Les veillées du château, ou, Cours de morale à l'usage des enfans, Volume 2Chez Michel Lambert, 1784 |
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Les Veillées du château, ou Cours de morale à l'usage des enfans. Par l ... Stéphanie Félicité comtesse de Genlis Affichage du livre entier - 1819 |
Les veillées du château, ou Cours de morale a l'usage des enfans, par l ... Stéphanie Félicité comtesse de Genlis Affichage du livre entier - 1795 |
Expressions et termes fréquents
affez affure ainfi Alphonfe Alphonſe auffi avez avoient avoit Baron Bernin Bomare c'eft c'eſt Caroline caufer Céfar ceffe chambre charmante cher chofe cœur conferver connoiffance connoître Conte d'Olimpe Dalinde deffin Derval difant diftingua dit-il enfans enfin enfuite eſpèce eſt étoient étoit faifant faifoit fans fe trouve Félicie femblable femme fentimens fentiment féparation feroit fervir fes enfans feul filence fille fœur foin foir foit fon fils fon père font fous fouvent fuis fuivant fujet fûrement Grecs Grecs modernes inftant intéreffant j'ai j'avois Jacqueline jeune jour l'hiftoire l'hiſtoire laiffer larmes lorfque Madame Dacier Madame de Clémire Mademoiſelle maiſon Maman ment mourut Mufique n'avoit n'eft n'eſt n'étoit Nicandre Olimpe ouvrage paffer paffions Paméla paroît Peintre perfonne petite plaifir plufieurs pofé poffible Polydore Polypes pouvoit préfent puiffe Pulchérie Ramire reconnoiffance refte reprit s'écria ſes Snelgrave ſon Surinam Sydonie Tableaux talens tendreffe Thélifmar Théophile vifage ככ כל دو
Fréquemment cités
Page 2 - ... l'espèce humaine ; le Créateur n'a pas voulu faire pour le corps de l'homme un modèle absolument différent de celui de l'animal...
Page 238 - ... prouvent combien cette action lui est peu familière, et combien il en tire de vanité. En effet, elle lui coûte tant, qu'il faut bien lui pardonner le sot orgueil qu'il en montre. Remarquez, au contraire, avec quelle noble simplicité une personne généreuse sait donner. C'est ainsi que les âmes communes tirent vanité de leurs bonnes actions, parce que, les trouvant pénibles, elles y attachent un mérite extrême : tandis que les grandes âmes sont préservées de cet orgueil par leur élévation...
Page 529 - calibre de celles qui portent ordinairement trois livres de » poudre : on ne leur en donna cependant qu'un quarteron...
Page 218 - Otez-vous de mes yeux, lui dit-elle ; je suis sûre qu'il n'ya pas un mot de vrai dans tout ce que vous venez de me dire; sortez sans répliquer.
Page 505 - Grecs modernes ont hérité du goût de leurs ancêtres pour ces fortes de récits. Parmi eux, les vieilles femmes aiment toujours à conter, &• les jeunes fe piquent de répéter à l'envi les contes qu'elles ont appris, ou qu'elles favent imaginer elles-mêmes.
Page 244 - Hélas, madame," répondit M. Aresby, " j'en ai eu deux, et je les ai perdus ! Madame Selwin est veuve du second, et le troisième . . . ." — " Eh bien, monsieur !" — " Ah ! madame, cet infortuné, égaré par une passion funeste, méconnut l'autorité paternelle Il fut déshérité. Le repentir, le chagrin, abrégèrent ses jours.
Page 506 - Poètes ont confacré l'expreffion pour le mariage dont il eft l'emblème , n'a pas été oublié par les Grecs modernes. On le porte devant les nou* Veaux époux , & dans la chambre nuptiale , où il brûle , jufqu'à ce qu'il (bit entièrement confumé.
Page 211 - Allons," continua Félicie, en s'adressant à la femme de chambre, " aidez-moi à "transporter chez moi ce berceau." La femme obéit avec joie ; et l'enfant, sans se réveiller, fut portée doucement, sur son petit lit, dans l'appartement de Félicie. La jeune...
Page 220 - Non, ma bienfaitrice, ma tendre mère ne peut jamais l'être avec moi. » Qui pourrait ne pas adorer une enfant capable d'un semblable attachement et qui montre une douceur, une soumission si touchantes?
Page 543 - Chine. fes fujets. La couleur du deuil eft le blanc , pour les Princes comme pour les plus vils Artifans. Dans un deuil complet , le bonnet , la vefte , la robe , les bas & les bottes doivent être blancs. Mais pendant le premier mois qui fuit la mort d'un père ou d'une mère , l'habit des enfans eft un fac de chanvre d'un rouge éclatant , qui ne difrere pas , pour la qualité , des facs de marchandifes.