Répertoire du Théâtre français ...: composé des tragédies, comédies et drames des auteurs du premier ordre, Volume 21J. Didot ainé, 1822 |
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Page 47
... gué- rison pour conclure les choses . SGANARELLE . Et qui est ce sot - là , qui ne veut pas que sa femme soit muette ? Plût à Dieu que la mienne eût cette maladie ! je me garderois bien de la vouloir ACTE II , SCÈNE VI . 47.
... gué- rison pour conclure les choses . SGANARELLE . Et qui est ce sot - là , qui ne veut pas que sa femme soit muette ? Plût à Dieu que la mienne eût cette maladie ! je me garderois bien de la vouloir ACTE II , SCÈNE VI . 47.
Page 75
... Dieu ! arrêtez - vous , laissez - moi médica- menter cette affaire ; c'est une maladie qui la tient , et je sais le remède qu'il y faut apporter . GÉRONTE . Seroit - il possible , monsieur , que vous pussiez aussi guérir cette maladie d ...
... Dieu ! arrêtez - vous , laissez - moi médica- menter cette affaire ; c'est une maladie qui la tient , et je sais le remède qu'il y faut apporter . GÉRONTE . Seroit - il possible , monsieur , que vous pussiez aussi guérir cette maladie d ...
Page 79
... Dieu ! que j'ai eu de peine à trouver ce logis ! Dites - moi un peu des nouvelles du mé- decin que je vous ai donné . LUCAS . Le v'là qui va être pendu . MARTINE . Quoi ! mon mari pendu ! Hélas ! et qu'a - t - il fait pour cela ? LUCAS ...
... Dieu ! que j'ai eu de peine à trouver ce logis ! Dites - moi un peu des nouvelles du mé- decin que je vous ai donné . LUCAS . Le v'là qui va être pendu . MARTINE . Quoi ! mon mari pendu ! Hélas ! et qu'a - t - il fait pour cela ? LUCAS ...
Page 179
... côté qui les a blessés ; ils sont trop politiques pour cela , et savent trop bien vivre pour dé- couvrir le fond de leur ame . Suivant leur loua- ble coutume , ils ont couvert leurs intérêts de la cause de Dieu ; et le Tartufe , dans n.
... côté qui les a blessés ; ils sont trop politiques pour cela , et savent trop bien vivre pour dé- couvrir le fond de leur ame . Suivant leur loua- ble coutume , ils ont couvert leurs intérêts de la cause de Dieu ; et le Tartufe , dans n.
Page 180
... Dieu ; et le Tartufe , dans leur bouche , est une pièce qui offense la piété ; elle est , d'un bout à l'autre , pleine d'abominations , et l'on n'y trouve rien qui ne mérite le feu : toutes les syllabes en sont impies ; les gestes même ...
... Dieu ; et le Tartufe , dans leur bouche , est une pièce qui offense la piété ; elle est , d'un bout à l'autre , pleine d'abominations , et l'on n'y trouve rien qui ne mérite le feu : toutes les syllabes en sont impies ; les gestes même ...
Expressions et termes fréquents
ACANTE ADRASTE aime ALCMENE Allons amant amour AMPHITRYON ardeur assez avez bâton beau bécarre belle bontés céans chante charmante chose ciel CLEANTE CLÉANTHIS cœur comédie connoître CORYDON coups courroux DAMIS DAPHNÉ déja desirs dessein dévot Dieu dieux dire discours don Pèdre DORINE douceur doute doux ELMIRE enfin époux ÉROXÈNE êtes étoit fâcheux femme fille gens GÉRONTE gloire grace HALI Hélas homme hymen ISIDORE j'ai j'avois j'en JACQUELINE jaloux jamais JUPITER l'amour LÉANDRE LICARSIS LOYAL LUCAS LUCINDE LYCAS m'en main maître MARIANE MARTINE médecin MÉLICERTE MERCURE messieurs mieux Mme PERNELLE monde monsieur MOPSE MYRTIL NAUCRATES NICANDRE nourrice ORGON par-tout pardon parler paroître père PHILÈNE POLIDAS prendre qu'à raison rien s'il vous plaît sais sauroit Scaramouche SCÈNE VII seroit seul SGANARELLE soins sort SOSIE souffrir TARTUFE tendresse Thèbes TIRCIS TIRÈNE traître trève trouve vais VALÈRE veut veux vœux voilà vois voulez voulez-vous vouloir vrai yeux zèle
Fréquemment cités
Page 251 - parlant haut à son valet, qui est dans la maison, dès qu'il aperçoit Dorine. Laurent, serrez ma haire avec ma discipline, Et priez que toujours le ciel vous illumine. Si l'on vient pour me voir, je vais aux prisonniers Des aumônes que j'ai partager les deniers. DORINE, à part. Que d'affectation et de forfanterie! Que voulez-vous?
Page 293 - PERNELLE. Les langues ont toujours du venin à répandre; Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? M
Page 219 - Je ne suis point, mon frère, un docteur révéré; Et le savoir chez moi n'est pas tout retiré. Mais, en un mot, je sais, pour toute ma science, Du faux avec le vrai faire la différence. Et comme je ne vois nul genre de héros Aucune chose au monde et plus noble et plus
Page 209 - Qu'en recueillant chez soi ce dévot personnage; Que le ciel au besoin l'a céans envoyé Pour redresser à tous votre esprit fourvoyé; Que, pour votre salut, vous le devez entendre; Et qu'il ne reprend rien qui ne soit à reprendre. Ces visites, ces bals, ces conversations, Sont du malin esprit toutes inventions. Là,
Page 214 - Et fort dévotement il mangea deux perdrix, Avec une moitié de gigot en hachis. ORGON. Le pauvre homme ! DORINE. La nuit se passa tout entière Sans qu'elle put fermer un moment la paupière ; Des chaleurs l'empéchoient de pouvoir sommeiller, Et jusqu'au jour, près d'elle, il nous fallut veiller. ORGON. Et
Page 208 - médire : Ils ne manquent jamais de saisir promptement L'apparente lueur du moindre attachement, D'en semer la nouvelle avec beaucoup de joie, Et d'y donner le tour qu'ils veulent qu'on y croie : Des actions d'autrui, teintes de leurs couleurs, Ils pensent dans le monde autoriser les leurs, Et, sous le faux espoir de quelque ressemblance, Aux
Page 218 - monnoie à l'égal de la bonne? Les hommes la plupart sont étrangement faits; Dans la juste nature on ne les voit jamais: La raison a pour eux des bornes trop petites, En chaque caractère ils passent ses limites; Et la plus noble chose, ils la gâtent souvent Pour la vouloir outrer et pousser trop avant. ORGON.
Page 219 - demandent chaque jour, Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et pour perdre quelqu'un couvrent insolemment De l'intérêt du ciel leur fier ressentiment; D'autant plus dangereux dans leur âpre colère, Qu'ils prennent contre nous des armes qu'on révère
Page 204 - tout, est tout-à-fait mauvaise ; Vous devriez leur mettre un bon exemple aux yeux; Et leur défunte mère en usoit beaucoup mieux.. Vous êtes dépensière ; et cet état me blesse, Que vous alliez vêtue ainsi qu'une princesse. Quiconque à son mari veut plaire seulement, Ma bru, n'a pas besoin de tant d'ajustement.
Page 205 - mon fils, son époux, Je vous prierois bien fort de n'entrer point chez nous. Sans cesse vous prêchez des maximes de vivre Qui par d'honnêtes gens ne se doivent point suivre. • Je vous parle un peu franc; mais c'est là mon humeur, Et je ne mâche point ce que j'ai sur le cœur.