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CHAP. VII. Vaine réponse de M. Simon, que saint Augustin n'est pas la règle de notre foi malgré cette cavillation, ce critique ne laisse pas d'être convaincu d'avoir condamné les papes et toute l'Eglise qui les a suivis.

CHAP. VIII. Autre cavillation de M. Simon dans la déclaration qu'il a faite de ne vouloir pas condamner saint Augustin: que sa doctrine en ce point établit la tolérance et l'indifférence des religions.

CHAP. IX. La tradition combattue par M. Simon, sous prétexte de la défendre.

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CHAP. X. Manière méprisante dont les nouveaux critiques traitent les Pères et méprisent la tradition: premier exemple de leur procédé dans la question de la nécessité de l'Eucharistie: M. Simon avec les hérétiques accuse l'Eglise ancienne d'erreur, et soutient un des argumens par lesquels ils ont attaqué la tradition. . .

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CHAP. XI. Artifice de M. Simon pour ruiner une des preuves fondamen-
tales de l'Eglise sur le péché originel, tiré du baptême des enfans. . . 18
CHAP. XII. Passages des Papes et des Pères qui établissent la nécessité de
l'Eucharistie en termes aussi forts que saint Augustin: erreur inexcu-
sable de M. Simon qui accuse ce saint de s'être trompé dans un article
qui, de son aveu, lui étoit commun avec toute l'Eglise de son temps. .
CHAP. XIII. M. Simon, en soutenant que l'Eglise ancienne a cru la nécessité
absolue de l'Eucharistie, favorise des hérétiques manifestes, condamnés
par deux conciles œcuméniques, premièrement par celui de Bâle et en-
suite par celui de Trente.

CHAP. XIV. Mauvaise foi de M. Simon, qui, en accusant saint Augustin et
toute l'antiquité d'avoir erré sur la nécessité de l'Eucharistie, dissimule
le sentiment de saint Fulgence, auteur du même siècle que saint Augus-
tin, et qui faisoit profession d'ètre son disciple, même dans cette question,
où il fonde sa résolution sur la doctrine de ce Père. .
CHAP. XV. Toute la théologie de saint Augustin tend à établir la solution
de saint Fulgence, qui est celle de toute l'Eglise.
CHAP. XVI. Vaine réponse des nouveaux critiques.

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CHAP. XVII. Pourquoi saint Augustin et les anciens ont dit que l'Eucharistie étoit nécessaire, et qu'elle l'est en effet; mais en son rang et à sa manière.

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CHAP. XVIII. La nécessité de l'Eucharistie est expliquée selon les principes
de saint Augustin par la nécessité du baptême.
CHAP. XIX. Raison pour laquelle saint Augustin et les anciens n'ont pas
été obligés de distinguer toujours si précisément la nécessité de l'Eucha-
ristie d'avec celle du baptême..

CHAP. XX. Que M. Simon n'a pas dû dire que les preuves de saint Augus-
tin et de l'ancienne Eglise contre les pélagiens ne sont pas concluantes.
CHAP. XXI. Autre exemple, où M. Simon méprise la tradition, en excusant
ceux qui, contre tous les saints Pères, n'entendent pas de l'Eucharistie
le chap. vi de saint Jean.

CHAP. XXII. Si c'est assez, pour excuser un sentiment, de dire qu'il n'est pas hérétique.

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LIVRE II.

Suite d'erreurs sur la tradition. L'infaillibilité de l'Eglise ouvertement attaquée. Erreurs sur les Ecritures et sur les preuves de la Trinité.

CHAP. I. Que l'esprit de M. Simon est de ne louer la tradition que pour affoiblir l'Ecriture quel soin il prend de montrer que la Trinité n'y est pas établie.

CHAP. II. Qu'en affoiblissant les preuves de l'Ecriture sur la Trinité, M. Simon affoiblit également celles de la tradition.

CHAP. III. Soin extrême de l'auteur pour montrer que les catholiques ne peuvent convaincre les ariens par l'Ecriture.

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CHAP. IV. Que les moyens de M. Simon contre l'Ecriture portent égale-
ment contre la tradition, et qu'il détruit l'autorité des Pères par les con-
tradictions qu'il leur attribue. Passages de saint Athanase.
CHAP. V. Moyens obliques de l'auteur pour détruire la tradition et affoi-
blir la foi de la Trinité.

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CHAP. VI. Vraie idée de la tradition, et que faute de l'avoir suivie l'auteur
induit son lecteur à l'indifférence des religions.
CHAP. VII. Que M. Simon s'est efforcé de détruire l'autorité de la tradition,
comme celle de l'Ecriture, dans la dispute de saint Augustin contre Pé-
lage idée de cet auteur sur la critique, et que la sienne n'est selon lui-
même que chicane: fausse doctrine qu'il attribue à saint Augustin sur
la tradition, et contraire à celle du concile de Trente.
CHAP. VIII. Que l'auteur attaque également saint Augustin et la tradition,
en disant que ce Père ne l'allègue que quelquefois, et par accident,
comme un accessoire.

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CHAP. IX. L'auteur affoiblit encore la tradition par saint Hilaire, et dit indifféremment le bien et le mal.

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CHAP. X. Si M. Simon a dù dire que saint Hilaire ne s'appuyoit point sur la tradition.

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.

CHAP. XI. Que les Pères ont également soutenu les preuves de l'Ecriture et de la tradition. Que M. Simon fait le contraire, et affoiblit les unes par les autres méthode de saint Basile, de saint Grégoire de Nysse et de saint Grégoire de Nazianze, dans la dispute contre Aece et contre Eunome son disciple. .

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CHAP. XII. Combien de mépris affecte l'auteur pour les écrits et les preuves de saint Basile et de saint Grégoire de Nazianze, principalement pour eux où ils défendent la Trinité contre Eunome.

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CHAP. XIII. Suite du mépris de l'auteur pour les écrits et les preuves de
saint Basile, et en particulier pour ses livres contre Eunome.
CHAP. XIV. Mépris de M. Simon pour saint Grégoire de Nysse, et pour les
écrits où il établit la foi de la Trinité.

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CHAP. XV. Mépris de l'auteur pour les discours et les preuves de saint
Grégoire de Nazianze sur la Trinité..

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CHAP. XVI. Que l'auteur, en cela semblable aux sociniens, affecte de faire les Pères plus forts en raisonnemens et en éloquence que dans la science des Ecritures.

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CHAP. XVII. Que la doctrine de M. Simon est contradictoire : qu'en détrui-
sant les preuves de l'Ecriture, il détruit en même temps la tradition, et
mène à l'indifférence des religions.

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CHAP. XVIII. Que l'auteur attaque ouvertement l'autorité de l'Eglise sous
le nom de saint Chrysostome, et qu'il explique ce Père en protestant dé-
claré.

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CHAP. XIX. L'auteur fait mépriser à saint Augustin l'autorité des conciles :
fausse traduction d'un passage de ce Père, et dessein manifeste de l'au-
teur, en détruisant la tradition et l'autorité de l'Eglise, de conduire in-
sensiblement les esprits à l'indifférence de religion.

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CHAP. XX. Que la méthode que M. Simon attribue à saint Athanase et aux
Pères qui l'ont suivi dans la dispute contre les ariens, n'a rien de cer-
tain, et mène à l'indifférence. . .

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CHAP. XXI. Suite de la mauvaise méthode que l'auteur attribue à saint
Athanase et aux Pères qui l'ont suivi. . .

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CHAP. XXII. Que la méthode de M. Simon ne laisse aucun moyen d'établir
la sûreté de la foi, et abandonne tout à l'indifférence.

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LIVRE III.

M. Simon, partisan et admirateur des sociuiens, et en même temps ennemi de toute la théologie
et des traditions chrétiennes.

CHAP. I. Faux raisonnement de l'auteur sur la prédestination de Jésus-
Christ son affectation à faire trouver de l'appui à la doctrine socinienne
dans saint Augustin, dans saint Thomas, dans les interprètes latins, et
même dans la Vulgate.

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CHAP. II. Nouvelle chicane de M. Simon pour faire trouver dans saint Au-
gustin de l'appui aux sociniens.

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CHAP. III. Affectation de M. Simon à étaler les blasphèmes des sociniens,
et premièrement ceux de Servet. . .

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CHAP. IV. Trois mauvais prétextes du critique pour pallier cet excès..
CHAP. V. Le soin de M. Simon à faire connoître et à recommander Bernar-
din Ochin, Fauste Socin et Crellius.

CHAP. VI. La réfutation de Socin est foible dans M. Simon: exemple sur
ces paroles de Jésus-Christ: Avant qu'Abraham fût fait, je suis. (Joan.
VIII.).

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CHAP. VII. M. Simon vainement émerveillé des progrès de la secte soci-
nienne.

.

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CHAP IX. Recommandation des interprélations du socinien Crellius.
CHAP. X. Le critique se laisse embarrasser des opinions des sociniens,
et les justifie par ses réponses.

CHAP. VIII. Vaine excuse de M. Simon, qui dit qu'il n'écrit que pour les
savans : quels sont les savans pour qui il écrit.

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CHAP. XI. Foiblesse affectée de M. Simon contre le blasphème du socinier
Eniédin: la tradition toujours alléguée pour affoiblir l'Ecriture.
CHAP. XII. Affectation de rapporter le ridicule que Volzogue, socinien,
donne à l'enfer.

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CHAP. XIII. La méthode de notre auteur à rapporter les blasphèmes des
hérétiques est contraire à l'Ecriture et à la pratique des saints.
CHAP. XIV. Tout l'air du livre de M. Simon inspire le libertinage et le mé-
pris de la théologie, qu'il affecte partout d'opposer à la simplicité de l'E-
criture. .

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CHAP. XV. Suite du mépris de M. Simon pour la théologie : celle de saint Augustin et des Pères contre les ariens méprisée : M. Simon qui prétend mieux expliquer l'Ecriture qu'ils n'ont fait, renverse les fondemens de la foi, et favorise l'arianisme.

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CAAP. XVI. Que les interprétations à la socinienne sont celles que M. Simon autorise, et que celles qu'il blâme comme théologiques sont celles où l'on trouve la foi de la Trinité.

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CHAP. XVII. Mépris de l'auteur pour saint Thomas, pour la théologie
scholastique, et sous ce nom pour celles des Pères.
CHAP. XVIII. Historiette du docteur d'Espense, relevée malicieusement par
l'auteur, pour blâmer Rome et mépriser de nouveau la théologie, comme
induisant à l'erreur.

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CHAP. XIX. L'auteur, en parlant d'Erasme, continue de mépriser la théologie, comme ayant contraint l'esprit de la religion.

:

CHAP. XX. Audacieuse critique d'Erasme sur saint Augustin, soutenue par M. Simon suite du mépris de ce critique pour saint Thomas: présomption que lui inspirent, comme à Erasme, les lettres humaines: il ignore profondément ce que c'est que la scholastique, et la blâme sans être capable d'en connaître l'utilité.

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CHAP. XXI. Louanges excessives de Grotius, encore qu'il favorise les ariens, les sociniens et une infinité d'autres erreurs.

CHAP. XXII. L'auteur entre dans les sentimens impies de Socin, d'Episcopius et de Grotius, pour anéantir la preuve de la religion par les prophéties.

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CHAP. XXIII. On démontre contre Grotius et M. Simon, que Jésus-Christ
et les apôtres ont prétendu apporter les prophéties comme des preuves
convaincantes auxquelles les Juifs n'avoient rien à répliquer. .
CHAP. XXIV. La même chose se prouve par les Pères: trois sources pour
en découvrir la tradition: première source, les apologies de la religion

chrétienne.

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CHAP. XXV. Seconde et troisième source de la tradition de la preuve des
prophéties dans les professions de foi, et dans la démonstration de
l'authenticité des livres de l'ancien Testament.
CHAP. XXVI. Les marcionites ont été les premiers auteurs de la doctrine
d'Episcopius et de Grotius, qui réduisent la conviction de la foi en Jésus-
Christ aux seuls miracles, à l'exclusion des prophéties: passage notable
de Tertullien.

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CHAP. XXVII. Si la force de la preuve des prophéties dépendoit principalement des explications des rabbins, comme l'insinue M. Simon: passage admirable de saint Justin.

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CHAP. XXVIII. Prodigieuse opposition de la doctrine d'Episcopius, de
Grotius et de M. Simon avec celle des chrétiens.

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CHAP. XXIX. Suite de a tradition sur la force des prophéties: conclusion

de cette remarque en découvrant sept articles chez M. Simon, où l'autorité de la tradition est renversée de fond en comble. CHAP. XXX. Conclusion de ce livre par un avis de saint Justin aux rabbinisans..

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LIVRE IV.

M. Simon, ennemi et téméraire censeur des saints Pères.

CHAP. I. M. Simon tâche d'opposer les Pères aux sentimens de l'Eglise : passage trivial de saint Jérôme, qu'il relève curieusement et de mauvaise foi contre l'épiscopat: autres passages aussi vulgaires du diacre Hilaire et de Pélage.

. . 126

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CHAP. II. Le critique fait saint Chrysostome nestorien passage fameux de ce Père dans l'Homélie 111 sur l'Epitre aux Hébreux, où M. Simon suit une traduction qui a été rétractée comme infidèle par le traducteur de saint Chrysostome, et condamnée par M. l'archevêque de Paris. . . . 128 CHAP. III. Raisons générales qui montrent que M. Simon affecte de donner en la personne de saint Chrysostome un défenseur à Nestorius et à Théodore. CHAP. IV. Raisons particulières qui démontrent dans M. Simon un dessein formé de charger saint Chrysostome: quelle erreur c'est à ce critique de ne trouver aucune absurdité de faire parler à ce Père le langage des hérétiques: passages qui montrent combien il en étoit éloigné. . . CHAP. V. Que le critique en faisant dire à saint Chrysostome, dans l'homélie 11 aux Hébreux, qu'il y a deux personnes en Jésus-Christ, lui fait tenir un langage que ce Père n'a jamais tenu en aucun endroit, mais un langage tout contraire passage de saint Chrysostome, homélie vi sur l'Epitre aux Philippiens. .

CHAP. VI. Qu'au commencement du passage de saint Chrysostome, homélie III aux Hébreux, les deux personnes s'entendent clairement du Père et du Fils, et non pas du seul Jésus-Christ. Infidèle traduction de M. Si

mon.

CHAP. VII. De deux leçons du texte de saint Chrysostome également bonnes, M. Simon sans raison a préféré celle qui lui donnoit lieu d'accuser ce saint docteur.

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CHAP. VIII. Que si saint Chrysostome avoit parlé au sens que lui attribue
M. Simon, ce passage auroit été relevé par les ennemis de ce Père ou
par les partisans de Nestorius, ce qui n'a jamais été.
CHAP. IX. Que Théodore et Nestorius ne parloient pas eux-mêmes le lan-
gage qu'on veut que saint Chrysostome ait eu commun avec eux.
CHAP. X. Passages de saint Athanase sur la signification du mot de per-
sonne en Jésus-Christ.

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CHAP. XI. M. Simon emploie contre les Pères, et même contre les plus
grands, les manières les plus dédaigneuses et les plus moqueuses.
CHAP. XII. Pour justifier les saints Pères, on fait voir l'ignorance et le
mauvais goût de leur censeur dans sa critique sur Origène et sur saint
Athanase.

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