Histoire financière de la Législative et de la Convention, Volume 2Guillaumin, 1903 |
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Histoire financière de la Législative et de la Convention, Volume 2 Charles Gomel Affichage du livre entier - 1905 |
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Expressions et termes fréquents
1er juillet 24 août administrations août arrêté assignats aurait avaient Barère Boissy d'Anglas Bourdon de l'Oise brumaire caisses Cambon capital circulation citoyens club des Jacobins comité de Salut comité des finances commerce commission confiscation constitution contribution foncière Convention Conventionnels Corr créances crédits d'assignats Danton décembre déclara démonétisation denrées départements dépenses dépréciation députés dette publique discussion district domaines nationaux effet émigrés Fabre d'Eglantine février floréal fortune gouvernement grains guerre impôts Jacobins janvier jour juillet juin l'agiotage l'emprunt forcé l'État l'impôt législateur liquidation livres marchandises maximum ment mesure milliards millions mobilier mois monnaie motion municipalités n'avait nation novembre numéraire octobre paiement pain papier-monnaie patriotes peuple prairial projet de décret proposition publique rapport rapporteur recettes rentes viagères rentiers représentants en mission République réquisitions revenus Révolution riches Robespierre s'était Salut public séance secours sections septembre serait somme subsistances Tallien taxes révolutionnaires thermidor tion Trésor Trésorerie nationale tribunal révolutionnaire valeur vente vote
Fréquemment cités
Page 120 - Considérant que la société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler, il sera établi dans chaque chef-lieu
Page 326 - la peine portée contre tous les délits dont la connaissance appartient au tribunal révolutionnaire est la mort; la preuve nécessaire pour condamner les ennemis du peuple est toute espèce de documents, soit matérielle, soit morale, soit verbale, soit écrite, qui peut naturellement obtenir l'assentiment de tout esprit juste et raisonnable;
Page 279 - Si le ressort du gouvernement populaire dans la paix est la vertu, le ressort du gouvernement populaire en révolution est à la fois la vertu et la terreur... La terreur n'est autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible ; elle est donc une émanation de la vertu...
Page xiv - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant des moyens d'existence à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 131 - à punir non seulement les traîtres, mais les indifférents même; vous avez à punir quiconque est passif dans la République et ne fait rien pour elle.... Entre le peuple et ses ennemis, il n'ya plus rien de commun que le glaive. Il faut gouverner par le fer ceux qui ne peuvent l'être par la justice...
Page 326 - s'il existe des preuves, soit matérielles, soit morales, il ne sera point entendu de témoins; la loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes; elle n'en accorde point aux conspirateurs.
Page 84 - Cette opération faite, vous verrez le capitaliste qui désire un roi, parce qu'il a un roi pour débiteur et qu'il craint de perdre sa créance si son débiteur n'est pas rétabli, désirer la République qui sera devenue sa débitrice, parce qu'il craindra de perdre son capital en la perdant.
Page 324 - J'ai méprisé toutes les attaques; j'ai tout rapporté à la Convention. Il est temps de dire la vérité tout entière : un seul homme paralysait la volonté de la Convention nationale : cet homme est celui qui vient de faire le discours, c'est Robespierre.
Page 280 - Ceux qui font des révolutions à moitié, n'ont fait que se creuser un tombeau. La révolution nous conduit à reconnaître ce principe, que celui qui s'est montré l'ennemi de son pays ne peut y être propriétaire...