Revue des deux mondes, Volume 27François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1878 |
Autres éditions - Tout afficher
Revue des deux mondes François Buloz,Charles Buloz,Ferdinand Brunetière,Francis Charmes,René Doumic,André Chaumeix Affichage du livre entier - 1831 |
Expressions et termes fréquents
Antonio assez aurait avaient Banque beau Buccaferrata c'était Camille Rousset Charles Beslay chemins chose cœur commune coup Crépin David délégués demande devant Dieu dire donner enfans eût faisait femme fille finances force Fourquevaux François Jourde garde général gens Gilles de Gouberville Gouberville gouvernement grec guerre Hellènes heures homme j'ai jamais Jean Têterol Jean-Paul Jean-Paul Laurens jeune jour Jourde jusqu'à l'autre l'église Lafrogne laissé Laurence Lionel Lionne Louis XIV Louvois lui-même lutte main maison maître marquis de Plouc ment Mesnil-au-Val Mignot millions ministre Mlle de Saligneux monde monsieur le baron Mycènes n'avait n'était nationale œuvres papauté pape parler passé passion pendant pensée père personne peuple peut-être Pie IX police politique porte pouvait premier prince qu'un Raoul Rigault regard reste rien Rouland Russie s'écria s'est s'était saint Saligneux Schopenhauer semble sentiment serait seul siècle sorte tête Têterol tion Tirynthe trouve venait Villotte voilà voix Voltaire vrai yeux Zassoulitch
Fréquemment cités
Page 371 - Enfin me voici dans ce séjour autrefois sauvage, et qui est aujourd'hui aussi embelli par les arts qu'ennobli par la gloire. Cent cinquante mille soldats victorieux, point de procureurs, opéra, comédie, philosophie, poésie, un héros philosophe et poète, grandeur et grâces, grenadiers et muses, trompettes et violons, repas de Platon, société et liberté ! Qui le croirait ? Tout cela pourtant est très vrai, et tout cela ne m'est pas plus précieux que nos petits soupers.
Page 380 - Je crois que nous ne nous entendons pas sur l'article du peuple, que vous croyez digne d'être instruit. J'entends par peuple la populace, qui n'a que ses bras pour vivre. Je doute que cet ordre de citoyens ait jamais le temps ni la capacité de s'instruire; ils mourraient de faim avant de devenir philosophes. Il me paraît essentiel qu'il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir comme moi une terre, et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis.
Page 39 - Le voilà donc mort , ce grand ministre , cet homme si considérable , qui tenait une si grande place ; dont le moi , comme dit M. Nicole, était si étendu; qui était le centre de tant de choses ! Que d'affaires, que de desseins , que de projets, que de secrets , que d'intérêts à démêler , que de guerres commencées , que d'intrigues , que de beaux coups d'échecs à faire et à conduire!
Page 622 - Féré prouve qu'il n'ya aucune raison pour que les actes sexuels échappent à la responsabilité, et les faits montrent qu'ils n'y échappent pas; la nature et la société éliminent les pervertis et favorisent les sobres. L'Hystérie et son Traitement Par le O
Page 560 - Commune décrète : 1° un Comité de salut public sera immédiatement organisé ; 2° il sera composé de cinq membres nommés par la Commune au scrutin individuel ; 3° les pouvoirs les plus étendus sur toutes les commissions sont donnés à ce Comité, qui ne sera responsable qu'à la Commune.
Page 485 - Les objets que le propriétaire d'un fonds ya placés pour le service et l'exploitation de ce fonds, sont immeubles par destination.
Page 382 - Vous souciez-vous beaucoup du bâillon de Lally, et de son gros cou, que le fils aîné de monsieur l'exécuteur a coupé fort maladroitement pour son coup d'essai ? Je connaissais beaucoup cet Irlandais, et j'avais eu même avec lui des relations fort singulières en 1746.
Page 383 - Mon cher frère , mon cœur est flétri ; je suis atterré. Je me doutais qu'on attribuerait la plus sotte et la plus effrénée démence à ceux qui ne prêchent que la sagesse et la pureté des mœurs. Je suis tenté d'aller mourir dans une terre où les hommes soient moins injustes.
Page 709 - que Dieu nous a confié ; nous devons le nourrir de » ce que nous trouvons de plus précieux. Il faut faire » entrer dans notre être tous les modes imaginables, » ouvrir toutes les portes de son âme à toutes les » sciences et à tous les sentiments ; pourvu que tout » cela n'entre pas pêle-mêle, il ya place pour tout
Page 386 - Mais l'évêque n'a pris les armes que pour soutenir, défendre et fortifier ; le courtisan de Frédéric et de Catherine II n'est entré dans la lutte que pour détruire, dissoudre, et pour achever les déroutes que d'autres avaient commencées. Bossuet n'a combattu que pour les choses qui donnent du prix à la société des hommes : religion, autorité, respect; Voltaire, sauf deux ou trois fois...