Frau Gottsched und die bürgerliche Komödie: ein Kulturbild aus der Zopfzeit

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W. Hertz, 1886 - 267 pages

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Page 176 - Si le roi m'avait donné Paris sa grand' ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie; Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué, J'aime mieux ma mie.
Page 175 - II va jusqu'à former des souhaits contre vous. Oui , je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable , Que vous fussiez réduite en un sort misérable ; Que le ciel , en naissant, ne vous eût donné rien...
Page 175 - Oui, je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable, Que vous fussiez réduite en un sort misérable; Que le ciel, en naissant, ne vous eût donné rien; Que vous n'eussiez ni rang, ni naissance, ni bien, Afin que de mon cœur l'éclatant sacrifice Vous pût, d'un pareil sort, réparer l'injustice, Et que j'eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des mains de mon amour.
Page 147 - C'est par là que Molière, illustrant ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix, Si, moins ami du peuple, en ses doctes peintures II n'eût point fait souvent grimacer ses figures, Quitté, pour le bouffon, l'agréable et le fin, Et sans honte à Térence allié Tabarin. Dans ce sac ridicule où Scapin s'enveloppe, Je ne reconnais plus l'auteur du Misanthrope.
Page 167 - A quoi bon, disaient-ils, cette mine modeste, Et ce sage dehors que dément tout le reste ? Elle est à bien prier exacte au dernier point, Mais elle bat ses gens et ne les paye point.
Page 172 - Oui, oui, redoutez tout après un tel outrage ; Je ne suis plus à moi, je suis tout à la rage.
Page 257 - Oui Monsieur, je vous mènerai dans une auberge où vous serez parfaitement bien.

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