélistes rendent témoignage à la divinité de Jésus-Christ. Il marque ensuite la différence qu'il y a entre l'adoration proprement dite, qui n'est due qu'à Dieu, et le culte que nous rendons aux martyrs.

13° Les Homélies sur la Pâque. Il avait été réglé, dans le concile de Nicée, que l'évêque d'Alexandrie, ville où florissait l'étude des mathématiques et de l'astronomie, examinerait avec soin quel jour il faudrait célébrer la Pâque, et qu'il l'annoncerait aux évêques voisins, nommément à celui de Rome, afin que ce dernier pût en instruire toutes les églises d'Occident. Il paraît que S.Cyrille fut fort exact à s'acquitter de la commission attachée à son siége. Possevin avait vu les épîtres ou homélies de ce Père, sur la Pâque, dans la bibliothèque du Vatican. Il n'y en a que vingt-neuf d'imprimées. S. Cyrille marque dans chacune le commencement du carême, le lundi avec le samedi de la semaine sainte, et le dimanche de Pâque. Toutes ces homélies renferment encore d'excellentes instructions sur divers points de morale.

14° Plusicurs Lettres. Elles ont toutes pour objet les affaires de l'Eglise, ou la défense des dogmes catholiques. Les conciles généraux d'Ephèse et de Chalcédoine ont adopté la seconde à Nestorius, et celle qui est adressée aux Orientaux. On trouve la sixième parmi les canons de l'Eglise grecque, etc.

Ce n'est ni l'élégance, ni le choix des pensées, ni la politesse du style qui font le mérite des écrits de S. Cyrille, mais la justesse et la précision avec lesquelles le saint docteur explique les vérités de la foi, et surtout le mystère de l'incarnation. On estime particulièrement le Trésor, ainsi que les livres contre Nestorius et contre Julien l'Apostat.

Les anciennes traductions latines de S. Cyrille fourmillent de fautes. Jean Aubert, chanoine de Laon, publia les œuvres de ce Père, en grec et en latin, à Paris, en 1638. Il y a six tomes in-fol. qui font ordinairement sept volumes. Le P. Lupus et Baluze ont donné depuis quelques lettres du saint docteur qui n'avaient été connues ni de Jean Aubert, ni du P. Labbe.

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S. THYRSE, S. LEUCE ET S. CALLINIQUE, MARTYRS.

On lit dans les Actes grecs et latins de ces trois saints, qu'après avoir souffert plusieurs tourmens, ils furent martyrisés à Apollonie, en Phrygie, durant la persécution de Dèce. Nous apprenons de Sozomène, que Césaire, qui avait été préfet et consul, fit bâtir, hors des murs de Constantinople, une église magnifique, sous l'invocation de S. Thyrse, laquelle fut enrichie d'une portion de ses reliques. Il est marqué dans les Ménées, au 14 de décembre, qu'il y avait une seconde église de S. Thyrse dans la même ville. Ce saint est un des patrons de l'ancienne cathédrale de Notre-Dame de Sisteron, et d'une église de Limoges. Il y a aussi en Espagne plusieurs églises qui portent son nom ".

a Silon, roi d'Oviedo et des Asturies, dit, dans une lettre qu'il écrivit en 777, à Cyxilas, archevêque de Tolède, que la reine avait envoyé à l'église bâtie par ce prélat sous l'invocation de S. Thyrse, un calice d'argent, une patène et un bassin avec un chalumeau. Ce prince ajoute qu'on avait représenté sur le couvercle du calice sa couronne royale, avec les lettres C. S. qui désignaient son nom et celui de l'archevêque. Le chalumeau (car c'est ainsi qu'il faut traduire le mot latin nasus, que M. du Cange n'a point entendu ) servait à prendre le sang

S. JEAN DE RÉOMAY.

Ce saint, originaire du diocèse de Langres, se fit moine à Lé; rins. Ayant été ensuite rappelé par son évêque, il fonda l'abbaye de Réomay en Bourgogne, sous la règle de S. Macaire. Il devint célèbre par sa sainteté et par ses miracles, et mourut âgé de près de cent vingt ans, vers le milieu du sixième siècle. Il est un des fondateurs de la vie monastique en France.

Voyez S. Grégoire de Tours, de glor. Confes. c. 87; la Vie du saint, écrite par l'abbé Jonas, disciple de S. Colomban, ap. Bolland. et l'Historia monasterii Sancti Joannis Reomacinsis à P. Petro Roverio, Soc. Jesu; Paris, 1637, in-4°

S. PAULIN, PATRIARCHE D'AQUILÉE.

PAULIN naquit dans le Frioul, vers l'an 726, de parens peu illustres aux yeux du monde, et qui vivaient à la campagne de ce que leur produisait la culture d'une métairie. Il passa lui-même ses premières années à cultiver la terre. Mais comme il avait reçu de Dieu un esprit excellent, il le tourna du côté de l'étude, et il y fit d'assez grands progrès pour être en état d'enseigner publiquement. Charlemagne lui adressa, vers l'an 776, un rescrit dans lequel il lui donnait les titres de maître de grammaire et de très-vénérable. Cette dernière épithète donne lieu de croire que le saint était alors prêtre. Le même prince, qui aimait les gens de lettres, lui donna une terre en Lombardie, pour récompenser son mérite. Il paraît que ce fut dans cette année 776, qu'on éleva Paulin sur le siége patriarcal d'Aquilée 1.

La piété, le zèle et la capacité de Paulin le rendirent si célèbre, que Charlemagne voulut qu'il assistât à tous les grands conciles qui se tinrent dans les pays de son obéissance; entre autres à ceux d'Aix-la-Chapelle, en 789; de Ratisbonne, en 792; de Francfort, en 794. Le saint en assembla un lui-même dans le Frioul, en 791 de Jésus-Christ, comme cela se pratiquait avant 1789 à Saint-Denis en France. Cet instrument est appelé pugillar dans l'ancien Ordo Romanus. On trouva en 1595, dans des ruines auprès de la grande église de Tolède, le couvercle du calice envoyé par la reine des Asturies. On le reconnut à la couronne royale." Voyez Chastelain, p. 440.

à Aujourd'hui Moutier-Saint-Jean ou Saint-Jean-de-Réome, à deux lieues de Semur en Auxois, de l'ordre de Saint-Benoît. On y introduisit une réforme dans le neuvième siècle.

Le siége d'Aquilée n'avait le titre de patriarcat que depuis peu, c'est-àdire que depuis l'extinction du schisme d'Istrie,

ou 796, au sujet de diverses erreurs qui commençaient à se répandre sur l'incarnation, et sur la procession du Saint-Esprit. Il y fit voir que le Saint-Esprit procède du Fils comme du Père, et y prouva, contre Félix d'Urgel et Elipand, que Jésus-Christ n'est point fils adoptif, mais fils de Dieu par nature". Il fut ensuite chargé par Charlemagne, ainsi qu'Alcuin, de réfuter par écrit les erreurs de ces deux hérésiarques.

Notre saint n'avait pas moins de zèle pour la conversion des infidèles que pour la conservation du dépôt sacré de la foi. Il eût voulu, au prix de tout son sang, les amener à la connaissance de la vérité. Ce fut ce qui lui inspira le pieux dessein d'aller prêcher l'Evangile à ce qui restait d'idolâtres parmi les peuples de la Carinthie et de la Stirie, provinces où le saint abbé Séverin, et S. Virgile, archevêque de Saltzbourg, avaient déjà fondé plusieurs églises fort nombreuses. Les Avares ou Huns, touchés de ses prédications, ainsi que de celles des missionnaires envoyés par l'archevêque de Saltzbourg, quittèrent leurs anciennes superstitions pour recevoir le baptême c.

S. Paulin avait une sollicitude vraiment pastorale pour toutes

a Elipand, évêque de Tolède, avait consulté Félix, évêque d'Urgel en Catalogne, sur la manière dont il reconnaissait Jésus-Christ pour fils de Dieu. Celuici répondit que Jésus-Christ, selon la nature humaine, n'était que fils adoptif de Dieu. Ces deux évêques se mirent aussitôt à répandre cette doctrine. Félix osa même l'avancer dans des discours publics. (Voyez Madrisius, Diss. 4, p. 214.) Elle fut d'abord vivement attaquée par le saint abbé Béat, et par Etherius, depuis évêque d'Osma; ensuite condamnée par les conciles de Narbonne, en 788, et de Ratisbonne, en 792. (Voyez sur le premier concile, Baluze, additam. ad c. 25 1.6 Petri de Marca, de Conc. Sacerd. et Imper.) Félix se rétracta à Ratisbonne, puis à Rome, devant le pape Léon III. ( Voyez Conc. Ron. 799, Act. 2, et Eginhard, in Annal. etc.) Mais, de retour en Espagne, il continua de répandre son hérésie, qui fut encore condamnée au concile de Francfort en 794. Le même concile approuva l'ouvrage intitulé Sacro-Syllabus, que S. Paulin avait composé pour la combattre, et ordonna qu'on l'enverrait en Espagne, afin de prémunir les fidèles contre les nouvelles erreurs. ( Voyez Madrisius, Diss. 4, p. 219, et le P. Alexandre, Sæc. 8, Diss. 5.) Alcuin, revenant d'Angleterre, en 793, écrivit une lettre fort touchante à Félix, pour le ramener à la vérité mais elle ne produisit aucun effet; car Félix, au lieu de se rendre, fit un ouvrage où il enseignait son hérésie sans détour; il tomba même dans le pur nestorianisme, qui en est une conséquence. Effectivement, si JésusChrist, comme homme, n'est que le fils adoptif de Dieu, il s'ensuit que la nature humaine n'est point unie hypostatiquement à la divinité; et par conséquent, qu'il y a deux personnes en Jésus-Christ. Charlemagne chargea S. Paulin et Alcuin de prendre la plume pour la défense de la foi catholique; ce qu'ils firent l'un et l'autre avec succès. Comme Elipand n'était point sujet de Charles, ce prince ne put l'obliger à venir aux conciles qui se tinrent dans les pays de son obéissance. Félix se rétracta encore au concile d'Aix-la-Chapelle, en 797 (Voyez Alcuin, l. 1 contra Elipand. ), mais sans changer intérieurement de façon de penser. Il conserva toujours un attachement secret à son hérésie, dans laquelle il mourut en 815. ( Voyez Agobard, l. contra Fel. n. 1 et 5. ) Elipand était mort six ans auparavant. Jamayo et Ceillier, tom. 18, p. 363, prétendent, d'après certaines chroniques, qu'il se rétracta dans un concile de Tolède, et qu'il mourut dans la vraie foi: Madrisius a démontré le contraire.

Le premier mort en 481, et le second en 785.

c Ceci donna lieu à une contestation qui s'éleva depuis entre Arnon, successeur de S. Virgile, et Ursus, successeur de S. Paulin. Ces deux prélats soute naient que la Carinthie relevait de leur siége. Cette contestation fut terminée

les âmes confiées à ses soins. Non content de leur procurer l'instruction, il sollicitait encore la miséricorde divine en leur faveur, par des prières ferventes et continuelles. En 802 il tint un concile dans la ville d'Altino, sur la mer Adriatique ".

mort,

Enfin il termina une vie pleine de mérites par une heureuse le 11 janvier 804, jour auquel sa fête est marquée dans l'ancien Missel d'Aquilée, ainsi que dans plusieurs Martyrologes d'Allemagne. Mais on la fait présentement le 28 janvier dans plusieurs endroits du Frioul, même à Aquilée".

Voyez la Vie de S. Paulin, par Nicoletti, avec les notes de Madrisius, oratorien d'Udine, et surtout celle que le même Madrisius a publiée. Voyez encore D. Ceillier, tom. 18, p. 362, et Bollandus, ad 11 januarii.

S. GLASTIEN, ÉVÊQUE EN ÉCOSSE.

Ce saint était du comté de Fife, où il remplit plusieurs an nées, avec édification, les devoirs de l'épiscopat. Il tint la conduite d'un vrai ministre de Jésus-Christ, durant la guerre civile qui s'alluma entre les Ecossais et les Pictes, et qui assujettit pour toujours les seconds aux premiers. Il mourut en 830, à Kinglace, dans le comté de Fife. Il était autrefois particulièrement honoré dans ce pays.

Voyez le Bréviaire d'Aberdeen; King, dans son Calendrier, etc.

par un réglement fait en 811, lequel portait que les églises méridionales seraient soumises au patriarche d'Aquilée, et que les églises situées au nord dépendraient de l'archevêque de Saltzbourg. Voyez Sconleben Annal. Aust. et Madrisius, in Vitá S. Paulini, c. 8.

a Cette ville ayant été ruinée par Attila, ne conservait plus alors qu'une ombre de son ancienne splendeur; ce qui a fait croire que le concile se tint dans un monastère qui y était. Il y a long-temps que la ville d'Altino n'existe plus.

Les écrits de S. Paulin sont: 1° le livre intitulé Sacro-Syllabus. Il est ainsi appelé, ou parce que le saint y réfute l'hérésie d'Elipand par les sacrées Syllabes, c'est-à-dire par des passages de l'Ecriture, ou parce qu'il présenta cet ouvrage au concile de Francfort, au nom de tous les évêques d'Italie, comme contenant leur doctrine.

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2° Instruction salutaire à un comte. Elle est adressée à Henri, que Charlemagne avait fait comte ou duc de Frioul, et gouverneur du pays conquis. C'est un excellent traité de morale sur les différens devoirs de la vie chrétienne...... 3o Les trois livres contre Félix d'Urgel. C'est une réfutation solide des erréurs de Félix. Madrisius pense qu'elle fut écrite en 796.

4° La Règle de foi. C'est un poème en vers hexamètres contre les Ariens, les ¡Nestoriens et les Eutychiens.

5o Des Hymnes et des Lettres. Dans la seconde de ses lettres, S. Paulin se plaint à Charlemagne de ce que les évêques qui suivaient la cour ne résidaient point dans leur diocèse. Il cite, à ce sujet, le concile de Sardique, qui défend à un évêque de s'absenter de son diocèse plus de trois semaines.

La meilleure édition des œuvres de S. Paulin est celle que Madrisius donna à Venise, en 1737, in-folio, avec des notes et des dissertations fort curieuses. c. Les Ecossais, suivant l'ancienne coutume de leur pays, écrivent souvent le nom de notre saint, Mac-Glastian. Mac veut dire fils.

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