 | Molière - 1734 - 452 pages
...répandre ; Et rien n'eft, ici bas, qui s'en puifle défendre. ORGO N. C'eft tenir un propos de fens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres...vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, & crier comme quatre? Madame PERNELLE. Mon Dieu ! Le plus fou vent, l'apparence déçoit. li ne faut... | |
 | Molière - 1773 - 590 pages
...répandre; Et rien n'eft ici-bas, qui s'en puiflè défendre. ORGO N. C'eft tenir un propos de fens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres...vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, &: crier comme quatre î Madame PERNELLE. Mon Dieu ! le plus fouvent, l'apparence déçoit. 11 ne faut... | |
 | M. de Cailhava (Jean François) - 1786 - 430 pages
...ici-bas qui s'en puiflë défendre. :'^.::: : .•: ". •""- .' ORGo N. C'eft tenir un propos de fens bien dépourvu : Je l'ai vu, 'dis-je vu , de mes propres yeux vu^ Ce qu'on appelle vu : faut-il vous le rabattre 'Aux oreilles cent fois , & crier comme quatre ? , Madame PERNELLE. Mon Dieu! le plus fouvent... | |
 | 1788 - 322 pages
...Vous meferici damner , ma mère!.... Jevousdî Que j'ai vu, de mes yeux , un crime si hardi. OEGO N. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu ! Je...propres yeux , vu> Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rcbattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? Madame PERNILLE. Mon Dieu! le plus souvent,... | |
 | Dumarsais - 1797 - 404 pages
...parlez. Molière. Fous qui parlez est une phrase explétif,9 f q.ui donne plus de force au discours. Je l'ai vu , dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu; Molière t Tartuffe, act. v. se, 9. Et je ne puis du tout me mettre dans l'esprit , Qu'il ait osé... | |
 | Molière - 1799 - 264 pages
...à répandre^ Et rien n'eft ici bas qui s'en puilfe défendre. ORGON. C'eft tenir un propos de fens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres...rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon Dieu ! le plus fouvent l'apparence déçoit: II ne faut pas toujours juger fur... | |
 | Molière - 1799 - 288 pages
...répàfrdrc'; ' ' rien n'est ici bas qui s'eri'^nisse'déîèhdre. ' " C'est tenir un propos de iens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu',' Ce qu'on appelle vu. Vaut-il'vous lerébattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? MADAME PERNE LÏ.E. Mon dieu!... | |
 | Molière - 1818 - 550 pages
...j'ai vu toul moi-mé'mo. MADAME PERNEH.E. Des esprits médisants la malice est extrême. ORGON. MADAME P.ERNELLE. Les langues ont toujours du venin à répandre...rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mon Dieu! le plus souvent l'apparence déçoit : II ne faut pas toujours juger sur... | |
 | Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - 1820 - 794 pages
...envers son mari, qui étoit très-fondé k accuser sa vertu, en disant, comme le personnage de Molière: Je l'ai vu, dis-je, vu; de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. MORALITÉ. Pur ce, dist-on en REPRUVIER Ke famés sevent engingnier*; * tromper. AOUT 1820. Si unt... | |
 | Molière - 1821 - 488 pages
...ORGON. Vous me feriez damner, ma mère. Je vous di Que j'ai vu, de mes yeux, un crime si hardi. M™ PERNELLE. Les langues ont toujours du venin à répandre...oreilles cent fois, et crier comme quatre ? • M me PERNELLE. Mon Dieu! le plus souvent, l'apparence déçoit : II ne faut pas toujours juger sur ce... | |
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PERNELLE. Les langues ont toujours du venin à répandre; Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre... 
