Les poëtes français: Morceaux choisis dans les meilleurs poëtes du XIXe siècle1853 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 57
Page
... mieux placer , à la suite les uns des autres , tous les mor- ceaux sortis de la même plume ; c'est le seul moyen de les faire apprécier dans leur ensemble . L'ordre chronologique offre , avec l'avantage de la variété , celui de montrer ...
... mieux placer , à la suite les uns des autres , tous les mor- ceaux sortis de la même plume ; c'est le seul moyen de les faire apprécier dans leur ensemble . L'ordre chronologique offre , avec l'avantage de la variété , celui de montrer ...
Page 1
... mieux placés parmi les prosateurs de notre langue que parmi les poëtes . Dans la première partie seulement , nous avons supprimé plus de soixante morceaux de poëtes du second et du troisième ordre , et nous les avons remplacés par ...
... mieux placés parmi les prosateurs de notre langue que parmi les poëtes . Dans la première partie seulement , nous avons supprimé plus de soixante morceaux de poëtes du second et du troisième ordre , et nous les avons remplacés par ...
Page 18
... mieux nés n'estiment leur vertu Procéder ni de sang ni de glaive pointu , Ni de harnois ferrés qui les peuples étonnent , Mais par les beaux métiers que les Muses nous donnent . Connoissez l'honneste homme humblement revestu , Et ...
... mieux nés n'estiment leur vertu Procéder ni de sang ni de glaive pointu , Ni de harnois ferrés qui les peuples étonnent , Mais par les beaux métiers que les Muses nous donnent . Connoissez l'honneste homme humblement revestu , Et ...
Page 44
... mieux mon sang , il sait mieux son devoir . JULIE . Mille , de nos remparts , comme moi l'ont pu voir . Il s'est fait admirer tant qu'ont duré ses frères ; Mais quand il s'est vu seul contre trois adversaires , Près d'être enfermé d'eux ...
... mieux mon sang , il sait mieux son devoir . JULIE . Mille , de nos remparts , comme moi l'ont pu voir . Il s'est fait admirer tant qu'ont duré ses frères ; Mais quand il s'est vu seul contre trois adversaires , Près d'être enfermé d'eux ...
Page 46
... mieux combattre , et cette prompte ruse Divise adroitement trois frères qu'elle abuse . Chacun le suit d'un pas ou plus ou moins pressé , Selon qu'il se rencontre ou plus ou moins blessé ; Leur ardeur est égale à poursuivre sa fuite ...
... mieux combattre , et cette prompte ruse Divise adroitement trois frères qu'elle abuse . Chacun le suit d'un pas ou plus ou moins pressé , Selon qu'il se rencontre ou plus ou moins blessé ; Leur ardeur est égale à poursuivre sa fuite ...
Expressions et termes fréquents
Adieu affreux AGAMEMNON AGATHÉMI âme amis André Chénier ANTIGONE ANTIOCHUS ATHALIE Atrée beau berceau bonheur bords bras brillant bruit chant charmes Chénier cher ciel cieux Cinna CLYTEMNESTRE cœur comédies Corneille DALAINVILLE Dieu dieux discours douce douleur doux ÉGISTHE élégies enfants enfin Érope Ésope esprit fable femmes fille fils fleurs flots frère front fureur gens glacés Glaucon gloire goût Grèce Hélas heureux homme J'ai j'aime jamais jeune jour l'homme l'onde laisse larmes loin Louis Racine lyre main maître malheureux maux méchants mère MÉROPE MIZAEL Molière monde mort mortel mourir naquit NÉARQUE nuit odes OEDIPE ombre ORONTE passer pauvre père peuple pieds plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte POLYEUCTE qu'un regard rien rivage rois sage sang sarcelle satire scène sent seul soir soleil sort souffrir style temple terre tombe tombeau tragédie tremble TRISSOTIN triste Tufière VADIUS Vert-Vert veux Victor Hugo vœux voilà vois voit voix Voltaire yeux
Fréquemment cités
Page 206 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Page 191 - LE LAC Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour. Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir. Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Page 96 - Hé bonjour, monsieur du corbeau! Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Page 85 - Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Page 191 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Page 160 - Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d'un dard lancé d'une main sûre II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang, et de fumée.
Page 107 - Grippeminaud leur dit : Mes enfants, approchez, Approchez ; je suis sourd , les ans en sont la cause , L'un et l'autre approcha , ne craignant nulle chose. Aussitôt qu'à portée il vit les contestants, Grippeminaud le bon apôtre, Jetant des deux côtés la griffe en même temps : Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Page 102 - Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Page 192 - Que vous nous ravissez? O lac! rochers muets ! grottes! forêt obscure! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux...
Page 155 - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.