Répertoire du Théâtre français ...: composé des tragédies, comédies et drames des auteurs du premier ordre, Volume 21J. Didot ainé, 1822 |
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Page 87
... desir ; Et de la main d'Atis , ce peintre inimitable , J'en garde dans ma poche un portrait admirable , Qui jusqu'au moindre trait lui ressemble si fort , Qu'il est sûr que tes yeux le connoîtront d'abord . ACTEL NUENE 12 T.
... desir ; Et de la main d'Atis , ce peintre inimitable , J'en garde dans ma poche un portrait admirable , Qui jusqu'au moindre trait lui ressemble si fort , Qu'il est sûr que tes yeux le connoîtront d'abord . ACTEL NUENE 12 T.
Page 88
... traits et de sa grace extrême , Que tu pourras d'abord te le nommer toi - même . DAPHNÉ . La boîte que le peintre a fait faire pour moi Est tout - à - fait semblable à celle que je voi . ÉROXÈNE . Il est vrai , l'une à l'autre ...
... traits et de sa grace extrême , Que tu pourras d'abord te le nommer toi - même . DAPHNÉ . La boîte que le peintre a fait faire pour moi Est tout - à - fait semblable à celle que je voi . ÉROXÈNE . Il est vrai , l'une à l'autre ...
Page 89
... traits je rencontre l'image . DAPHNÉ . C'est le jeune Myrtil qui fait naître mes feux . ÉROXÈNE . C'est au jeune Myrtil que tendent tous mes vœux . DAPHNÉ . Je venois aujourd'hui te prier de lui dire Les soins que pour son sort son ...
... traits je rencontre l'image . DAPHNÉ . C'est le jeune Myrtil qui fait naître mes feux . ÉROXÈNE . C'est au jeune Myrtil que tendent tous mes vœux . DAPHNÉ . Je venois aujourd'hui te prier de lui dire Les soins que pour son sort son ...
Page 94
... trait dont il blesse nos cœurs . ÉROXÈNE . Et nous venons ici chercher votre alliance , Et voir qui de nous deux aura la préférence . Nymphes ... Je suis ... LICARSIS . DAPHNÉ . Pour ce bien seul nous poussons des soupirs . LICARSIS ...
... trait dont il blesse nos cœurs . ÉROXÈNE . Et nous venons ici chercher votre alliance , Et voir qui de nous deux aura la préférence . Nymphes ... Je suis ... LICARSIS . DAPHNÉ . Pour ce bien seul nous poussons des soupirs . LICARSIS ...
Page 106
... traits . » De ces leçons , mon cœur , je m'étois souvenue ; Et quand Myrtil venoit à s'offrir à ma vue , Qu'il jouoit avec moi , qu'il me rendoit des soins , Je vous disois toujours de vous y plaire moins . Vous ne me crûtes point , et ...
... traits . » De ces leçons , mon cœur , je m'étois souvenue ; Et quand Myrtil venoit à s'offrir à ma vue , Qu'il jouoit avec moi , qu'il me rendoit des soins , Je vous disois toujours de vous y plaire moins . Vous ne me crûtes point , et ...
Expressions et termes fréquents
ACANTE ADRASTE aime ALCMENE Allons amant amour AMPHITRYON ardeur assez avez bâton beau bécarre belle bontés céans chante charmante chose ciel CLEANTE CLÉANTHIS cœur comédie connoître CORYDON coups courroux DAMIS DAPHNÉ déja desirs dessein dévot Dieu dieux dire discours don Pèdre DORINE douceur doute doux ELMIRE enfin époux ÉROXÈNE êtes étoit fâcheux femme fille gens GÉRONTE gloire grace HALI Hélas homme hymen ISIDORE j'ai j'avois j'en JACQUELINE jaloux jamais JUPITER l'amour LÉANDRE LICARSIS LOYAL LUCAS LUCINDE LYCAS m'en main maître MARIANE MARTINE médecin MÉLICERTE MERCURE messieurs mieux Mme PERNELLE monde monsieur MOPSE MYRTIL NAUCRATES NICANDRE nourrice ORGON par-tout pardon parler paroître père PHILÈNE POLIDAS prendre qu'à raison rien s'il vous plaît sais sauroit Scaramouche SCÈNE VII seroit seul SGANARELLE soins sort SOSIE souffrir TARTUFE tendresse Thèbes TIRCIS TIRÈNE traître trève trouve vais VALÈRE veut veux vœux voilà vois voulez voulez-vous vouloir vrai yeux zèle
Fréquemment cités
Page 251 - parlant haut à son valet, qui est dans la maison, dès qu'il aperçoit Dorine. Laurent, serrez ma haire avec ma discipline, Et priez que toujours le ciel vous illumine. Si l'on vient pour me voir, je vais aux prisonniers Des aumônes que j'ai partager les deniers. DORINE, à part. Que d'affectation et de forfanterie! Que voulez-vous?
Page 293 - PERNELLE. Les langues ont toujours du venin à répandre; Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? M
Page 219 - Je ne suis point, mon frère, un docteur révéré; Et le savoir chez moi n'est pas tout retiré. Mais, en un mot, je sais, pour toute ma science, Du faux avec le vrai faire la différence. Et comme je ne vois nul genre de héros Aucune chose au monde et plus noble et plus
Page 209 - Qu'en recueillant chez soi ce dévot personnage; Que le ciel au besoin l'a céans envoyé Pour redresser à tous votre esprit fourvoyé; Que, pour votre salut, vous le devez entendre; Et qu'il ne reprend rien qui ne soit à reprendre. Ces visites, ces bals, ces conversations, Sont du malin esprit toutes inventions. Là,
Page 214 - Et fort dévotement il mangea deux perdrix, Avec une moitié de gigot en hachis. ORGON. Le pauvre homme ! DORINE. La nuit se passa tout entière Sans qu'elle put fermer un moment la paupière ; Des chaleurs l'empéchoient de pouvoir sommeiller, Et jusqu'au jour, près d'elle, il nous fallut veiller. ORGON. Et
Page 208 - médire : Ils ne manquent jamais de saisir promptement L'apparente lueur du moindre attachement, D'en semer la nouvelle avec beaucoup de joie, Et d'y donner le tour qu'ils veulent qu'on y croie : Des actions d'autrui, teintes de leurs couleurs, Ils pensent dans le monde autoriser les leurs, Et, sous le faux espoir de quelque ressemblance, Aux
Page 218 - monnoie à l'égal de la bonne? Les hommes la plupart sont étrangement faits; Dans la juste nature on ne les voit jamais: La raison a pour eux des bornes trop petites, En chaque caractère ils passent ses limites; Et la plus noble chose, ils la gâtent souvent Pour la vouloir outrer et pousser trop avant. ORGON.
Page 219 - demandent chaque jour, Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et pour perdre quelqu'un couvrent insolemment De l'intérêt du ciel leur fier ressentiment; D'autant plus dangereux dans leur âpre colère, Qu'ils prennent contre nous des armes qu'on révère
Page 204 - tout, est tout-à-fait mauvaise ; Vous devriez leur mettre un bon exemple aux yeux; Et leur défunte mère en usoit beaucoup mieux.. Vous êtes dépensière ; et cet état me blesse, Que vous alliez vêtue ainsi qu'une princesse. Quiconque à son mari veut plaire seulement, Ma bru, n'a pas besoin de tant d'ajustement.
Page 205 - mon fils, son époux, Je vous prierois bien fort de n'entrer point chez nous. Sans cesse vous prêchez des maximes de vivre Qui par d'honnêtes gens ne se doivent point suivre. • Je vous parle un peu franc; mais c'est là mon humeur, Et je ne mâche point ce que j'ai sur le cœur.