Bibliothèque universelle et revue suisseMarc Auguste Pictet, Charles Pictet de Rochemont, Frédéric Guillaume baron Maurice Bureaux de la Bibliothèque universelle, 1890 |
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Bibliothèque universelle et revue suisse, Volume 46 Marc Auguste Pictet,Charles Pictet de Rochemont,Frédéric Guillaume baron Maurice Affichage du livre entier - 1890 |
Bibliothèque universelle et revue suisse, Numéro 2 Marc Auguste Pictet,Charles Pictet de Rochemont,Frédéric Guillaume baron Maurice Affichage du livre entier - 1920 |
Bibliothèque universelle et revue suisse, Volume 38 Marc Auguste Pictet,Charles Pictet de Rochemont,Frédéric Guillaume baron Maurice Affichage du livre entier - 1888 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 375 - J'ai vu, disaitil hors de lui-même, j'ai vu de sa bouche, avec le dernier soupir, s'envoler une colombe. » D'autres avaient lu dans les flammes le mot qu'elle répétait: «Jésus! » Le bourreau alla le soir trouver frère Isambart ; il était tout épouvanté ; il se confessa, mais il ne pouvait croire que Dieu lui pardonnât jamais... Un secrétaire du roi d'Angleterre disait tout haut en revenant : « Nous sommes perdus, nous avons brûlé une sainte...
Page 375 - D'autres avaient lu dans les flammes le mot qu'elle répétait: «Jésus! » Le bourreau alla le soir trouver frère Isambart ; il était tout épouvanté ; il se confessa, mais il ne pouvait croire que Dieu lui pardonnât jamais... Un secrétaire du roi d'Angleterre disait tout haut en revenant : « Nous sommes perdus, nous avons brûlé une sainte ! » Cette parole, échappée à un ennemi, n'en est pas moins grave.
Page 223 - ... mobile et sensible ; où, par un renouvellement graduel et par un élargissement de l'idée de moralité, l'activité des passions et leur satisfaction dans de certaines limites sembleraient assez légitimes ; le jour où le cœur humain se flatterait d'avoir comblé son abîme ; où cette terre d'exil, déjà riante et commode, le serait devenue au point de laisser oublier toute patrie d'au delà, et de paraître la demeure définitive, — ce jour-là l'argumentation de Pascal aura fléchi.
Page 225 - Soyez comme l'oiseau, posé pour un instant Sur des rameaux trop frêles, Qui sent ployer la branche et qui chante pourtant, Sachant qu'il a des ailes!
Page 226 - Le but de l'homme n'est pas cette vie ; ses plus nobles facultés se rapportent à une autre existence ; elles seraient de vrais contresens dans l'être borné destiné à une durée si bornée, ces facultés qui s'élèvent à l'infini et saisissent l'éternité ! Un pareil contresens n'est pas possible
Page 655 - LAUSANNE par livraisons mensuelles de 224 pages, et forme chaque année quatre beaux volumes de près de 2700 pages ensemble. Tout ce qui concerne la rédaction doit être adressé franco à M.
Page 405 - Dieu , si c'eût été avec quelque regret, certes il serait éteint en ayant ouï prononcer à mon grand Roi, «je suis contraint...
Page 608 - Peut-être aurions-nous droit aux célestes délices; Non! ce n'est point à nous de redouter l'enfer. Car nos fautes n'ont pas mérité de supplices; Si nous avons failli, nous avons tant souffert! Eh bien! nous renonçons même à cette espérance D'entrer dans ton royaume et de voir tes splendeurs; Seigneur, nous refusons jusqu'à ta récompense, Et nous ne voulons pas du prix de nos douleurs. Nous le savons, tu peux donner encor des ailes Aux...
Page 218 - Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire; Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour!
Page 152 - ... clarté des torches nombreuses qui éclairaient cette horrible exécution. J'éprouvais dans tout le corps un froid mortel, et mes pieds étaient glacés. Tout mon sang s'était porté à la tête; la figure me cuisait, et en baissant à demi les yeux, il me semblait que j'avais le visage tout en feu. Je me passais fréquemment la main droite sur la tête, et tout en cherchant en moi-même les moyens de me sauver, je me grattais machinalement avec tant de force, que, sans m'en douter, je m'arrachai...