Cours d'histoire des états européens: depuis le bouleversement de l'empire romain d'occident jusqu'en 1789, Volume 9de l'imprimerie royale et chez Duncker et Humblot, 1830 |
Table des matières
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Cours d'histoire des états Européens: depuis le bouleversement de ..., Volume 9 Friedrich Schoell Affichage du livre entier - 1830 |
Cours d'histoire des Etats europeens, depuis le bouleversement de ..., Volume 9 Friedrich (Diplomat) Schoell Affichage du livre entier - 1830 |
Expressions et termes fréquents
Alberic de Barbiano Alphonse Amédée Anglais avaient Barbiano Barnabos bataille Béatrix Bergame Bologne Bresse castillan Castille Catherine Visconti Charles VII château comte de Vertus comte Verd comtes de Savoie connétable Cortès Crême d'Alphonse d'Anjou d'Aragon d'Édouard Dauphin donna duc de Bourgogne duc de Milan duché Édouard Éléonore entra épouse espagnole états évènemens Facino Cane factions Ferdinand fille Florentins François frère Galéaz Gaston Gibelins gouvernement Guelfes guerre habitans Henri héritière Isabelle Jacques Jean I.er Jean Visconti Jean-Galéaz Jean-Marie Jeanne justizia l'aîné l'histoire l'infant l'Italie laissa Lancastre langue ligue littérature long-temps Louis Lucchino maison mariage mort mourut Naples Navarre nommé Novare oncle paix pape Pavie père Philippe Philippe-Marie Piémont Pierre poème poésie poètes portugais portugaise Portugal possession prince prisonnier quatorzième quinzième siècle régent règne reine république rois roman royaume royaume de Grenade s'empara s'était seigneurs de Milan seizième siècle Sforce succéda Thomas tion trône Verceil Visconti
Fréquemment cités
Page 47 - Juger et raconter tout à la fois, manifester tous les dons de l'imagination dans la peinture exacte de la vérité, se plaire à tout ce qui a de la vie et du mouvement, laisser au lecteur comme à soi-même son libre arbitre pour blâmer et approuver, allier une sorte de douce ironie à une impartiale bienveillance...
Page 142 - Nous qui valons chacun autant que vous, et qui tous ensemble sommes plus puissants que vous, nous promettons d'obéir à votre gouvernement, si vous maintenez nos droits et nos privilèges; sinon , non.
Page 47 - Estend ses brasselets ; s'espand sur lui le somme ; Se clost son œil; plus ne bouge... il s'endort... N'estoit ce tayn floury des couleurs de la pomme , Ne le diriez dans les bras de la mort? — Arreste, cher enfant!... j'en frémy toute engtiere!...
Page 47 - ... et pourtant, au milieu de tant d'horreurs , les hommes paraissent remplis de grandeur, de franchise et de force : ils sont cruels, ils sont variables dans leurs affections politiques, mais sincères et esclaves de leur parole.
Page 23 - Si elles ne sont pas assez grandes, je vous ferai abattre seize ou vingt toises de murs pour passer où mieux vous semblera.
Page 47 - C'est en Flandre qu'il mourut. Ces détails sur la vie de Froissart, montrent assez quel doit être le caractère de ses ouvrages. 11 n'est pas un historien qui ait plus de charme et de vérité; son livre est un témoignage vivant du temps où il a vécu : aucun art ne s'y fait voir ; la candeur des sentiments y égale la naïveté de l'expression ; on y retrouve la couleur et Je charme des romans de chevalerie, cette admiration pour la valeur, la loyauté, les beaux fails d'armes, pour l'amour...
Page 79 - Hierusalem, il les fit arrêter : « Ah ! dit-il, si Dieu » eût voulu me laisser vivre mon âge, après » avoir mis fin à la guerre de France, réduit » le Dauphin à la soumission ou l'avoir chassé >> du royaume , dans lequel j'aurais établi une » bonne paix, je serais allé conquérir Jéru...
Page 47 - O cher enfantelet, etc. Pour moy, des siens transportz onc ne seray jalouse Quand feroy moinz qu'avec toy les partir : Faiz, amy, comme luy, l'heur d'ugne tendre espouse , Ainz, tant que luy, ne la fasses languir!... Te parle, et ne m'entends... eh! que dis-je? insensée ! Plus n'oyroit-il quand fust moult esveillé.'..
Page 47 - Tretouz avons esté, comme ez toy, dans ceste heure; Triste rayzon que trop tost n'adviendra ! En la pais dont jouys , s'est possible , ah ! demeure ! A tes beaux jours mesme il n'en souviendra.
Page 8 - S'il vous plaît me donner gens de guerres, par grâce divine et force d'armes je ferai lever le siège d'Orléans, et vous mènerai sacrer à Reims, malgré tous vos ennemis ; c'est ce que le roi du ciel m'a commandé de vous dire, et que sa volonté est que les Anglais se...